• Pour mon premier article dans la communauté "Philhéllène", pour les amoureux de la Grèce, gérée par Liza du blog "La maison de Liza", j'ai choisi de rendre hommage à des femmes magnifiques qui veillent sur la ville d'Athènes : les Cariatides.

    Les Cariatides réduites à l'esclavage par les Perses étaient condamnées à porter de lourds fardeaux. Elles ont laissé leur nom aux figures employées par les architectes, au lieu de colonnes ou de pilastres, pour servir de soutien à une architrave qu'elles portent sur leur tête.

    Le balcon de l'Erechteion, temple situé sur le site de l'Acropole qui domine la ville d'Athènes, est soutenu par des cariatides.








    Le site de l’Acropole, “ville haute” d’Athènes, fut d’abord une citadelle avant d’être choisi pour accueillir des édifices religieux. Cette plate-forme commandait une vue magnifique sur les terres comme sur la mer et permettait de voir approcher les ennemis. Une forteresse fut construite sur l’Acropole, où l’on pouvait se réfugier en cas d’attaque. Si les assaillants tentaient d’escalader le rocher, ils constituaient une cible parfaite pour les flèches, les lances et les pierres jetées par les défenseurs. Autour d’Athènes s’étendaient une vaste plaine à blé et des collines plantées d’oliviers.

    L’Acropole constituait en outre un cadre merveilleux pour les fêtes en plein air qu’appréciaient les Athéniens. Aux jours de cérémonie, les femmes, les hommes et les enfants mettaient leurs plus beaux habits pour gravir les pentes du rocher, au sommet duquel on sacrifiait des animaux. La viande était alors distribuée gratuitement à tous, ce qui était un grand luxe dans un pays pauvre en pâturages.


    Le monument le plus connu et le plus vaste est le Parthénon. Il est entouré d'autres monuments prestigieux parmi lesquels l'Erechthéion, temple tombeau, originellement appelé temple d’Athéna Polias.
    Construit entre 421 et 406 avant JC par l’architecte Philoclès, il s’élève dans la partie la plus sacré de l’Acropole, où Poséidon et Athéna se disputèrent la possession de l’Attique (le premier y laissa la marque de son trident, la seconde y planta un olivier sacré).
    C’est un chef-d’œuvre d’architecture ionique, de trois éléments : le vestibule nord, le temple proprement dit au sein duquel se trouvait une statue d’Athéna Polias en bois d’olivier, le portique des Caryatides (colonnes sculptées en forme de femmes).

    Source ( http://www.e-olympos.com/acropole.htm).






    44 commentaires
  • Au parc Bordelais, en même temps que je rencontrais la Fée Cureuil, je découvrais l'arbre à écureuils. Le voici :

    Je n'ai pas reconnu l'essence de cet arbre dénudé au bord du petit lac. Ses nombreux trous sont occupés par oiseaux et écureuils.









    Je les trouve vraiment trop craquants avec leurs oreilles dressées, leurs yeux ronds et leurs doigts serrés sur la noix ramassée.



    Bon appétit, mes amis !

    31 commentaires
  • Au Parc Bordelais j'ai enfin rencontré des écureuils ! Cela faisait des années que je n'en n'avais pas vus ! Depuis plusieurs mois je les cherche dans les arbres, même dans des parcs où j'en avais souvent observés...
    Non, n'exagérons rien : je ne monte pas dans les arbres pour les chercher, je regarde du bas...
    Au parc Bordelais donc j'en ai vu un peu partout, dans des chênes, dans des ifs et même des platanes. Ils sautent de branches en branches, tantôt acrobates, tantôt funambules, et se promènent un peu partout.
    J'ai discuté avec une habituée du Parc qui vient les nourrir chaque jour, leur apportant des noix cassées en deux... Elle essaie de les faire descendre de leurs arbres en leur tendant ses friandises.


    Parfois l'un d'eux accourt vers la noix qu'elle a jetée. Il joue à cache-cache avec elle,


    Prend la noix et remonte vite la dévorer dans l'arbre , légèrement goguenard...

    Merci, la Fée Cureuil...

    33 commentaires
  • Le phare de Goulphar, appelé aussi le Grand Phare de Kervilahouen est situé sur la côte ouest de Belle Ile.

     C'est une tour de granit de 52 mètres au dessus du sol et 92 mètres au dessus du niveau de la mer, jouxtant les bâtiments techniques et d'habitation des gardiens. C'est l'un des phares les plus puissants de France, d'une portée de 50 kms. Du haut du Grand Phare, le panorama sur Belle-Ile est magnifique. Dommage je n'y suis pas montée...






    Quand je suis revenue prendre ma place face aux aiguilles de Port-Coton je n'étais pas plus inspirée par ces rochers mais très admirative devant les oeuvres de certains stagiaires, émules de Monet...

    36 commentaires
  • Toujours à Belle Ile en Mer, un site très célèbre a été peint maintes fois par Claude Monet en 1886, c'est celui des Aiguilles de Port-Coton, sur la côte sauvage très découpée entre la pointe du Grand Guet et Goulphar.
    Monet décrivait ainsi ces paysages qui le fascinaient : "C'est sinistre, diabolique mais superbe et je ne crois pas retrouver pareille chose ailleurs".

    (Peinture de Claude Monet , empruntée sur le net)

    En juillet 2008, lors du stage d'aquarelle dont je vous ai déjà parlé (le phare du Poulain), nous nous sommes installés sur la falaise, face aux fameuses aiguilles de Port-Coton.





    Après avoir passé la matinée à essayer de retranscrire ces rochers aux formes très découpées, notamment le deuxième celui qui ressemble à un chien hurlant à la lune (visible sur mes deux premières photos), j'ai comme d'habitude rendu mon tablier.

    Vous pouvez voir mon siège vide : le vert à fleurs blanches sur la gauche. C'est un siège pour enfant qui se plie et se range dans une pochette avec une bretelle très pratique pour le porter.
    Bref j'ai laissé les aquarellistes confirmés pour aller photographier le phare de Goulphar...


    30 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique