• Pour ce 145ème Café Thé, je vous propose de remercier une personne, ou pourquoi pas un animal, et de nous raconter pourquoi vous lui dites ce grand Merci. 

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 juin 2022)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 mai 2022 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !

     

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"


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  • Pour ce 144ème Café Thé, je vous ai proposé de broder autour de cette photo prise le 20 mars lors de mon séjour à l'hôpital.

    Vous pouviez évoquer un séjour à l'hôpital ou en cure, l'accompagnement d'un malade, ou bien un régime, ou ce qui vous passera par la tête...

     

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 mai 2022).

     

     

    Vous êtes 8 à avoir participé (Jill Bill, Rose, Pierre, Jean-Luc, Jak, Colette

    Renée et Livia).

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous !

     

     

    Voici les 8 participations :

     



    "Le verre d'eau" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Des « vacances forcées »

    Dans une chambre d'hôpital,

    Avec vue sur la rue

    Et ses bien-portants,

    Un séjour loin d'être enchanteur

    Mais santé oblige...

     

    Sur la table, de chevet,

    Pas du cinq étoiles,

    Verre et bouteille d'eau plate

    Pot à pilules...

     

    Et que dire des repas

    Tristement fades...

     

    On a qu'une envie

    Rentrer chez soi,

    Reprendre le cours de sa vie,

    Sa chambre, sa popote,

    En convalescence, encore,

    Mais loin de ce monde

    Que l'on fréquente quand il le faut

    Même si on dit Merci à la médecine

    De nous délivrer de nos maux

    Le plus souvent...
     

    "Si le verre pouvait parler..." de Rose du blog : "Golondrina

    63" :

     

    Si le verre pouvait parler

    @ ma place 

     Il vous dirait 

    Marre du réveil ⏰ à la même heure 

    " voici votre cachet" 

    Grrr

    Pourtant ce n'est pas la mer à boire

     Ras le bol du blanc

    Murs fades

     Manque d'humanité

    C'est pas comme dans l'temps 

    J'ai connu mieux comme prestations 

    L'hôpital publique se dégrade 

     Le numéro

     C'est moi

    Surtout si j'ai besoin de ...

    Retiens toi ma vieille 

    J'ai envie de le scratcher ce verre 

    Au gout fade

     L'hôpital est pauvre

     Même pas de quoi offrir une goutte de sirop

     La gorge irritée à force de racler 

    Marre de la  fausse-route 

    Chaque fois 

    Ma dernière heure fait semblant de sonner

     Et ouf heureusement qu'il est là 

    Ce verre pour rincer la tuyauterie

     Oh toi contenant de piètre verrerie

     Eau décontaminée qui pue le pourri

    Mais encore une fois

     Le cacheton est passé.

     

    "Verre d'eau fraternel" de Pierre du blog "Pi_ro_94" :

    Je me souviens encore dix ans après de ce verre d’eau que j’avais approché et rempli pour mon frère hospitalisé.  Il était très amaigri et avait le teint très pâle, on le sentait épuisé. Il n’arrivait plus à manger car en plus de sa maladie, une hépatite virale C, il avait contracté une bactérie que l’hôpital n’arrivait pas à éradiquer. J’étais là avec un autre frère, sa femme et une de ses filles. J’avais apporté croyant lui faire plaisir un dessert que j’avais concocté pour le changer du régime hospitalier mais il ne touchait quasiment plus à rien et nous a dit qu’il ne fallait rien lui donner qui venait de l’extérieur sans que cela passe d’abord par le service. C’était moi qui était le plus près de sa table de chevet et c’est pour cela qu’il m’avait demandé de lui remplir son verre d’eau car il était trop loin de lui pour l’attraper et se servir. On essayait évidemment de le ragaillardir mais au fond de nous nous étions atterrés de le voir dans cet état qui nous semblait s’être terriblement aggravé depuis la dernière fois que nous lui avions rendu visite. On sentait cependant que nos visites lui faisaient plaisir et qu’il aimait toujours bavarder. Quand nous sortîmes ensemble de l’hôpital mon autre frère me dit : « Je suis très inquiet, Jean semble très mal. Il fait peur ».

