• Voici quelques photos de ma balade dans cette réserve, prises il y a quelques jours, en allant découvrir la nouvelle passerelle.

    Le canal qu'enjambe la passerelle :

    L'accès à cette réserve est gratuit mais réglementé : les vélos sont interdits et il faut rester sur le sentier balisé, bordé de pins, de chênes, d'arbousiers, de tamaris. A certains endroits, les racines rampent sur le sol.

     

    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...
    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...
    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...

    On longe un petit canal qui relie les anciens étangs à poissons. Il y a souvent des aigrettes, des canards, parfois un martin-pêcheur...

    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...
    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...
    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...

    Des écluses alimentent les anciens réservoirs avec l'eau du Bassin d'Arcachon.

    Balade dans la Réserve des Près Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret...

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  • Début janvier, je suis allée me promener au port ostréicole d'Andernos-les-bains et j'ai pris quelques photos.

    Il y a des bateaux d'ostréiculteurs, plates pour le transport des huîtres, mais aussi des pinasses, bateau en bois typique du Bassin d'Arcachon, comme la bleue, voiliers et autres bateaux de plaisance.

    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...

    J'ai photographié aussi une cabane de pêcheur, avec des filets accrochés au mur, des casiers à crevettes et à crabes, des corps-morts et des fils, et d'étranges triangles qui m'ont intriguée mais dont je ne connais pas l'usage. J'ai cherché sur internet sans trouver...

     

    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
    Le port ostréicole d'Andernos, janvier 2023...
     

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  • Le journal Sud-Ouest présente chaque jour cet été "Zéropédia", encyclopédie loufoque parue chez Dargaud.Le scénario est de Fabcaro et les illustrations fr Julien/cdm.

    Le 31 juillet, j'ai ainsi découvert la signification du mot "aposématisme"

    Il s'agit d'un mécanisme animal ou végétal consistant à envoyer un signal aux prédateurs pour les dissuader d'attaquer.

    Je trouve les illustrations très drôles, surtout le petit poisson qui brandit une pancarte "Je suis hyper dangereux !" face à un requin.

    Zéropédia - l'aposématisme...
    Zéropédia - l'aposématisme...
    Zéropédia - l'aposématisme...

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  • Il y a quelques jours je vous ai proposé une énigme avec des chiffres romains.

    En commentaire, Tadloiduciné a mis un lien vers un article sur le calcul à Rome. Cela m'a rappelé la multiplication assyrienne que j'ai découverte il y a près de 60 ans. J'en avais parlé sur ce blog en juillet 2009.

    ************

    Je ne vous cache pas que j'ai toujours aimé les maths...
    Quand j'étais petite, je lisais "Tout l'Univers", une revue scientifique pour les enfants.
    J'y ai découvert la multiplication Assyrienne inventée par un peuple qui ne disposait pas de calculettes (bien sûr) mais de cailloux ou coquillages, et ne savait que multiplier ou diviser par 2.

    Je vous explique :
    Pour multiplier par exemple 25 par 18, il faut faire 2 tas de cailloux : un de 25 à gauche et un autre de 18 à droite. Il est préférable de mettre le plus grand nombre à gauche.

    Dans le tas de gauche, vous allez diviser par 2 (en laissant tomber le reste quand il y en a : 25/2=12 avec reste 1, on met : 12) et dans le tas de droite vous allez multiplier par 2. On s'arrête quand on arrive à 1 dans le tas de gauche.

    25                 18
    12                 36
     6                   72 
    3                 144
    1                 288

    Ensuite on supprime toutes les lignes commençant par un nombre pair dans le tas de gauche. Il reste :

    25                 18
    3                 144
    1                 288

    Il faut alors additionner tous les nombres se trouvant dans la colonne de droite : 18 + 144 + 288 = 450.
    Vérifiez : 25 * 18 = 450
    Essayez, vous allez voir : c'est très amusant. Et si vous avez des enfants, cela devrait leur plaire...


    Coquillages appelés "Yeux de Sainte Lucie", trouvés en Corse


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  • Samedi 24 juillet 2021, le phare de Cordouan, sentinelle de l'estuaire de la Gironde, a été inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.

    Je l'ai visité en 2009, et j'ai repris l'article publié en juillet 2009 sur ce blog. J'ai appris en lisant le journal Sud-Ouest de dimanche que ce phare, jugé trop coûteux en entretien par les pouvoirs publics, dans les années 1970-1980, a failli être démonté et transporté aux Etats-Unis !

    *** 

    Au milieu de l'estuaire de la Gironde, à mi chemin entre Royan et le Verdon (7km de chaque ville) , se dresse majestueusement le phare de Cordouan, entouré à marée basse d'un immense banc de sable où il fait bon se reposer.


    Le phare a été conçu en 1594 par Louis de Foix, sous le règne d'Henri IV, qui a "inventé là une forme architecturale nouvelle où la beauté et le grandiose se combinent avec la fonction de tour à feu. L'architecte a su rassembler dans un grand projet les apports de la Renaissance Française et ceux de l'architecture italienne et espagnole du XVIème siècle. On y retrouve ainsi des lanternes proches de celles de Chambord, des dômes et des coupoles inspirés des modèles romains et du gigantesque palais de l'Escorial près de Madrid où Louis de Foix a travaillé. Le premier Cordouan, vaste tour circulaire s'organise selon trois étages à dôme, emboités les uns dans les autres, surmontés d'une lanterne et d'un obélisque, avec des colonnes ,des frontons, des fenêtres reprenant les règles des ordres doriques et corinthiens. A la fin du XVIIIème siècle, le phare va être transformé, élevé : la partie haute va être détruite et remplacée par une tour conique plus sobre." (extraits de "Cordouan, sentinelle de l'Estuaire").

    C'est le dernier phare en France à avoir été occupé par un gardien.

    On le voit de très loin, du côté Gironde et du côté Charente Maritime.
    J'avais envie depuis longtemps de le découvrir et samedi je me suis lancée. J'ai été à Meschers près de Royan et j'ai acheté un billet pour l'excursion.

    Le bateau de promenade s'arrête à marée descendante, près du banc de sable. Il faut ensuite monter dans un Zodiac qui nous rapproche de la plage et descendre les pieds dans l'eau. Le ravissement est là.

     

    Une petite digue de pierre permet l'accès au phare. Autour de petits rochers couverts d'algues et de coquillages : un régal pour les pêcheurs à pied, et pour la vue...


    J'ai monté les 311 marches étroites jusqu'en haut, en soufflant à mi-chemin pour contempler la petite chapelle dédiée à Notre Dame de Cordouan.





    Un mobilier hétérogène : fontaine, annexes de bateaux, coffres, sous de magnifiques coupoles...

    La montée est fatigante car l'escalier est étroit et c'est difficile de s'y croiser, mais arrivé tout en haut, du haut des ses 67 mètres, la vue est magnifique...





    Si vous passez dans la région, n'hésitez pas à aller faire la balade (environ 30 € par personne), de Royan, Meschers ou du Verdon...


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