• Pour ce 156ème Café Thé, je vous propose :

    de broder autour des fleurs 

    Vous pouvez nous raconter ce que vous inspire cette photo, nous présenter votre fleur préférée, ou bien nous parler d'un bouquet ou d'une fleur qui vous a marqué(e). 

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations

    (le 2 mai 2023)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 30 avril 2023 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !


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  • Pour ce 155ème Café Thé, je vous ai proposé d'évoquer à votre manière une "belle personne", réelle ou fictive, connue ou pas...

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Vous êtes 5 à avoir participé (Jill Bill, Vagamonde, Andrée, Livia et Colette)

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous et toutes !

     

     

    Voici les 5 participations :

     

    "Soeur Emmanuelle !" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Il était une fois...

     

     

    Une belle personne

    Non dans le sens physique

    Mais dans le sens grandeur d'âme

    De coeur

    Une belle personne

    Tu le fus, unique,

    Une femme

    Une soeur...

     

    Soeur Emmanuelle

    Petite soeur des pauvres

    Connue pour ses oeuvres caritatives

    Auprès des démunis en Egypte,

    Les chiffonniers du Caire...

     

    Améliorer la condition de vie

    Dans les bidonvilles

    Pauvresse parmi les pauvres

    Luttant de toutes ses forces

    Pour se faire

    Comme de leur côté

    L'abbé Pierre et Mère Thérésa...

     

    Comment oublier sa voix haut perchée

    Son Yallah retentissant...

     

    Sa phrase préférée :

    « Que fais-tu pour les pauvres, pour l'humanité... »

    On ne pouvait se contenter d'une réponse banale !!

     

    Le 20 octobre 2008 elle s'éteint

    Telle une chandelle à bout de cire

    A presque cent ans... 

     

     

    "De belles personnes" de Vagamonde du blog "Vagamonde bis" :

    Vivant seule depuis de nombreuses années, grâce, au départ, à mon Comité d'entreprise, j'ai osé m'inscrire seule à des voyages.
    Cette année, j'ai eu l'immense bonheur de rencontrer, ce que j'appelle une "Belle personne".
    Elle se prénomme Isabelle. Elle a environ une trentaine d'années. Je l'ai rencontrée lors d'une journée en catamaran en Guadeloupe.
    Sans m'y attendre, elle a tout de suite engagé la conversation et a été attentive à mon bien-être tout au long de la journée (elle faisait attention à ce que je n'attrape pas de coups de soleil en me proposant sa crème solaire et à ce que je m'hydrate bien mais aussi en me proposant un masque pour mieux observer les poissons lorsque je me suis baignée), autant d'attentions qui m'ont fait chaud au coeur.
    J'ai été très touchée par autant de gentillesse à mon égard. Sans me connaître, elle a illuminé ma journée d'anniversaire. Qu'elle en soit vivement remerciée !
    Récemment malade, j'ai dû rester quelques semaines seule chez moi ; il y a une autre personne dont j'ai eu la confirmation qu'elle est aussi une "Belle personne". Il s'agit de Claude, Une personne que je côtoie lors de mes randos.
    Elle m'a envoyé régulièrement des SMS pour me demander de mes nouvelles mais aussi quelques mails parfois humoristiques pour me changer les idées.
    Elle est discrète et sait écouter attentivement sans jamais juger ni donner de leçon.
    Elle aussi, je suis heureuse de l'avoir rencontrée et qu'elle soit encore sur mon chemin !
    Rares sont de telles personnes ; elles ignorent combien elles sont précieuses.
     
    "La dame au sourire" d'Andrée du blog : "Petites graines" :
     
    C'est une voisine très belle personne, simple, chaleureuse, serviable pour les humains, pour les animaux.
     
    La dame au sourire
     
    Elle habite ici 
    depuis si longtemps
    que les oiseaux la connaissent.
    Dans le jardin, la maison,
    les chats vont, viennent.
    Des noirs, des roux, des fois
    tout autre venant chercher
    pitance, soin, amitié.
    De loin, les chats, les chiens,
    la reconnaissent,
    beaucoup d'humains aussi.
     
     
    "Ma grand-mère" de Livia du blog : "Livia augustae

    J'ai choisi de raconter ma grand-mère, une femme merveilleuse, qui a bercé mon enfance.

