• 90 minutes de rire avec" Thomas VDB s’acclimate"...

    Samedi 12 novembre, j'ai assisté au spectacle d'un humoristeque je ne connaissais pas, Thomas VDB.

    Il s’est donné en spectacle sur la scène de l’espace Brémontier, devant une salle comble, un public qui n’a cessé de rire et d’applaudir.

    Dans ce cinquième one-man-show, l’humoriste, également acteur, comédien et chroniqueur sur France Inter, s’inspire de l’actualité pour rire des petits et des grands travers de notre époque, évoquer l’écologie et ses enjeux.

    Il est vêtu à la "Charles Ingalls dans La petite maison dans la prairie", avec des vêtements achetés sur Leboncoin», selon ses dires. Le décor est minimaliste : un étendoir à linge avec quelques chaussettes orphelines.

    Devenu néorural dans l’Essonne, il évoque sa peur en voiture et en avion, sa phobie de la canicule. Il raconte aussi ses angoisses de jeune papa lorsqu'il a confié son fils à un inconnu trouvé sur une application pour prendre le train,  afin de rejoindre ses grands-parents dans le sud. Il raconte aussi comment sa compagne "l’invite à étendre le linge", évoquant "la charge mentale ménagère», nouvelle terminologie à la mode.

    Il ironise sur la volonté de nombreux néoruraux de fabriquer leur propre miel, délicieux et doté de vertus antiseptiques. Tout n'est pas aussi facile qu'il y parait et devenir apiculteur ne s'improvise pas. Il évoque le gâteau au chocolat sans sucre, aux trois farines, Annie Cordy chantant « Tata Yoyo », l’enfouissement des déchets nucléaires, le réchauffement climatique. Il chante, il danse, se moque de lui-même, de ses erreurs. 

    Il nous a fait rire aux larmes, permettant d’oublier l’actualité le temps du spectacle. . ¬

     

     

    90 minutes de rire avec" Thomas VDB s’acclimate"...
    90 minutes de rire avec" Thomas VDB s’acclimate"...
    90 minutes de rire avec" Thomas VDB s’acclimate"...
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  • Samedi 24 juillet à 21 h, j'ai assisté à la 8ème soirée des Arèstivales, en plein air. La météo avait annoncé de la pluie à partir de 22 h, mais nous ne nous sommes pas mouillés malgré un ciel bien noir.

    La compagnie Lyonnaise «La tête ailleurs»  a joué «Démasquées» au port ostréicole, devant des spectateurs masqués et munis d’un pass sanitaire. En 1 h 15 les 4 comédiennes ont conquis le public qui a beaucoup ri à leurs facéties, y compris deux fillettes qui se sont bien amusées, et qui ont été souvent les premières à rire.

    Le décor était minimaliste : un canapé, une table avec des verres, une étagère avec des bibelots, une poubelle en rotin, un masque vénitien, mais les actrices pétillaient et prenaient plaisir à jouer, à se renvoyer la balle, ou plutôt les piques. Steph, l’hôtesse, maniaque et guindée, mère de famille parfaite, recevait ses amies, Virginie, pétulante extravertie prenait beaucoup de place, Lulu délirait et gaffait, Sophie jouait l’Arlésienne ou les fantômes tandis que Jo arbitrait, bienveillante et introvertie.

    Mensonges, rancœurs, coups bas, quiproquos, mesquineries, s’enchaînent  dans ce vaudeville moderne, où chacun peut se reconnaître ou reconnaître son voisin.

    Il n'y a aucun temps mort,  des rebondissements, des arroseurs arrosés.

    J'ai beaucoup ri comme les autres spectateurs, applaudi et félicité les 4 comédiennes, différentes et complémentaires.

    Le texte et la mise en scène sont de Sandrine Corbioli qui joue aussi Lulu, et de Clément Moret-Bailly. Quel plaisir de rire, pour le public, et quel plaisir de jouer pour la Compagnie "La tête ailleurs", venue spécialement de Lyon !

     

    Si vous en avez l'occasion n'hésitez pas à aller applaudir cette jeune Compagnie dynamique et créative...

    Virginie, Jo, Steph et Lulu

    Virginie, Jo, Steph et Lulu

    Plaisir de rire, même masqués avec «Démasquées »
    Plaisir de rire, même masqués avec «Démasquées »
    Plaisir de rire, même masqués avec «Démasquées »
    Plaisir de rire, même masqués avec «Démasquées »
     

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  • En avril 2021, j'ai participé au jeu organisé par la Vache qui rit, pour célébrer son 100ème anniversaire.

    Il suffisait d'enregistrer son rire, ce que j'ai fait, pour l'association "Le rire médecin".

    Si vous voulez écouter, mon rire, cliquez ICI, puis sur la petite vache rouge.