    Effectivement ce verre d’eau fraternel ne lui accorda qu’un piètre répit. Deux jours après il mourrai d’une septicémie.  C’est alors que je me suis souvenu du dernier film dont il m’avait parlé, un western qu’il avait regardé sur la télé de sa chambre d’hôpital et qu’il considérait comme un des meilleurs western de tous les temps : « La rivière sans retour ». Pressentait-il donc qu’il allait la prendre cette «rivière sans retour » et avait-il voulu m’en prévenir ?

     

    "Le verre" de Jean-Luc du blog "Les voyages de Sylvie

    et Jean-Luc" :

    Exceptionnellement pour une fois ce n’est pas une photo du verre à moitié vide ou plein, c’est limite « ça déborde », était-ce un verre test pour essayer la nouvelle gouttière à épaules, qui entre nous n’est pas un produit très répandu à part peut être dans le bassin d’Arcachon pour essayer de soulager une « écureuil » toute bleue, qui est vrai n’est pas non plus fréquent à voir, mystère !!!

     

    "Résolution" de Jak du blog "Images et mots" :

     

    "Le verre d'eau" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    Qu’il soit glacé, tempéré, 

    De citron assaisonné, 

    Verre petit ou verre très grand ; 

    D’eau chaude ou d’eau froide. 

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    Qu’il soit plein à plein bord, 

    Moitié vide ou moitié plein, 

    Que ce soit à l’hôpital ;  

    Que ce soit à la maison. 

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    Au mirage du soleil, 

    Au mirage de la lune, 

    Avale tes pilules ; 

    Et étanche-y ta soif. 

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    "Cure d'amaigrissement" de Renée du blog : "Envie de" :

    M’y voilà donc! Mais pourquoi cette subite envie de faire une cure d’amaigrissement, en plus à l’hôpital, alors qu’en thalasso ça aurait été tellement mieux !

    Les repas, enfin si on peut parler de repas sont infects ! Une espèce de bouillie sans saveur dont la couleur en plus du goût est fort rébarbative. C’est sûr que le régime va faire effet du coup. Pas sûr par contre que la fraîche accouchée reprenne des forces ou la petite dame opérée il y a peu de la hanche !

    Mélangé aux autres malades il faut aussi subir les geignements des voisins, qui sont anormalement nombreux. Au bas mot dans cette chambre une vingtaine, c’est bizarre quand même….

    Bien sûr qu’ils souffrent et je compatis, là n’est pas la question, mais pourquoi mettre des *biens portants* avec des personnes si malades cela perturbe le sommeil et ne rend pas agréable dès le matin.

    Parlons-en du matin, l’infirmière qui pénètre dans la chambre toute guillerette en lançant un *bonjour tout le monde* tonitruant et en ouvrant les volets d’un coup énergique, de quoi réveiller un mort, je vous le dit.

    Sur ce elle nous sert un verre d’eau et une pilule, dont il est impossible de savoir la raison exacte pour cette première prise de médicament. Etrangement toute la chambre y a droit.

    Une drôle de….https://youtu.be/FuO09SWdlnE

     ….retentit…

     

    Ouf, juste un mauvais rêve.

    "La soif" de Livia du blog : "Livia augustae

    Sac sur le dos, chaussures et bâtons de marche, nous étions parti de bon matin avant que le soleil n'ouvre les yeux et l'ombre régnait encore sur la campagne endormie

    Le soleil enfin se leva, étirant ses rayons qui dissipèrent les ombres de la nuit, la nature nous offrit ses merveilles tout au long de cette montée, nous avons cueilli et grignoté des fruits le long du sentier, les corolles des  fleurs s'ouvraient couvertes de rosée offrant leur cœur aux rayons dorés... et tandis que nous continuions à monter  vers la cime, le chemin devint plus escarpé et de plus en  plus raide, de grosses pierres éboulées nous barraient parfois le passage, il fallait passer l'obstacle sans tomber car un ravin très profond  bordait le sentier, provoquant chez moi des poussées d'adrénaline.

