• En 2016, j'ai assisté au Salon du livre "Les Pages du Bassin".

    Parmi les auteurs présents, il y avait François Darnaudet, auteur de plusieurs romans. J'avais lu de bonnes critiques sur cet auteur, notamment sur son dernier livre "L'homme qui valait des milliards". 

    Mais surtout, j'ai eu à la fac un prof de maths que j'appréciais beaucoup qui portait le même nom alors quand j'ai vu que cet écrivain était aussi prof de maths je n'ai pas hésité à lui demander si son père n'avait pas été prof de maths à la fac de Sciences Economiques.

    Et c'était bien le cas. Gérard Darnaudet avait alors 80 ans et le fils m'a promis d'envoyer mon bon souvenir à son père.

    Ce prof de maths était exceptionnel car il simplifiait les maths pour permettre à ceux qui venaient d'une filière non scientifique de rattraper le niveau, et cela m'a permis d'obtenir mes diplômes universitaires sans jamais redoubler. Il m'avait même encouragée à préparer une agrégation en Sciences Economiques lorsque je cherchais ma voie...

    J'ai acheté à François Darnaudet : "L'homme qui valait des milliards" et "Bison ravi et le scorpion rouge". J'ai lu le premier et mis le second de côté.

    Et puis il y a quelques jours j'ai lu "Vie et mort de Vernon Sullivan" de Dimitri Kantcheloff. Cela m'a donné envie de lire "Bison ravi det le scorpion rouge", qui parle aussi de Boris Vian dont l'un des surnoms était Bison Ravi" et qui avait pour éditeur "Les éditions du scorpion".

    .

    Informations pratiques : roman de François Darnaudet, paru aux Editions "Mare nostrum", en 2009. 116 pages. 

    La 4ème de couverture :

    Le bouquiniste Julien Gras doit se procurer deux livres introuvables de Boris Vian et de Jean Forton. Raretés littéraires ou projets morts-nés des éditions du Scorpion ? Julien Gras mène une double enquête littéraire dans le triangle Bordeaux-Paris-Eus.

    Mon ressenti :

    Ce court roman se déroule de nos jours. Julien Gras libraire parisien, grand amateur de Boris Vian, père d'une jeune "Cuivre", en hommage à l'une des héroïnes de L"automne à Pékin" est sommé par trois malabars de leur trouver un exemplaire de "Les Casseurs de Colombes" de Boris Vian, paru aux Editions du Scorpion.

    François, un bon client, va l'aider pour Boris Vian et va lui demander l'intégrale de Jean Forton, auteur Bordelais.

    Julien Gras va partir à Bordeaux à la recherche de ces deux ouvrages, puis jusqu'à Eus et la Fondation Vian-Kubler. Il découvrira les quelques pages écrites par Boris Vian sur "Les Casseurs de Colombes", et conitnuera lui même le roman, en reprenant le code-univers de Boris. Il croisera le Major borgne échappé de ses romans et assistera aux représentations théatrales auxquelles participe sa fille, annonçant un spectacle et en présentant un autre.

    J'ai retrouvé avec plaisir ce que je savais déjà sur Boris Vian, ses romans, ses publications sous le pseudo "Vernon Sullivan" et j'ai découvert Jean Forton, dont je n'avais jamais entendu parler.


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  • Pour la troisième année des artistes de street-art sont venus pendant une semaine décorer des transformateurs électriques, à Arès, au bord du Bassin d'Arcachon. 10 transformateurs ont été décorés, cette année essentiellement de fleurs.

    32 des 52 transformateurs électriques présents sur la commune sont désormais peints. Les œuvres des artistes mettent en lumière la flore et la faune du Bassin d’Arcachon,  offrant un musée à ciel ouvert. Les promeneurs peuvent ainsi découvrir un lapin, une tortue, un crabe, un poisson, une pieuvre, une abeille, un sanglier, un cerf, un renard et des oiseaux, martin-pêcheur, aigrette garzette, héron cendré, tadorne de belon, hippocampe, lapin...

    Möka, artiste Bordelais de 37 ans est intervenu chaque année. La semaine dernière il a peint ce transformateur sur ces 4 faces, avec des coquelicots, une coccinnelle et de drôles d'oiseaux, qui semblent sortis d'un dessin animé.

    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...
    Street-art dans la ville - Coquelicots, oiseaux et coccinelle...

