• Achetez le dixième "13 à table" pour aider Les Restos du Coeur...

    L'opération "13 à table" a déjà 10 ans. En achetant ce petit livre pour 6 €, vous offrirez 5 repas aux bénéficiaires des Restos du Coeur. En 10 ans, toutes les recettes reversées aux Restos du cœur ont financé près de 7,4 millions de repas.

    Cette année encore, Les éditions Pocket ont mobilisé 15 personnalités renommées qui ont offert chacune une nouvelle regroupée dans ce recueil : Philippe Besson, Michel Bussi, Maxime Chattam, François d’Epenoux, Lorraine Fouchet, Karine Giebel, Raphaëlle Giordano, Philippe Jaenada, Alexandra Lapierre, Cyril Lignac, Agnès Martin-Lugand, Romain Puértolas, Tatiana de Rosnay, Leïla Slimani, Franck Thilliez.

    La couverture a été dessinée par l’auteur de bande-dessinée et réalisateur Riad Sattouf. 

    Cette année, les Restos du cœur ont encore plus besoin de soutien que les précédentes car les demandes d’aide alimentaire, sont montées en flèche  dans un contexte d’inflation et de coûts de fonctionnement en hausse.  Ils risquent de devoir refuser 150 000 bénéficiaires cet hiver. 

    Objectif : vendre 250 000 exemplaires pour offrir un million de repas aux Restos du cœur. 

    Je l'ai acheté cette année encore et le chroniquerai bientôt.


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  • Mardi 25 juillet, j'ai participé à la collecte de Don du Sang, organisée à Arès, au Domaine des Lugées, par l'Etablissement Français du sang et l'Amicale des volontaires du sang d'Arès-Lège Cap-Ferret.

    L'été, les besoins de sang restent constants mais il est plus difficile de mobiliser les donneurs, partis en vacances pour certains.

    Tant que je le peux, je continue de donner mon sang, d'autant plus que, comme 6 % de la population, mon groupe sanguin est "O-", donneur universel. Je suis donc souvent contactée pour le donner.

    Pour pouvoir donner, il faut avoir entre 18 et 70 ans, peser au moins 50 Kg, ne pas avoir eu de maladie grave et être reconnu médicalement apte au don.

    Le don de sang est indispensable et irremplaçable car il n’existe aucun produit capable de se substituer au sang humain et la durée de vie des produits sanguins est limitée. Même ChatGPT et l'Intelligence Artificielle n'ont pas trouvé comment le remplacer.

    L'accueil par les bénévoles et le personnel médical est toujours chaleureux. Le président de l'association arésienne est un monsieur chaleureux qui a toujours un mot pour vous détendre et vous faire rire. 

    Vous devez d'abord remplir un questionnaire, puis une secrétaire vérifie vos coordonnées. Ensuite un médecin ou une infirmière reprend le questionnaire et le complète avec vous.

    Le don en lui même ne dure que 8 à 10 minutes. Vous êtes allongé confortablement, entouré d'infirmières et la piqûre ne fait pas mal. 

    Après le don, les bénévoles chargés de la restauration vous offrent au choix jus de fruits, pâtes de fruits, fruits frais, sandwichs, et ici des huîtres, l'été.

    C'est souvent l'occasion de rencontrer de sympathiques personnes parmi le personnel médical, les bénévoles et les donneurs.

    Vous pouvez donner votre sang, mais aussi votre plasma (de 18 à 65 ans) ou vos plaquettes (18 à 65 ans).

     

    Alors si vous avez entre 18 et 70 ans et êtes en bonne santé, pourquoi ne pas donner ?


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  • Lorsque j'étais correspondante locale de presse, pour le journal Sud-Ouest, j'ai rencontré plusieurs auteurs.

    Le docteur Gérard Simmat, a écrit une cinquantaine d’ouvrages sur Poitiers, la Vienne, mais aussi Andernos, Arès et le Bassin d’Arcachon. Il a dédicacé cet été  son dernier livre «Arès Histoire de l’Aérium», et le précédent « «Arès 1851 Le livre des 170 ans». Il souhaite écrire un nouvel ouvrage sur l’histoire du Port ostréicole d’Arès et a besoin pour l'illustrer de photos de sa construction à la fin des années 1960 (pas de cartes postales) ainsi que du camion d’essence qui venait ravitailler les ostréiculteurs à cette époque. 

    J'avais fait paraître sa demande dans Sud-Ouest en octobre 2022 mais il n'a pas eu de retour.

    Si vous, lecteur régulier ou de passage, avez des photos de cette construction, laissez moi un commentaire ou utilisez le formulaire "contact" dans le menu en haut du blog.

    Merci d'avance

     

    Recherche photos de la construction du Port Ostréicole d'Arès...
    Recherche photos de la construction du Port Ostréicole d'Arès...
    Recherche photos de la construction du Port Ostréicole d'Arès...
    Recherche photos de la construction du Port Ostréicole d'Arès...
    Recherche photos de la construction du Port Ostréicole d'Arès...

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    J'ai découvert sur le site positivr.fr cette magnifique vidéo de la BBC (durée 3'34).

    Un lion est encerclé puis attaqué par une vingtaine de hyènes, ricanantes, qui vont sans doute l'exterminer.

    Elles sont affamées et peu impressionnées par le roi des animaux, qui se défend comme il peut.

    Les rugissements du lion attirent un de ses congénères qui vient à sa rescousse et fait fuir les hyènes.

    Les dernières minutes sont magnifiques. Le lion sauvé remercie l'autre à sa façon : un joli moment de tendresse...

     


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    Ibrahima Tounkara a construit seul un micro-barrage pour électrifier son village...

    Ibrahima Tounkara est un jeune Guinéen, professeur de mathématiques, avec une formation d'ingénieur.

    Il a décidé de construire un barrage hydroélectrique sans savoir comment s'y prendre.

    Il a d'abord acheté avec ses économies un smartphone et consulté pendant 5 mois tous les sites internet utiles. Des panneaux solaires lui ont permis de recharger le portable.

    Fin 2016 il a commencé la construction d'un micro-barrage sur un petit torrent, proche de Bolodou, localité où il est né.

    Il a fabriqué une petite turbine reliée par une poulie à une dynamo qui transforme l'énergie mécanique en électricité. Il a ensuite construit, aidé d'un maçon, un petit barrage qui canalise l'eau du torrent et la conduit vers cette turbine.

    Il a dépensé 5000 euros pour réaliser son projet.

    Depuis mai 2017, l'installation fournit une puissance de 9 km/h et alimente le village en électricité, 90 foyers qui jusque-là n'y avaient pas accès..

    Chaque foyer paie 19 ct par semaine, destinés à rémunérer un jeune en charge de l'entretien du barrage.

    Ibrahima Tounkara mesure déjà les limites de son système : conduites d'eau à colmater car pas suffisamment résistantes.

    Un soutien de l'Etat et de mécènes devrait lui permettre de consolider le micro-barrage et d'augmenter sa puissance pour fournir d'autres villages.


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