• En février 2024, j'ai regardé 3 films sur la médiathèque numérique proposée gratuitement par les bibliothèques de Gironde : "La vache qui chantait le futur",  "Seconde jeunesse" et "Anatomie d'une chute".

    - "La vache qui chantait le futur", film de Francisca Alegria avec Léonor Varela, Mia Maestro, Alfredo Castrosorti en juillet 2023. Durée : 1h38. 

    Résumé :  

    Cecilia, chirurgienne à la ville, doit revenir précipitamment avec ses deux enfants à la ferme familiale où vivent son père et son frère dans le sud du Chili. Au même moment, des dizaines de vaches sont frappées d’un mal mortel et la mère de Cecilia, disparue depuis plusieurs années, réapparaît.

    Mon ressenti : 

    Ce film se déroule dans le Sud du Chili et mêle fable écologique et renaissance d'une mère disparue (pas indispensable). Il y a des poissons morts, des vaches malades, un garçon qui veut devenir une fille… Cecilia, chirurgienne, rentre à la ferme familiale avec ses deux enfants pour prendre soin de son père. Le vieil homme a fait un malaise en croyant voir à travers une vitrine sa femme, morte plusieurs années auparavant dans des circonstances énigmatiques dans les eaux de la rivière. Elle retrouve son frère, qui s'occupe des vaches laitières. Insémination, séparation des veaux de leurs mères.

    Le scénario de La vache qui chantait le futur est inspiré par un événement qui s'est déroulé en 2017 dans le sud du Chili, où des milliers de poissons ont été trouvés morts dans une rivière après l’installation d’une usine de papier.

    J'ai vu ce film début février et j'ai déjà tout oublié.

    Ma note : 2,5/5 (Note moyenne spectateurs : 2,9/5, note moyenne presse : 2,9/5).

    - "Seconde jeunesse", film de Gianni di Gregorio avec Gianni di Gregorio, Stefania Sandrelli, Alfonso Santagata, sorti en août 2023. Durée : 1h33.

    • Résumé :   

    Astolfo, professeur à la retraite, doit quitter son appartement romain, expulsé par la propriétaire. Désargenté, il décide de retourner au village de ses ancêtres, pour habiter le palais familial en ruine, vestige d'un patrimoine que chacun tente d'accaparer. Il se lie d’amitié avec le marginal qui squatte depuis des années la demeure, mais aussi avec un cuisinier retraité et un jeune sans emploi. Mais surtout, il rencontre Stefania, une femme de son âge, timide, douce et généreuse. Encouragé par ses amis, Astolfo fait un pas courageux et apprend avec joie qu’il n’est jamais trop tard pour tomber amoureux.

     

    Mon ressenti :  

    Astolfo, professeur à la retraite, septuagénaire, expulsé de son appartement par sa propriétaire qui souhaite y installer sa fille, revient vivre dans sa maison de famille, un palais en ruine, dans le village de ses ancêtres. En son absence, les notables du village, maire et curé, se sont accaparés de ses biens, et un squatter s'est installé dans la demeure. Il va se lier d’amitié avec ce marginal, mais aussi avec un cuisinier retraité et un jeune sans emploi. Les hommes qu'il héberge lui apportent en échange d'autres choses : chaleur humaine, cuisine pour l'un d'eux..

    Astolfo va aussi rencontrer Stefania, une femme de son âge, timide, douce et généreuse, et, poussé par ses amis, va oser la revoir et démarrer une histoire d'amour.

     

     

    Ma note : 3,5/5 (Note moyenne spectateurs : 3,4/5, note moyenne presse : 3,5/5).

    - "Anatomie d'une chute", film de Justine Triet, avec Sandra Hüller, Swann Arlaud, Milo Machado-Graner, Antoine Reinartz, sorti en août 2023. Durée : 2h31.

    Palme d'or du Festival de Cannes 2023, 6 Césars , Oscar 2024 du meilleur scénario original.

    • Résumé :   

    Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple.

