Pour le baptême d'Alice, nous avions tous rendez-vous à 11h00 devant l'église de Mirambeau où la cérémonie devait avoir lieu.

J'étais arrivée en avance, espérant voir Alice et ses parents chez les parents de ma belle-fille à Saint-S. Ils n'y étaient pas. Je suis allée chercher mon frère au village et nous sommes partis vers Mirambeau, par des petites routes de campagne, assez étroites. Le trajet était court heureusement, car je craignais de croiser une autre voiture.

Devant l'église nous avons retrouvé ma soeur et sa famille, mon père et sa compagne, puis mon fils aîné et Célia, mon ex beau-frère avec son épouse et sa fille, mon ex-mari, sa mère et une de ses tantes.

De 11h00 à midi il y a eu la messe de Pentecôte, puis ensuite la cérémonie du baptême, vers midi.

A la sortie de l'église, mon beau-frère a demandé comment on rejoignait la salle des fêtes de Saint-S. "Suivez-moi" ai-je dit. Nous sommes passés par là ce matin avant de venir.

J'ai programmé le GPS de la clio et j'ai démarré, suivi par la C3 verte.

Je ne sais pas trop ce qu'il s'est passé. Je suivais les instructions données par le GPS au lieu de regarder les panneaux, et nous avons trourné et retourné dans la campagne par des routes encore plus étroites qu'à l'aller, parcourant entre 20 et 30 kms, la C3 verte toujours derrière nous.

Enfin arrivés sur la place du village de Saint-S, nous nous sommes aperçus que nous étions suivis par 5 voitures. 

Toute la famille m'avait suivie dans ce dédale de petites routes étroites, pestant en voyant des panneaux qui indiquaient des directions différentes. Les contestataires dans les voitures se faisant rétorquer : "Mais Brigitte connait la route"...

Nous avons bien ri...

Julien a raconté la fois où nous allions sur l'île d'Oléron, lui me suivant en voiture, et où je me suis engagée sur une piste cyclable que je trouvais très étroite...

J'ai découvert par hasard cette pub sur le net, et je ne résiste pas au plaisir de la partager avec vous.

J'ai une préférence pour le bébé qui sourit en dormant et pour celui qui descend, assis, les marches d'escalier en riant.

J'adore le slogan final "Choisissons une vie pleine de sourires".

Et vous ? Avez vous ri ou souri ?

Le Docteur Madan Kataria, généraliste Indien a créé en 1995 le yoga du rire, après avoir constaté que ses patients joyeux guérissaient mieux que les tristes sires.

Florence Goisset, ex-salariée dans une entreprise de transport, a été séduite par cette discipline et a décidé d'ouvrir un club de rire à Saint-Sulpice-et-Cameyrac, en Gironde.

"Pendant la séance, on fait des exercices de respiration en levant les bras comme au yoga, on court, on saute, on danse, on mime, on se roule par terre dans un fou rire collectif... Dix minutes de rire équivalent à trente minutes de rameur." dit-elle.

A la fin de la séance, les courbatures des muscles abdominaux et des zygomatiques sont garanties. Les parties de rigolade libèrent des endorphines, hormones du bien-être.

Corinne Cosseron, ancienne journaliste, a décidé en 2002 de suivre la voie tracée par le Dr Madan Kataria et a entamé un tour du monde des techniques de joie de vivre : sophrologie ludique, psychologie positive, intelligence émotionnelle, jeux coopératifs, clowns, humour.

Elle a inventé la "rigologie" qui utilise "tout ce qui nous connecte à notre joie de vivre", et créé l'Ecole Internationale du rire, à Frontignan, qui a déjà formé        3 000 personnes : rigologues, animateurs de bonne humeur, profs de yoga du rire.

Source : article d'Aude Ferbos dans le journal Sud-Ouest