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  • Je viens de terminer 2 nouveaux chapeaux, avec les restes de laine des pulls avec des vagues que je vous ai montrés il y a quelques jours.

    Voici le chapeau à dominante rose :

    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...

    Et celui à dominante bleue :

    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...

    Et les deux ensemble :

    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...
    Deux nouveaux chapeaux au crochet - juin 2024...

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  • J'ai lu cette information sur le site positiv.fr. 

    Face à la désertification médicale de la France et la pénurie de médecins, il devient parfois difficile de trouver un médecin traitant, lorsqu'on emménage dans une nouvelle ville. 

    Baptiste Beaulieu. médecin (mais aussi romancier et homme de radio) a reçu un courrier de la part d’une dame de 74 ans installée depuis peu à Toulouse après avoir quitté Paris.

    Ne parvenant pas à trouver de docteur l’acceptant comme patiente, elle a décidé de “candidater” auprès de Baptiste Beaulieu, comme on postulerait à un job, en lui envoyant une lettre de candidature où elle décrit ses motivations et ses qualités : elle est en bonne santé, ne boit pas, ne fume pas et voit rarement le médecin. Elle fera donc une bonne patiente, pas souvent malade...

    Pour Baptiste Beaulieu, c'est le symbole de ce qu’est en train de devenir le système de santé français. Il en a parlé dans cette chronique édifiante sur France Inter :

    “C’est donc cela que va devenir le système de santé français : on soigne en priorité ceux qui peuvent payer, et ceux qui montrent patte blanche ? Qui ne fument pas ? Qui ne boivent pas ? Qui savent écrire une lettre de motivation à la main où ils vantent leurs mérites de bon patients qui se tiennent sages ? En gros, ce que cette nouvelle société voudrait, finalement et idéalement, ce sont des patients qui ne sont pas des malades.”

    “Eh bien non : la grandeur de notre société, et même peut-être de notre civilisation, c’est de soigner tout le monde, ceux qui boivent, ceux qui ne boivent pas, les qui mangent trop, les qui mangent pas assez, les qui fument un peu, beaucoup, passionnément, les qui prennent trop de café, les qui font pas assez de sport, les qui font trop de sport, les qui n’arrivent pas à se lever le matin parce qu’ils ont envie de crever, les qui se lèvent et font semblant d’aller bien mieux que les précédents, alors qu’il n’en n’est rien, les qui ont du fric, les qui n’en n’ont pas assez.”

    Plusieurs de mes proches se sont heurtés à ce problème pour trouver un médecin traitant. Mon neveu étudiant à Bordeaux a dû continuer à se faire soigner dans son Lot-et-Garonne natal, faute d'avoir réussi à se faire accepter par un docteur comme nouveau patient.

    Des retraités arrivant sur le Bassin d'Arcachon ont dû continuer à fréquenter leur médecin, à Bordeaux. 

    Gif emprunté sur le net

    Gif emprunté sur le net


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  • Je vous ai proposé hier de résoudre cette petite énigme assez simple, trouvée dans le journal Sud-Ouest.

    Annie se rend au marché pour acheter de quoi préparer une salade de fruits. Elle prend des fraises, des abricots, des poires et des kiwis.

    Sans les fraises, elle aurait payé 22 €.

    Sans les abricots, elle aurait payé 30 €.

    Sans les poires, elle aurait payé 33 €.

    Sans les kiwis, elle aurait payé 25 €.

    Quels fruits ont coûté le plus cher dans cette salade ?

    La réponse est : les fraises.

    Il n'y avait aucun calcul à faire.

    Ce sont les fraises qui ont coûté le plus cher à Annie.

    En effet, c'est sans ce fruit qu'Annie aurait déboursé le moins d'argent (22 €) comparé aux abricots, poires et kiwis.

     

     

     

    Voici les explications de Domi du blog "Mon petit journal d'ici et d'ailleurs" :

    sans les fraises c'est moins cher donc   ces sont les fraises qui ont coûté le plus cher.

     

    f

     

    Vous êtes seulement 6 à avoir trouvé la bonne réponse et donné les explications : 

    Jill Bill, Domi, Mori7, Chevrette sur Overblog

    et Marie-France et Durgalola sur Eklablog.

     

    Roguidine a proposé les poires et Jerry les abricots.

     

    Bravo et merci à toutes et tous !


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