    Mon ressenti :  
    Daniel, onze ans, malvoyant, découvre le corps inanimé de Samuel, son père, dans la neige, devant le chalet où ils se sont installés depuis un an, espérant y recommencer leur vie sur d’autres bases. Samuel était un écrivain raté et dépressif. Sandra, sa compagne et mère de Daniel, à l'inverse réussissait tout, et menait une vie sexuelle débridée.
    Samuel est tombé du balcon du chalet mais s’est-il suicidé ou a-t-il été poussé dans le vide par Sandra ?
    Après un an d’enquête, l’instruction conclut à la culpabilité de Sandra. Un procès se tient qui la met sur la sellette, révèle ses infidélités passées, sa bisexualité, met à nu les disputes orageuses qui l’opposaient à Samuel et laisse au seul Daniel la seule responsabilité dans son témoignage d’innocenter ou d’incriminer sa mère.
    Ce film de procès a reçu de très nombreux prix et de très belles critiques.
    J'ai apprécié le jeu de Sandra Hüller qui joue Sandra et celui de Swann Arlaud, son avocat, mais le jeune acteur jouant Daniel ne m'a pas paru naturel.
    Le film dure 150 minutes et m'a paru bien long, d'autant plus que la fin nous laisse sans réponse sur la culpabilité ou non de Sandra.
    Je n'ai pas compris pourquoi Sandra, allemande vivant en France, avec un mari et un enfant parlant français, parle anglais dans la moitié du film.
     
    Ma note : 3,5 (Note moyenne spectateurs : 4,2/5, note moyenne presse : 4,4/5).
     
    Des avis plus enthousiastes sur ce film : celui de Matatoune du blog "Vagabondage autour de soi" et celui de Dasola du "blog de Dasola".

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  • En janvier 2024, j'ai regardé 4 films sur la médiathèque numérique proposée gratuitement par les bibliothèques de Gironde : "Rabiye  Kurnaz vs George W. Bush",  "Sous le tapis", "Les algues vertes" et "L'homme qui a vendu sa peau".

    - "Rabiye Kurnaz vs George W.Bush", film d'Andreas Dresen avec Meltem Kaptan,  Alexander Scheer, Charly Hübnersorti en décembre 2022. Durée : 1h59. 

    Résumé :  

    Murat Kurnaz est arrêté en 2001 et détenu sans preuve dans le camp de Guantánamo pour terrorisme. Sa mère Rabiye Kurnaz va tout faire pour sa libération à travers une longue procédure judiciaire, y compris en attaquant à Washington le président des États-Unis, George W. Bush.

    Mon ressenti : 

    Ce film raconte  l'histoire vraie d'une mère de famille germano-turque prête à tout pour faire sortir son fils emprisonné à Guantanamo. Cela se passe en 2001, après les attentats et le gouvernement américain intensifie sa guerre contre le terrorisme. Murat, 19 ans, est arrêté sans preuve, accusé de terrorisme et emprisonné pendant 5 ans.

    Sa mère réussit à se faire accompagner par un avocat qui se consacrera entièrement à cette cause . Des liens d'amitié vont se nouer entre eux.

    Meltem Kaptan incarne cette mère courageuse et déterminée avec beaucoup de talent et a été récompensée par un Ours d'argent à la Berlinale 2022, le film remportant l'Ours d'argent du meilleur scénario.

    Ma note : 3,0/5 (Note moyenne spectateurs : 2,9/5, note moyenne presse : 2,8/5).

    - "Sous le tapis", film de Camille Japy avec Ariane Ascaride, Bérénice Bejo, Thomas Scibeca, sorti en juillet 2023. Durée : 1h37.

    • Résumé :   

    Odile se prépare à fêter son anniversaire. Alors que ses enfants et petits enfants sont en route pour la soirée, Jean, son mari, décède brutalement. Incapable de faire face à cette réalité, elle le cache sous son lit...

     

    Mon ressenti :  

    Odile (Ariane Ascaride) attend ses enfants et petits-enfants qui viennent fêter son anniversaire, lorsque Jean, son mari, meurt d'une crise cardiaque. Dans le déni, elle cache le corps sous son lit et ne parle de rien à l'arrivée de ses enfants : Sylvie (Bérénice Bejo), venue avec ses deux enfants  et son nouveau compagnon, Mathieu,  passionné de vélo, accompagné de sa fille et Lucas en couple avec Clara, baba-cools amoureux. La mère est secrète. La fille est snob, le fils est fou-fou.

     

    La relation entre Odile et Sylvie est conflictuelle. Lucas et Clara sont insouciants. Mathieu ne pense qu'à sa course de vélo et ne sera pas là pour épauler sa compagne. Le petit garçon va découvrir le corps et garder le secret comme demandé par sa grand-mère. Puis la vérité va éclater et Sylvie va s'occuper des formalités.

    Malgré le sujet traité il y a des moments tendres et drôles, lorsque Clara et les enfants organisent une cérémonie joyeuse et fleurie autour du lit du grand-père.

     

    Odile va dévoiler le secret de famille qui la rongeait. Lucas et Clara vont se révéler plus solides et équilibrés qu'à première vue.

    C'est bien joué et plutôt tendre et amusant.

     

    Ma note : 3,5/5 (Note moyenne spectateurs : 3,4/5, note moyenne presse : 3,1/5).

