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    J'ai découvert cette expérience hier aux Informations régionales.

    Pour la première fois en France, des chiens d'accompagnement pour diabétiques ont été remis à 3 familles.

    Ces chiens ont été formés pour détecter un taux de sucre anormal dans le sang et donner l'alerte en cas de crise glycémique.

    Ces chiens d'assistance médicale sont déjà utilisés aux Etats-Unis, Au Canada et en Suisse.

     

    Trois jeunes diabétiques de type 1 ont reçu un chien mi-juin.

    Le reportage  nous a présenté Hugo, 16 ans, diabétique depuis 2016 et Medley, le caniche royal blanc âgé de 21 mois qui lui a été confié par l'association Acasdia (première école de chiens d'assistance pour les enfants diabétiques en France).

    Grâce à une capacité olfactive près de 200 000 fois supérieure à celle de l'homme, ce chien peut détecter un taux de sucre anormalement élevé ou faible dans le sang.

     

    Avant même la survenue de la crise glycémique, Medley, formé pendant 8 mois, est capable de prévenir son maître en lui donnant de petits coups de museau et même d'actionner un bouton d'urgence installé sur le mur à sa hauteur si l'enfant ne semble pas réagir, déclenchant une sonnerie dans la chambre des parents !

    Les diabétiques étant particulièrement vulnérables la nuit, pouvant tomber dans des comas diabétiques, Medley améliore la vie des parents, en soulageant leur surveillance.

    Sources : France 3 et Huffington Post 


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  • Deux toulousains ont inventé un parasol qui ne s'envole pas et l'ont appelé "Leaf for life".

    Ils se sont inspiré des feuilles d'arbres qui résistent aux bourrasques de vent sans s'envoler et plus particulièrement du "monstera deliciosa" (faux philodendron) qui pousse en Amérique du sud.

    Leur parasol se compose d'un voile d'ombrage traitée anti-UV qui flotte au vent et d'un pied d'ancrage télescopique. Le tout se range dans un sac, pour la somme de 119 €.

    Un package plus sophistiqué à 189 € offre en supplément un panneau photovoltaïque amovible qui se clipse sur le dessus du parasol et permet de recharger portable ou tablette pour les addicts...

     

    Ce parasol est intéressant mais son prix me semble tout de même très élevé.

    Le prix des parasols de plage traditionnels varie entre 15 et 60 €. L'ajout d'un pied d'ancrage à 4 € qui permet d'enfoncer le parasol dans le sable plusprofondément améliore la sécurité.

     

    J'avais publié en août 2011 un article intitulé : "Bien mal accompagnée" sur le danger des parasols qui s'envolent. En voici le contenu :

     

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    Vendredi après midi sur une plage entre Argelès et Collioure.

    Il y avait beaucoup de monde sur le sable, des petits graviers qui n'ont rien à voir avec le sable blond de l'Atlantique. La mer était délicieuse, claire et à peine fraîche.

    Julien et moi nous nous sommes baignés, mais c'était un peu dangereux entre la famille faisant du bateau en plastique parmi les baigneurs, les deux jeunes filles s'amusant avec une planche à voile sans voile et la laissant échapper, les trois Italiens jouant avec un ballon de foot en cuir... Garde toi à droite, garde toi à gauche... Nous avons pu faire quand même quelques brasses.

    Sur le sable c'était pire. Du monde partout avec des parasols, des serviettes qui se touchent et les marchands de chouchous qui passent vendre boisoons fraiches et beignets, en slalomant entre les serviettes de bain...

    Le vent s'est levé et les parasols ont commencé à s'envoler.

    Quand je vais à la plage je n'emporte jamais de parasol et je m'installe le plus loin possible de ces engins de malheur car chaque fois c'est pareil : ils s'envolent et vont atterrir n'importe où, loin de leur propriétaire... C'est joli les parasols sur la plage, mais c'est très dangereux si le pied n'est pas correctement arrimé ou enfoncé dans le sol...

    Vendredi une dame en a reçu un sur le visage et s'est mise à saigner et son mari a rajouté une couche : "C'est pas vrai ! Il fallait que ça t'arrive à toi ! Comment tu t'es débrouillée ?".  Il a crié un : "Vous, restez où vous êtes !" au propriétaire du parasol venu récupérer son engin mal enfoncé et a  accompagné sa femme toute honteuse de saigner au poste de surveillance...