    Quelques jours plus tard j'ai reçu un mail :

    Bravo ! Nous avons le plaisir de vous informer que vous êtes l’heureux gagnant d’une Boite à Meuh personnalisable La Vache qui rit.
    Un mois plus tard j'ai reçu un petit colis avec une boite à meuh personnalisable. En appuyant sur le bouton on peut enregistrer son rire (un mot d'amour ou autre) pendant 10 secondes, et lorsque l'on retourne la boite, on entend ce que l'on a enregistré.
     
    Un petit cadeau amusant que mes petits-enfants risquent de se disputer...

     

    Une boite à meuh La Vache qui rit...
    Une boite à meuh La Vache qui rit...
    Une boite à meuh La Vache qui rit...

    Pour ceux qui n'ont jamais vu de boite à meuh ou boite à vache, c'est une boite cylindrique qui, lorsqu'elle est retournée (en dirigeant vers le bas les trous présents sur sa face supérieure) puis remise dans le bon sens, produit un son imitant le meuglement de la vache. Elle est généralement décorée d'une image de vache.

    Mais il existe aussi des boîtes reproduisant d'autres cris d'animaux, tels que le miaulement d'un chat ou le chant d'un oiseau. 'source : wikipédia)


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  • Cela faisait bien une semaine qu'il ne cessait de pleuvoir, alors hier, dès qu'il y a eu une éclaircie, j'ai pris mon vélo, mon masque, mon attestation dérogatoire, mon appareil photo et je suis partie me promener.

    J'avais envie de voir mon oiseau bleu préféré, le martin-pêcheur, alors -pour ceux qui me suivent- il est facile de deviner où je suis allée : près du port ostréicole.

    J'ai aperçu quelques aigrettes, des mouettes rieuses et des petits limicoles que j'ai photographiés sans les reconnaître. J'allais repartir quand j'ai aperçu des tadornes en train de pêcher. J'ai posé mon vélo sur sa béquille près du parapet, pris l'appareil photo dans le sac et j'ai posé le cache objectif et mes lunettes de vue dans le sac, lui-même posé dans le panier à l'arrière du vélo.

    La béquille a lâché dans le bas-côté détrempé, le vélo a glissé contre le parapet et mon sac photo et son contenu ont basculé de l'autre côté, dans la vase. J'étais bien embêtée, car je ne voyais aucun moyen de descendre au bas du parapet, pour récupérer le sac photo et les lunettes. Je suis entrée, masquée, dans une cabane qui vend des huîtres, pour demander comment descendre. Une dame qui triait des huîtres m'a dit qu'il n'y avait pas d'escalier mais que je pouvais essayer de descendre le parapet en m'accrochant aux pierres, ou faire le tour le long du parapet puis le longer, dans la vase.

    Le parapet mesure 2 ou 3 mètres de hauteur en pente assez droite : impossible pour moi de descendre par là. J'ai choisi de passer dans la vase. Je suis revenue à l'entrée du port. J'ai garé mon vélo et je suis descendue dans la vase. J'ai marché le long du parapet pendant une centaine de mètres. Mes chaussures s'enfonçaient, se coinçaient parfois et je glissais. J'ai ramassé un morceau de piquet et m'en suis servie pour éviter de tomber. Là où les salicornes et les herbes ont poussé je n'ai pas eu trop de mal, mais plus d'une fois j'ai failli m'étaler sous le regard moqueur des mouettes.

    J'avais l'impression que ça n'en finissait pas et que j'allais rester là, scotchée, personne ne me voyant. J'ai fini par arriver à l'endroit où mon sac avait atterri. Les lunettes étaient plus loin, pas cassées, et le cache-objectif était coincé sans le parapet entre 2 pierres. Mon pantalon et mes pieds étaient couverts de vase, le sac aussi. Mais j'avais tout récupéré et je suis repartie en longeant le parapet, et en faisant attention à ne pas glisser. Il m'a fallu 30 minutes pour faire l'aller retour dans la vase.

    J'ai retrouvé mon vélo et suis rentrée, les pieds et les mains couverts de vase.

    Mais la vase et le ridicule ne tuent pas. 

     

    Le petit point rougesur la 1ère photo indique où était tombé mon sac
    Le petit point rougesur la 1ère photo indique où était tombé mon sac

    Le petit point rougesur la 1ère photo indique où était tombé mon sac


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  • J'ai photographié ce totem publicitaire, enseigne verticale destinée à attirer les clients, dans les rues commerçantes d'une ville Suisse, en juin 2011. 

    Cette petite famille est amusante et sympathique. Mais qu'ont-ils en commun ?

    Cherchez bien...

    Tous ont de grandes dents, même le chien et le bébé, sauf le chat-doudou.

    Ce ne sont pas des canons de beauté.

    Ils ont tous des lunettes, différentes et colorées, même le doudou...

     

    Petite famille, totem publicitaire original...
    Petite famille, totem publicitaire original...

    C'est un totem pour un opticien : "Central Optic"...


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