     
    Une jolie grand-mère

    (image pixabay)

     

    La première levée, elle  mettait la table, concoctait de délicieux petits déjeuners, « l'odeur du café remontait l'escalier » comme le dit si joliment Saint John Perse, pour aller réveiller les dormeurs et les faire émerger des bras de Morphée, la gelée de goyave couleur rubis, confectionnée par elle, nous attendait ainsi que les tartines grillées et le beurre à côté, qui suait déjà sous l'effet de la chaleur ambiante.

    Dans sa petite robe noire avec pour l'égayer, juste un col en dentelle blanche, elle trottinait du matin au soir, ne mesurant ni sa peine ni sa fatigue, pour le bien de la maisonnée.

    Elle se mettait parfois en cuisine pour nous confectionner les plus savoureux des gâteaux – j'ai gardé quelques unes de ses recettes – des confitures et des sucreries, les sucres d'orge était une de ses spécialités et petits en grands s'en régalaient.

    Jamais ses mains ne restaient inoccupées, elle brodait merveilleusement bien et ne s'en privait pas, ou alors elle peignait de ravissantes petites aquarelles qu'elle nous offrait aux uns et aux autres...

    Le soir venu, elle nous racontait des histoires de reines et de princesses qui nous faisaient rêver.

    Mais hélas nous avons grandit, et grand-mère a vieilli doucement et puis un jours sans crier gare, s'en est allé rejoindre celui qu'elle avait tant aimé, et repose là-bas à ses côté  sous le chaud soleil tropical.

    Elle nous a lâcher la main afin que nous suivions notre propre route, mais elle a laissé un grand vide derrière elle.

    L'autre soir j'ai rêvé d'elle, un rêve délicieux, dans lequel je marchais à ses côtés, sur les sentiers de mon enfance.

    "Une belle personne" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

     

    C’est toujours avec un beau sourire épanoui qu’on l’entendait prononcer ces mots : « La vie est belle » et, cela pouvait dérider les plus taciturnes. Ces mots, il les a répétés jusqu’à ces derniers moments, alors qu’un cancer avait déformé son visage légèrement poupin reflétant toujours tant de bonté. Pour lui, la vie était simple. Il savait rire de lui-même et rien pour lui n’était tragique. Aussi, il appréciait énormément la vie. Sa vie avait vraiment un sens et, il était heureux.  

    Peu de temps avant, à l’âge de 79 ans, il avait subi une opération majeure. Il demanda alors à son médecin de 60 ans qui lui, brûlait d’impatience de prendre sa retraite : Est-ce que je vais me rétablir suffisamment pour pouvoir continuer mon travail ? » Le médecin de lui dire : « Êtes-vous fou ? Laissez ce travail et prenez le temps de vivre. » Et lui de lui répondre : « C’est ton affaire, toi, si tu veux arrêter de travailler ; moi, je veux continuer ! Ce que je veux savoir c’est : Est-ce que je vais pouvoir encore travailler ? »  Travail qu’il a poursuivi d’ailleurs jusqu’à 81 ans. Et pas au ralenti, s’il vous plaît !  

    Sa capacité de travailler était extraordinaire, également, sa capacité d’aimer, de créer, de produire pour les autres et de donner sa pleine mesure. Il avait une grande flexibilité à modifier son horaire pour rencontrer les gens. Que de fois, je l’ai vu rencontrer des personnes tard dans la soirée. Il était très disponible. Il avait le cœur aux dimensions du monde. Paix, sérénité et douceur, voilà ce qui de dégageait d’un entretien avec lui.  

    Il fallait qu’il s’accepte et qu’il s’aime, pour pouvoir aimer tant les autres. Il savait se prendre en charge et se donner des buts tout en s’adaptant le plus possible aux diverses situations de la vie. Il était tellement dynamique que cela nous amenait à oublier son âge. Avec tout ce qu’il accomplissait, nous lui en donnions facilement dix de moins.  

    Il avait un grand désir de vivre. Quelques jours avant sa mort, malgré la difficulté qu’il avait de parler, il répétait : « Je veux vivre ».  

    N’ayant pas eu de chimiothérapie, il n’a pas perdu ses cheveux. Il avait une belle chevelure blanche, entière et toute vaguée. Il n’avait presque pas de rides, il était rougeaud et encore passablement droit.  

    C’est certain qu’il est passé par toutes les phases normales reliées à sa maladie : dénégation, colère, marchandage, dépression et acceptation mais, il a su intervenir adéquatement sur la toile de fond sur laquelle était tissé le destin de sa vie ; sa très grande espérance.  