    Enfin au sommet ! Le paysage était  splendide et grandiose, le regard portait loin le long des vallonnements de la montagne qui nous déclinait tout les tons de verts, dans les vals, les maisons lilliputiennes se blottissaient autour de leur clocher, des taillis épineux couverts de fleurs odorantes de toutes les couleurs tapissaient le sol entre les blocs de pierres, que des insectes gourmands butinaient en bourdonnant, mais il y avait un hic ! il n'y avait pas d'ombre.

    Nous étions tous fatigués, les jambes zébrées d'écorchures infligées par les épineux, affamés et surtout assoiffés, d'un commun accord nous décidâmes de nous reposer et de nous restaurer avant de redescendre, nous nous installâmes tant bien que mal sur les rochers et nous ouvrîmes le sac qui contenait les provisions de bouche.

    Une mauvaise surprise nous attendait au fond de ce sac ! Nous constatâmes avec effroi que les gourdes n'ayant pas été fermées correctement avaient coulées, trempant les sandwichs, nous resterions donc sur notre faim et sur notre soif.

    C'est avec de gros efforts que nous reprîmes le sentier, pour retourner d'où nous étions venus, le ventre creux et la soif nous tenaillant, personne ne parlait mais on sentait la colère gronder  car chacun se demandait qui avait fermé les gourdes ? Une gourde assurément !

    Quand à moi, la soif me donnait des hallucinations, je voyais un verre d'eau fraîche posé sur une table à deux pas de moi, mais je n'arrivais pas à l'attraper et la sueur qui ruisselait sur mon front me piquait les yeux et me brouillait la vue, je marchais comme une somnambule suivant pas à pas ce verre d'eau qui s'éloignait au fur et à mesure que j'avançais, j'en rêvais tant qu'il me sembla entendre le verre tinter et l'eau couler et des cloches sonner...

    Alors j'entendis parler et quelqu'un m'appela joyeusement,  je m'arrêtais, pour constater que nous étions arrivés dans une grande prairie herbeuse où paissaient quelques vaches, au milieu de laquelle susurrait  une fontaine et les tintements de verre que j'avais entendu provenaient des gobelets que chacun présentait sous le filet d'eau fraîche de la fontaine, quand aux sonneries de cloches, il ne s'agissait que des bélières que les vaches portaient autour du cou.

    Je n'oublierai jamais ce verre d'eau que je bu agenouillée auprès de cette fontaine au milieu des sonnailles des vaches un jour d'été.


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  • Pour ce 144ème Café Thé, je vous propose :

    de broder autour de cette photo prise le 20 mars lors de mon séjour à l'hôpital.

    Vous pouvez évoquer un séjour à l'hôpital ou en cure,

    l'accompagnement d'un malade,

    ou bien un régime,

    ou ce qui vous passera par la tête...

     

     

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 mai 2022)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 mars 2022 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !


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  • Pour ce 143ème Café Thé, je vous ai proposé ceci :

    de nous parler d'un feuilleton (ou d'une série télévisée, puisque c'est leur nouveau nom) que vous avez apprécié, de nous dire pourquoi vous étiez accro et de nous donner envie de le regarder (si c'est encore possible)...

     

    Si vous ne regardez jamais la télé,

    parlez nous de ce que vous voulez...

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 avril 2022)

     

     

    Vous êtes 4 à avoir participé (Jill Bill, Rose, Vagamonde et Renée).

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous !

     

    Voici les 4 participations :

     

     

    "Plus belle la vie..." de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

     

    30 août 2004

    Démarre plus belle la vie

    Série qui met en scène le quotidien

    Des habitants d'un quartier fictif de Marseille

    « Le Mistral »

     

    J'avoue avoir pris la train en marche

    Mais tout vaut mieux

    Que de suivre sur le coup de 13h le JT

    Et ses vraies mauvaises nouvelles...

     

    Léo, Blanche, Mirta, Roland, François,Vincent et les autres

    La vie va, pas toujours aussi belle que son titre

    Mais ça a le don

    De me faire oublier les tracas quotidiens

    Et plus, en ce moment délicat pour la planète...