    J'espère que ce n'était pas grave.

    Qui était le plus malotru, le proriétaire du parasol ou le mari ?

     


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  • Lors d'une compétition architecturale à Angers : "Imagine Angers", Vincent Callebaut, architecte belge et Bouygues Immobilier ont présenté un projet immobilier baptisé l'Arboricole, projet qui n'a pas été retenu, mais a reçu le vote du public.

    Cet ensemble immobilier a été proposé pour le site Gambetta, au bord du Maine.

    Ce bio-immeuble devait offrir aux habitants des ressources alimentaires et énergétiques tout au long de l'année.

    Ce bâtiment maraîcher, bâtiment arbre devait être recouvert de plus de 20 000 plantes, arbustes et arbres, véritable forêt urbaine produisant sa propre énergie (panneaux solaires et géothermie), retraitant ses déchets, récupérant l'eau de pluie, carboabsorbante et dépolluante (grâce aux plantes)

    Ce bâtiment devait abriter 48 logements "modulables" et être tourné autour des nouveaux usages : grande brasserie, espace de coworking, résidence de jeunes urbains, restaurant gastronomique, bar, salle de concert.

     

    Le projet immobilier qui a été retenu pour ce site Gambetta est "Arborescence", proposé par Vinci Immobilier, avec des jardinières, 15 logements dexception, résidence seniors, crèche, espace de coworking, piscine, serre...

     

    Ces projets immobiliers innovants me paraissent intéressants pour dynamiser les villes tout en respectant l'environnement et offrant des services variés. Bien sûr le prix des logements risque d'être prohibitif...

    Source : http://imagine.angers.fr/candidat/arboricole/


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  • Benjamin Rimajou était animateur chez Virgin Radio avant d'entamer un CAP de menuiserie.

    Et puis il a eu l'idée d'assembler une patère de porte et une pince pour créer "Hopoli", une invention toute simple pour se faciliter la vie, et la corvée d'enfilage de housse de couette.

    Certaines ont des astuces, mais pour moi c'est toujours une galère.

    J'essaie de rentrer la couette dans sa housse. Je secoue et j'obtiens une sorte de truc informe avec des vagues.

     

    Avec l'invention de ce jeune homme, cette corvée ne prend que 10 secondes.

     

    Il suffit de poser les deux pinces sur une porte, d'enfiler les angles supérieurs de la housse de couette sur les pinces, puis de coincer la couette sous les pinces. Et le tout peut se faire avec une seule main !

    Démonstration en vidéo : 

    Son invention au nom bien trouvé coûte 39 €.


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  • Vous devez avoir été confrontés comme moi à des problèmes liés à votre imprimante.

    Les imprimantes à jet d'encre sont vendues à des prix raisonnables (à partir de 40 €) et offrent de nombreux services : scanner, photocopie, fax, mais sont fortes consommatrices de cartouches vendues fort cher. Lorsqu'elles ne tombent pas en panne : buses bouchées, pièces cassées...

    Mon voisin m'a appelée à l'aide il y a quelques semaines : à la suite du changement de la cartouche noir et blanc sur son imprimante HP il ne pouvait plus imprimer du tout. J'ai cherché sur internet et me suis aperçue que ce problème était très courant. Nous avons reinitialisé l'imprimant comme indiqué sur des forums, en vain.

    J'ai moi même une imprimante Epson (ce doit être ma 5ème imprimante en 25 ans), et suis obligée de changer les cartouches de couleur que j'utilise pourtant très peu, sous peine de ne plus pouvoir imprimer en noir et blanc.

    Epson est en procès, comme Apple pour "obsolescence programmée". Mais en attendant il faut changer d'imprimante ou acheter des cartouches...

     

    Fin janvier j'ai découvert à la télévision l'invention de Paul Morin : l'imprimante inusable.

    Cet étudiant de 27 ans, diplômé de l'Ecole Nationale Supérieure de Création Industrielle a conçu une imprimante démontable où chaque pièce est accessible et peut être remplacée.

    Des réservoirs d'encre, dont le niveau est visible remplacent les cartouches, ce qui permet d'utiliser des couleurs d'encre non standards et réduit la quantité de déchets..

    Il a aussi créé une application permettant de partager l'imprimante entre voisins...

     

    Paul Morin va créer une start-up pour commercialiser son imprimante.


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