    Il possédait un état d’esprit, une volonté et un courage à toute épreuve. Il n’a jamais cessé de disputer à la maladie centimètre par centimètre le territoire qu’elle cherchait à conquérir. Il possédait aussi à forte dose le dynamisme de la foi. Il était dans la force du mot, un homme vrai. Sa vie a toujours été conforme à sa doctrine et, ce qu’il recommandait aux autres, il le mettait lui-même en pratique. 

    Je m’en vais, qu’il a dit ; c’est normal. Cela arrive à tout le monde. Souvent, auparavant, il répétait : « Ne faisons donc pas de nos contrariétés de chaque jour des problèmes mondiaux. »   

    Il est décédé en 1991. Il avait 84 ans. J’ai eu le bonheur de le suivre pendant plusieurs années (12 ans) et de l’accompagner jusqu’à son dernier soupir. 

    Colette 

    N.B. : Prêtre-religieux, il a été professeur, directeur spirituel, missionnaire, aumônier d'hôpitaux, supérieur de sa communauté. Dans les dernières années de sa vie, il fut chapelain de communautés religieuses dont (la nôtre). Ce qui ne l'empêcha pas de faire de la direction spirituelle auprès de tous ceux et celles qui venaient à lui.


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  • Pour ce 155ème Café Thé, je vous propose d'évoquer à votre manière une "belle personne", réelle ou fictive, connue ou pas...

     

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 avril 2023)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 mars

     2023 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !

     

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"


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  • Pour ce 154ème Café Thé, je vous ai proposé

    de broder autour de ces photos prises en 2016, dans un zoo, d'un oiseau étrange que j'ai baptisé "Le chef indien" ("serpentaire" ou "messager sagittaire").

     

    Le serpentaire, aussi appelé Messager sagittaire ou Secrétaire, est une espèce de rapace originaire d'Afrique qui a pour particularité de ne vivre presque qu'au sol. Avec ses pattes de cigogne, sa longue queue en forme de coin et sa huppe de plumes noires derrière la tête, il ne ressemble à aucun autre rapace diurne.

    Participez au Café Thé n° 154 - Le chef indien...
    Participez au Café Thé n° 154 - Le chef indien...Participez au Café Thé n° 154 - Le chef indien...
    Participez au Café Thé n° 154 - Le chef indien...Participez au Café Thé n° 154 - Le chef indien...

    Vous pouviez nous raconter ce que dit cet oiseau, ce qu'il vous inspire, ou bien nous parler de cow-boys et d'indiens...

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Vous êtes 5 à avoir participé (Jill Bill, Rose, Jean-Luc, Livia et Colette)

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous et toutes !

     

     

    Voici les 5 participations :

     

     

    "Oh, eh, hein, bon !" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

    Oh, eh, hein, bon !

    Blanco le coq du zoo

    Cherche après Mirza, sa poule...

    Lui serait-elle infidèle !?

     

    Z'avez pas vu Mirza

    Oh la la la la la

    Z'avez pas vu Mirza...

    Où est donc passée ma poule

    Je la cherche partout

    Où est donc passée ma poule

    Elle va me rendre fou...

     

    Oh ça y est je la vois !!

    Veux-tu venir ici

    Je n'le répét'rai pas

    Veux-tu venir ici

    Mmmmm vilaine concubine va

    Veux-tu venir ici

    Oh, elle est repartie... !

     

    Où est donc passé ma poule

    Oh ça y-est je la vois !..

    C'est bien la dernière fois

    Que je te cherche dans la foule

    Veux-tu venir ici

    Je n'le répét'rai pas

    Veux-tu venir ici

    Oh ah oui te voilà !!

     

    Qu'est-ce qu'il a de plus que moi

    Ce Nino, hein... !?

    "Le regard qui tue..." de Rose du blog : "Golondrina63" :

     

    Fort embarrassé de son profil aquilin
    Le regard qui tue
    Les plumes en pétard
    On dirait mon voisin bourru mal peigné
    Défiguré par ce bec 
    Son air renfrogné  
    Son manque d'agilité 
    Je l'imagine sur une branche perchée
    De son regard dominant 
    Telle une sorcière sans son balai
     

    "Chacun son truc..." de Jean-Luc du blog : "LindeparSylvieJL2" :

    Quoi il y a un problème avec ma coupe d’indiens ??? je me suis déguisé pour aller au bal des cigognes, incognito, je suis le messager de la secrétaire sagittaire qui serpente pas en l’air mais au sol pour becter des lézards et ou serpents, j’aime bien vivre au Sahara pour m’entrainer à courir et non à voler comme beaucoup de rapaces, chacun son truc.