    - "Les algues vertes", film de Pierre Jolivet, avec Céline Sallette, Nina Meurisse, Julie Ferrier, sorti en juillet 2023. Durée : 1h47.

    • Résumé :   

    À la suite de morts suspectes, Inès Léraud, jeune journaliste, décide de s’installer en Bretagne pour enquêter sur le phénomène des algues vertes. À travers ses rencontres, elle découvre la fabrique du silence qui entoure ce désastre écologique et social. Face aux pressions, parviendra-t-elle à faire triompher la vérité ? Adaptation des algues vertes - l’histoire interdite, la bande dessinée d’Inès Léraud et Pierre Van Hove, tirée de l'enquête menée par Inès Léraud sur le scandale des algues vertes.

    Mon ressenti :  
    Pierre Jolivet a adapté le roman graphique d’Inès Léraud sur le scandale des algues vertes. Son personnage principal est la journaliste, dont il raconte le combat difficile sur plusieurs années en Bretagne.
    Inès Léraud (Céline Sallette), jeune journaliste, s’installe avec sa compagne, Judith ( Nina Meurisse ), en Bretagne pour enquêter sur le phénomène des algues vertes, après la mort d'un joggeur, puis de sangliers et de chevaux.
    Inès va enquêter et se heurter à l'omerta face à ce désastre écologique et social. Personne ne veut l'aider pour ne pas nuire au tourisme en Bretagne. Il n'y a pas eu d'autopsie des morts, pas d'avertissement de danger sur les zones polluées par les gaz toxiques.
    Elle est soutenue par sa compagne, toujours positive.
    Ma note : 4,0 (Note moyenne spectateurs : 3,5/5, note moyenne presse : 3;9/5).

    - "L'homme qui a vendu sa peau", film de Kaouther Ben Ania, sorti en mai 2022. Durée : 1h48.

    • Résumé :   
    Sam Ali, jeune syrien sensible et impulsif, fuit son pays pour le Liban afin d’échapper à la guerre. Pour se rendre en Europe et vivre avec l’amour de sa vie, il accepte de se faire tatouer le dos par l’artiste contemporain le plus sulfureux au monde. En transformant son corps en une prestigieuse œuvre d’art, Sam finira toutefois par découvrir que sa décision s’est faite au prix de sa liberté.
    Mon ressenti :  
    Le réalisateur s'est inspiré de l'histoire vraie d'un suisse dont le tatouage sur son corps était devenu un chef d'oeuvre présenté dans les musées internationaux.
    Dans  ce film il raconte l'histoire d'un Syrien qui a accepté de se faire tatouer le dos par un grand artiste pour pouvoir émigrer en Europe et voyager. Son héros a signé un contrat et doit se présenter à intervalle régulier à des expositions, où son dos est exposé. 
    Ce film est assez dérangeant. L'homme devenant un objet d'art, qui sera photographié, commenté et même vendu.
     
    Ma note : 3,5 (Note moyenne spectateurs : 3,5/5).

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  • En décembre 2023, j'ai regardé 3 films sur la médiathèque numérique proposée gratuitement par les bibliothèques de Gironde : "Dalva",  "Des mains en or" et "Sexygénaires".

    - "Dalva", film d'Emmanuelle Nicot avec Zelda Samson, Alexis Manenti, Fanta Guirassysorti en mars 2023. Durée : 1h20. 

    Résumé :  

    Dalva a 12 ans mais s'habille, se maquille et se vit comme une femme. Un soir, elle est brusquement retirée du domicile paternel. D'abord révoltée et dans l'incompréhension totale, elle va faire la connaissance de Jayden, un éducateur, et de Samia, une adolescente au fort caractère. Une nouvelle vie semble alors s’offrir à Dalva, celle d’une jeune fille de son âge.

    Mon ressenti : 

    Dalva est une jeune Lolita sous l'emprise de son père, qu'elle adule, maquillée et vêtue comme une femme alors qu'elle a 12 ans. Ella a vécu recluse au domicile paternel, à sa merci. Suite à une dénonciation du voisinage, elle est placée dans un foyer de l’ASE (l’Aide Sociale à l’Enfance). Dans le déni, révoltée contre cette décision et déboussolée, elle est en rébellion contre tous, souvent provocatrice. Entourée de toute une équipe d'éducateurs, et au contact d'autres jeunes filles, comme Samia, fille d'une prostituée, elle va progressivement prendre conscience de l'emprise et de l'inceste qu'elle subissait et va redevenir une fillette de 12 ans.

