Gnocchi est très photogénique... 

Cette jolie créature a renversé le sapin de Noël installé par Aurélien et Céline et croqué le fil du téléphone... Elle doit s'ennuyer de Squirel et Ecureuille depuis qu'elle est repartie à Dax...

 Pendant mon week-end de "cat-sitting" , mot inventé par mon aminaute Maminou, du blog "Le petit monde de Maminou" j'ai pris beaucoup de photos de Gnocchi, dont celles-ci où la petite chatte s'est intéressée de très près à mes plantes.

Gnocchi semble perdue dans la lecture de l'étiquette...

    A Arcachon, il y a la ville d'été en bas avec ses maisons modernes et ses immeubles :

Et il y a la ville d'Hiver en haut de la ville , autour du Parc Mauresque, avec ses maisons traditionnelles, les Arcachonnaises, dont certaines ont été magnifiquement restaurées.   

 Gnocchi avait sa litière, ses croquettes pour chaton et son eau, dans la salle de bains, mais quel plaisir de tester le matériel de ses hôtes :

Elle est repartie hier soir et la maison est redevenue toute calme sans elle...

D'ailleurs elle ne voulait pas partir, préférant jouer à taquiner ses deux nouveaux copains, un peu brusques parfois...

Si la réponse est "non", ne le ratez pas la prochaine fois qu'il passera à la télé...

C'est une comédie sortie en 2007 d'Eric Guirado avec Jeanne Goupil, Daniel Duval, Nicolas Cazalé et Clotilde Hesme.

Antoine, un jeune homme de 30 ans prête de l'argent à sa meilleure amie, Claire, jeune feme pétillante qui a décidé de passer le bac en candidate libre. Pour ce faire il emprunte l'argent à sa mère et en échange remplace son père, épicier ambulant tombé malade.

Antoine ne parle plus à son père ni à François, son frère, restés vivre à la campagne alors que lui est parti travailler à la ville. Accompagné de Claire il part chez sa mère,  pour conduire la camionnette-épicerie, de mauvais gré.

Au fil des jours il va s'attacher à la campagne et à ses clients.

Une belle histoire d'amour va naître entre lui et la charmante Claire (Clotilde Hesme) aux yeux clairs et à la gaieté communicative.

Les acteurs jouent tous très justes, la région est superbe, et ce jeune homme un peu instable, peu agréable, renfermé, va s'ouvrir aux autres et révéler ses talents et sa véritable nature en conduisant la fourgonnette qui lui sert d'épicerie.

La camionnette-épicerie m'a rappelé le tub de mon grand-père, plombier-zingueur-quincailler à Monflanquin, petit village du Lot-et-Garonne.

Le film m'a fait penser aussi à Bagdad Café, lorsque le fils de l'épicier se retrouve seul en pleine campagne, sans client à l'horizon...