     

    "Un oiseau bizarre" de Livia du blog : "Livia augustae

     

    Un oiseau bizarre

    Non mais que font tous ces gens, debout là à me fixer, comme le chantait Johnny : « Mais qu'est-ce qu'elle à ma gueule ? »

    Il me tire le portrait sans arrêt, alors que j'ai perdu mon peigne et que je suis tout décoiffé !

    On ne peut donc pas avoir une minute de répit ? Allez donc voir ailleurs si j'y suis !

    Mais... les malotrus ne bougent pas d'un iota, ils rient bêtement, se poussent du coude, et me montrent du doigt, qu'est-ce que j'en ai marre !

    Je déteste cette cage dans laquelle je suis emprisonné et me voilà devenu une bête de foire.

     J'ai même entendu quelqu'un dire que je ressemblait à un chef indien !

     Non mais vous m'imaginez poussant des hurlements  de sioux  sur le sentier de la guerre, tirant des flèches avec un arc  ? N'importe quoi !

    Cette fois je les ai assez vu, je m'en vais tout au fond de la cage au milieu des bambous pour rêver à ma forêt tropicale !

    Et bonjour chez vous !

     

    "Le chef indien" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

     

    Curiosité 

    Un oiseau bien étrange 

    Ce serpentaire 

    De son bec crochu 

    Plumage gris blanc et noir 

    Bel air beau et fier 

    Crête noire en huppe 

    Pattes puissantes longues 

    Aspect tout spécial 

    Un chasseur au sol 

    Un fort habile chasseur 

    Grandes enjambées 

    Piège les plus p’tits 

    Manière à lui de chasser 

    Traque les serpents 

    Violence d’ses coups 

    Rendant sa proie inerte 

    Pattes meurtrières 


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  • Je vous ai proposé hier de résoudre cette petite énigme assez facile, trouvée sur la page "Jeux" du journal Sud-Ouest. Il s'agit de tulipes rouges, pensées jaunes et anémones roses.

    Si l'image ne s'affiche pas :

    1ère balance : 2 tulipes + 3 pensées + 3 anémones = 2 pensées + 3 tulipes

    2ème balance : 3 pensées + 3 anémones + 2 tulipes = 4 anémones + 3 tulipes

    3ème balance : 2 pensées + 1 tulipe = combien d'anémones ?

    La réponse est 9 .

     

    Voici les explications de Piro :

    Sur la première balance peut écrire en remplaçant tulipe par t, pensée par p et anémone par a l'équation suivante : 2 t + 3 p + 3 a = 2 p + 3t
    pour la deuxième balance nous avons : 3 p + 3a + 2 t = 4 a + 3t on peut doers et déjà conclure que 4 anémones = 2 pensées. Remplaçons dans le système d'équation les pensées par l'équivalent en anémones :

    2 t + 6 a + 3 a = 4 a +3 t ou 2 t + 9 a = 4 a + 3t
    6 a +3 a + 2 t = 4 a + 3 t ou 9 a -2 t = 4 a + 3 t

    retirons 2 t à chaque terme du système d'équation:

    9 a = 4 a + 1 t d'où 1 t = 9 a - 4 a = 5 a 1 tulipe = donc 5 anémones.

    Comme 2 pensées comme nous l'avons vu = 4 anémones le fleuriste doit mettre sur le 2ème plateau de la troisième balance 9 anémones.

     

    Et les miennes :

    Sur la 1ère balance on voit que : 2 tulipes + 3 pensées + 3 anémones = 2 pensées + 3 tulipes

    Sur la 2ème balance : 2 tulipes + 3 pensées + 3 anémones = 4 anémones + 3 tulipes

    Donc : 2 pensées + 3 tulipes = 4 anémones + 3 tulipes ==> 2 pensées = 4 anémones ==> 1 pensée = 2 anémones

    De la 1ère balance, en enlevant 2 tulipes et 2 pensées de chaque côté, on en déduit que : 1 pensée + 3 anémones = 1 tulipe

    Donc sur la 3ème balance :  2 pensées + 1 tulipe = (2 * 2 anémones) + (1 pensée + 3 anémones) = 4 anémones + 2 anémones + 3 anémones  = 9 anémones

     

    Vous êtes seulement 5 à avoir trouvé la bonne réponse : 

    Jill Bill, Chevrette, Roguidine, Piro et Marie-Luce sur Overblog.

     

    Lucky a proposé 11 et Mémé Yoyo 7..

     

    Bravo à tous et toutes

    et merci d'avoir joué !


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