    Il y a beaucoup de pudeur dans ce film, illuminé par les deux jeunes actrices (Zelda Samson et Fanta Guirassy). 

    Ma note : 4,0/5 (Note moyenne spectateurs : 4,0/5, note moyenne presse : 3,8/5).

    - "Des mains en or", film d'Isabelle Mergault avec Lambert Wilson, Josiane Balasko, Sylvie Testud, sorti en juin 2023. Durée : 1h30.

    • Résumé :   

    François, futur académicien, est un écrivain célèbre. Avec une épouse chirurgienne, un cercle d’amis de haut rang, sa vie serait un bonheur parfait s’il ne souffrait d’un terrible mal de dos qui empoisonne son existence. Lorsque François, par le plus grand des hasards, rencontre l’incroyable Martha aux mains guérisseuses, ses douleurs de dos vont s’atténuer. Il va devenir dépendant des mains de Martha qui l’apaisent davantage que n’importe quel antidouleur. Entre ces deux personnages se tisse une amitié étonnante, avec l'occasion pour eux d'enfin saisir le meilleur que la vie peut leur offrir.

     

    Mon ressenti :  

    François (Lambert Wilson) est un écrivain, bourgeois froid et élégant qui va accéder à l'Académie Française, mais souffre de mal de dos. Il est marié à Rose (Sylvie Testud), médecin qui le soigne. Il croise une femme plus ordinaire Martha (Josiane Balasko) qui aime chanter et se produit dans un restaurant/pub du bord de mer en Normandie. Martha a des mains en or qui soulageront son mal de dos.

    François et Martha, deux êtres très différents, vont se lier d'amitié.

    Leur duo fonctionne bien.

     

    Ma note : 4,0/5 (Note moyenne spectateurs : 3,3/5, note moyenne presse : 2,2/5).

    - "Sexygénaires", film de Robin Sykes, avec Thierry Lhermitte, Patrick Timsit, Matie Bunel, sorti en juin 2023. Durée : 1h20.

    • Résumé :   
    À soixante ans passés, deux amis en proie à des difficultés financières vont tirer profit de leur image dans le milieu de la mode et de la publicité. L’un est encore beau, l’autre ne l’a jamais été. Mais au-delà du jeu des apparences, qu’est-ce vraiment que d’avoir l’âge de la retraite aujourd’hui ?
    Mon ressenti :  
    Michel (Thierry Lhermitte) et Denis (Patrick Timsit) sont deux amis de longue date, à l'âge de la retraite et en galère financière. Denis joue dans des films publicitaires et en l'accompagnant sur un tournage, Michel va être repéré pour faire du mannequinat "séniors". Ce sont des "sexygénaires".
    Patrick Timsit en fait un peu trop, alors que Thierry Lhermitte est crédible.
     
    Ma note : 3,0 (Note moyenne spectateurs : 2,5/5, note moyenne presse : 2,8/5).

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  • Le centre commercial baptisé "Les Portes du Bassin", de plus de 70 000 m² à Arès (Bassin d'Arcachon) a ouvert en décembre 2021, avec de nombreux commerces, dont un centre Leclerc. 

    La galerie commerciale s'étoffe au fil des mois.

    Depuis fin novembre, la galerie est décorée pour Noël.

    Décorations de Noël 2023 aux Portes du Bassin...
    Décorations de Noël 2023 aux Portes du Bassin...
    Décorations de Noël 2023 aux Portes du Bassin...
    Décorations de Noël 2023 aux Portes du Bassin...
    Décorations de Noël 2023 aux Portes du Bassin...
    Décorations de Noël 2023 aux Portes du Bassin...

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  • En novembre 2023, j'ai regardé 4 films sur la médiathèque numérique proposée gratuitement par les bibliothèques de Gironde : "Quand tu seras grand",  "Le principal", "Arrêtez-moi là" et "The Lady".

    - "Quand tu seras grand", film d'Andréa Bescond et Eric Métayer avec Vincent Macaigne, Aïssa Maïga, Evelyne Istriasorti en avril 2023. Durée : 1h39. 

    Résumé :  

    Yannick est aide-soignant dans une maison de retraite. Entre pression permanente et restrictions budgétaires, il fait face aux manques de moyens avec une bonne humeur contagieuse. Mais lorsqu’on lui impose de partager le réfectoire avec une classe d’enfants, la situation se complique. Leur arrivée ainsi que celle de son animatrice, Aude, va bousculer le quotidien de tous et surtout des résidents.

    Mon ressenti : 

    Yannick (Vincent Macaigne) est aide-soignant, impliqué et râleur dans un EHPAD.  Il va s'irriter de devoir accueillir à la cantine les enfants de l’école voisine et Aude, leur animatrice. Mais petit à petit, des liens d’amitiés vont se créer entre enfants et pensionnaires, et ils vont partager de beaux moments.

