• En me baladant entre la place Carnot à côté de la gare Perrache et la place Bellecour, j'ai aperçu une pancarte  indiquant le chemin pour aller à "Abbaye Saint-Martin-d'Ainay". J'ai suivi les flêches vers cet édifice dont je n'avais jamais entendu parler.
    J'ai été séduite par les extérieurs de l'abbaye, originaux grâce à l'alternance de pierres rouges et pierres ocres, par ses fresques sculptées.
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    Les jeux d'ombre sur la façade lui donnaient encore un côté plus mystérieux, et le ballon rouge coincé dans la gouttière m'intriguait.
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    Même pas abîmé, il m'a fait penser à mon livre préféré dont je vous ai déjà parlé : "Le ballon rouge".
    J'ai découvert une superbe porte pour la communauté "Portes du monde", gérée par mon aminaute Virjaja...

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    Cette église Saint-Martin d'Ainay, à Lyon, est une église romane très intéressante par son histoire, son architecture et ses sculptures. Si vous souhaitez des explications plus complètes vous pouvez aller sur le site suivant : http://abbayeainay.free.fr/


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  • Autour et sur le plan d'eau du parc Majolan, à Blanquefort (Gironde), se rencontrent canards, oies, cygnes et paons... Nous y avons croisé aussi des ragondins et aperçu des tortues, des libellules et même parfois des écureuils.
    Quand mes fils étaient enfants nous venions souvent nous balader dans ce parc aux allures un peu mystérieuses avec ses grottes et ses vestiges de monuments...
    Avec mon premier appareil photo numérique qui faisait 1,3 millions de pixels, j'avais photographié cet oiseau noir hésitant à plonger, patte en l'air, à moins qu'il ne danse,  fasse du yoga ou essaye d'imiter un flamant rose...
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    et cette jolie tortue hésitant à se lancer au milieu des nénuphars prêts à éclore. Sautera, sautera pas ?
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    D'autres balades à Majolan :
    - Balade photo au parc Majolan


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  • J'ai enfin pu le tester à l'extérieur, avec une belle luminosité, et les résultats me semblent très corrects. Cet appareil photo numérique m'a été offert dans le cadre d'un partenariat avec Top Achat. Vous pouvez voir le test des photos à l'intérieur en cliquant ICI.

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    Les photos ont été prises sur la plage de Saint-Brice, à Arès. Au fond : la plage des Quinconces, sur la commune voisine d'Andernos.

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  • Pour la communauté de mon aminaute Nicole, "les jolies maisons", voici deux photos d'une maison du Cap-Ferret, sur le bord de la plage, face à Arcachon et la Dune du Pyla.
    J'aime beaucoup cette maison blanche, mélange de style Louisiane et Arcachonnais, et les ombres en dentelle.
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  • Quand j'ai photographié cette fontaine, Place des Terreaux à Lyon, je ne connaissais pas son histoire, mais deux choses m'avaient intriguée en l'admirant : une ressemblance avec la fontaine des Girondins qui trône place des Quinconces à Bordeaux ("Les fontaines de Bordeaux") et la signature de Bartholdi, visible sur un tonnelet.
    Je viens de découvrir son histoire sur internet et là je suis emballée !
    Cette fontaine située place des Terreaux au centre de Lyon (1er arrondissement) a été réalisée par le sculpteur Frédéric Auguste Bartholdi. Appelée "Fontaine de Bartholdi", "Char de la Liberté" et aussi "Fontaine de la Garonne "...

    Commandée à Bartholdi par la Ville de Bordeaux, achetée par la Ville de Lyon, la fontaine de la Garonne trône place des Terreaux...

    Le 20 Avril 1857, le Conseil municipal de Bordeaux lance un concours pour la réalisation d'une fontaine place des Quinconces. Le sculpteur Frédéric Bartholdi, alors âgé de vingt-trois ans, est lauréat mais la mairie ne donne pas suite à son projet. En 1886, il réalise "La Liberté éclairant le monde" pour le port de New-York. Le maire de Bordeaux reprend alors contact avec lui au sujet de ce projet. Valse-hésitation, nouvelle annulation... Bartholdi, lui, poursuit sa sculpture aquatique.

    En 1888, la fontaine - "char triomphal de la Garonne" - est au point. L'artiste en fait exécuter un exemplaire par Gaget et Gauthier qui ont travaillé avec lui et Gustave Eiffel à la statue de La Liberté.

     

    Vingt et une tonnes de plomb !

    Cette fontaine est une prouesse technique - groupe en plomb pesant vingt et une tonnes, soutenu par une armature en fer - c'est aussi une réussite artistique. Bartholdi s'est inspiré du Char d'Apollon réalisé pour Versailles par J.B. Tuby, mais son talent s'exprime dans la fougue des montures. Crevant un mur d'eau, les chevaux semblent surgir de la Garonne pour se jeter dans l'océan.

    Présentée à l'Exposition universelle de 1889, l'oeuvre séduit des édiles lyonnais. Le maire Antoine Gailleton prend contact avec Gaget. Le 8 juillet 1890, la municipalité donne son accord pour l'achat, mais le prix de 150.000 F, jugé trop élevé, est ramené à 100.000 F, au grand dam de Bartholdi ! A l'automne, il vient néanmoins à Lyon examiner les sites susceptibles de recevoir cette fontaine monumentale. Plusieurs sont écartés. Reste la place des Terreaux qui a l'heur de plaire à l'auteur... Le 10 mars 1891, la décision est entérinée. Installée face à l'Hôtel de Ville par Hirsch, qui a créé le jardin du palais Saint-Pierre, elle est inaugurée le 22 septembre.

    Cent ans plus tard, en 1992, la municipalité décide de construire un parc de stationnement sous la place, ce qui entraîne le réaménagement de l'espace en surface et le déplacement de la fontaine. Le bassin a besoin d'un grand nettoyage et l'ossature qui supporte l'équipage de bronze doit être consolidée. Classée monument historique le 29 septembre 1995, la fontaine Bartholdi, liftée, est alors inaugurée pour la seconde fois...

     Source : http://www.magazine.fr/lyon-cite/SEPIA/ARCHIVE01/sepia11.html


    C'est la nuit que la sculpture du Char de la Liberté est parait-il la plus belle. Pendant la Fête de la Lumière, elle n'était pas du tout éclairée pour ne pas perturber le spectacle se déroulant sur la place des Terreaux.  

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    La signature de Bartholdi est visible sous le pied de la Liberté.


    La voici avec la façade de la Mairie que je vous ai montrée de nuit ("Jouons avec les temps, place des Terreaux à Lyon"):

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    Les chevaux en plein effort !

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