    C'est enjoué et bien joué. Aïssa Maïga qui joue Aude est radieuse et Vincent Macaigne, bougon à souhait.

    Ce film rappelle "Un petit miraclefilm de Sophie Boudre, avec Alice Pol, Jonathan Zaccaï, Eddy Mitchell, Régis Laspalès, sorti en janvier 2023, où, suite à l'incendie d'une petite école, la classe va être installée dans la maison de retraite locale.
    Ma note : 3,5/5 (Note moyenne spectateurs : 2,8/5, note moyenne presse : 3,1/5).
     

    - "Le principal", film de Chad Chenouga avec Roschdy Zem, Yolande Moreau, Marina Hands, sorti en mai 2023. Durée : 1h22 

    • Résumé :   

    Sabri Lahlali, Principal adjoint d’un collège de quartier, est prêt à tout pour que son fils, sur le point de passer le brevet, ait le dossier scolaire idéal. Mais il ne sait pas jusqu’où son entreprise va le mener.

     

    Mon ressenti :  

    Sabri (Roschdy Zem) est un principal adjoint aussi rigide dans son collège de province avec ses collègues qu'à la maison avec son fils qui va passer le brevet. Au collège il est assez odieux avec ses collègues, notamment le professeur d'histoire, qui s'entend bien avec son ex-femme, professeur elle aussi.

    Insatisfait de l'implication de son fils dans les révisions alors qu'il souhaite qu'il entre dans un établissement élitiste, il va commettre une indélicatesse.

     Yolande Moreau est la principale du collège.

     

    Ce film a été inspiré par un faits divers réel.

     

    Ma note : 3,5/5 (Note moyenne spectateurs : 2,9/5, note moyenne presse : 3,3/5).

    - "Arrêtez-moi là", film de Gilles Bannier, avec Reda Kateb, Léa Drucker, Gilles Cohen, sorti en janvier 2016. Durée : 1h34

    • Résumé :   
    Chauffeur de taxi à Nice, Samson Cazalet, la trentaine, charge une cliente ravissante à l’aéroport. Un charme réciproque opère. Le soir même, la fille de cette femme disparaît et des preuves accablent Samson. Comment convaincre de son innocence lorsqu’on est le coupable idéal ?
    Mon ressenti :  
    Ce film traitre de l'erreur judiciaire. Samson (Reda Kateb) est un chauffeur de taxi qui va être désigné comme coupable de l'enlèvement de la fille d'une cliente, car c'est le dernier à avoir vu la mère et la fillette.
    L'.enquête va être bâclée par la police, et Samson va être défendu par un piètre avocat commis d'office, Puis un gros cabinet d'avocats va le défendre pour empocher une très grosse commission sur les dommages et intérêts énormes qu'ils réclameront pour lui,
    Réda Kateb est un acteur que j'apprécie beaucoup. Il est excellent dans ce film, gardant son calme face à cette injustice.
    Ma note : 4,0 (Note moyenne spectateurs : 3,4/5, note moyenne presse : 3,3/5).
     

    - "The Lady", film de Luc Besson, avec Michèle Yeoh, David Thewlis, Benedict Wong, sorti en novembre 2011. Durée : 2h07

     

    • Résumé :   
    "The Lady" est une histoire d’amour hors du commun, celle d’un homme, Michael Aris, et surtout d’une femme d’exception, Aung San Suu Kyi, qui sacrifiera son bonheur personnel pour celui de son peuple. Rien pourtant ne fera vaciller l’amour infini qui lie ces deux êtres, pas même la séparation, l’absence, l’isolement et l’inhumanité d’une junte politique toujours en place en Birmanie. "The Lady" est aussi l’histoire d’une femme devenue l’un des symboles contemporains de la lutte pour la démocratie.
    Mon ressenti :  
    Ce film est un biopic sur l'opposante birmane Aung San Suu Kyi (Michelle Yeoh), qui a sacrifié sa vie de famille avec Mike, un mari attentionné, professeur à l'Université et deux fils, Kim et Alex pour son pays. Elle a quitté l'Angleterre où elle vivait, pour oeuvrer pour son pays, la Birmanie, et poursuivre le combat de son père. Elle vit dans la maison de ses parents, cernée par l'armée, et ne mourra pas revenir en Angleterre car la junte ne la laisserait pas rentrer.
    Ma note : 4,0 (Note moyenne spectateurs : 3,7/5, note moyenne presse : 2,4/5).

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