    "Les feux de l'amour" de Rose du blog : "Golondrina 63" :

     

    Ce jour-là

    Ma mère comme tous les jours

    Au téléphone elle  débriefait 

    De quoi me direz -vous?

     @ plus de 80 ans 
    Ma mère et ma tante

    La même passion 

    Oui mais de quoi ?

    Les feux de l'amour

     Ce feuilleton

     @ rebondissements

    Mais ce jour-là

    Ma mère avait mis des œufs à cuire

     Comme elle disait

     Vite fait sur le gaz

    Elle entendit frapper un coup

    @ la porte ?
    Sans se déplacer

     Elle cria entrer

     Trop prise dans sa conversation 

    Animée avec tata Thérèse

    Pas toujours...

     Sur la même longueur d'onde 

    Une fois, deux fois, trois fois

    Personne n'entra

     Et là l'odeur du cramé 

    Oups elle comprit ...

    Les coups c'étaient les œufs

    La casserole sans eau 

    Scratchés au plafond les cacos 

    J'avais beau le lui dire 

    Quand tu revis le feuilleton avec tata au téléphone

    Arrête le gaz

    Maintenant  c'est qui qui va se  remonter les manches ?

     Ma mère et ma tante

    @ elles d'eux

    @ les entendre

    C'était  mieux qu'à la télé 
    Animé des deux côtés

    Je me souviendrais toujours de cet épisode 

    Les feux de l'amour  au téléphone

     

     

    "Pékin express" de Vagamonde du blog "Vagamonde bis" :

     

    Pour ceux qui ne connaissent pas, je vais essayer de résumer succinctement :
    Il s'agit d'une course en plusieurs étapes avec des défis à relever dans 3 ou 4  pays, au cours de laquelle huit binômes s'affrontent.
    Ils n'ont qu'un euro par jour et par personne et doivent faire de l'auto-stop pour rejoindre les points de rendez-vous avec Stéphane Rotenberg, le présentateur de l'émission.

    Le binôme arrivé en dernier risque l'élimination. Il doit choisir une enveloppe scellée où il est mentionné si l'épreuve est éliminatoire ou non.

    Ceux arrivés en 1er, sont assurés de participer à l'étape suivante. A chaque étape, les binômes doivent se faire offrir le gîte et le couvert chez l'habitant.
    En plus des défis, souvent sportifs, qui permettent aux téléspectateurs de cerner les candidats et qui montrent combien l'être humain a différentes façons d'aborder les épreuves, ce que j'adore par-dessus tout, ce sont les rencontres avec la population.
    Je suis souvent impressionnée par l'accueil hyper chaleureux réservé aux candidats.
    Même les personnes les moins fortunées ouvrent sans hésiter leur porte et offrent généreusement le repas et la nuitée à leurs hôtes.
    Ce sont toujours des moments d'émotion intenses qui me remémorent des rencontres similaires que j'ai pu faire en voyageant dans certains pays et qui m'ont marquées à tout jamais.
    Je ne peux oublier ce Monsieur, en Inde, qui s'est dirigé vers moi en mobylette, uniquement pour que je prenne en photo son fils afin que cela lui porte chance. Sans me demander quoi que ce soit, il est reparti avec un large sourire et en me remerciant chaleureusement.
    Je n'oublierai pas non plus cette mamy, au Vietnam, assise dans l'entrée de sa maison et mâchant des feuilles de Bétel, qui m'a invitée à visiter sa maison.
    Idem pour cette jeune dame au Vietnam, qui vendait des articles en tissu et qui s'est proposée spontanément de me confectionner sur place des maniques car elle n'en avait pas. Pendant ce temps, sa maman m'a généreusement offert un fruit et une boisson pour me faire patienter.
    Au Bénin, c'est un jeune garçon d'une douzaine d'années qui s'est proposé de m'accompagner pour me faire visiter son village et ce, gratuitement. Il m'a même présenté au Chef du village pour lui demander si je pouvais voir la bibliothèque.
    En Tunisie, avec mon neveu, nous avons été invités à un mariage.
    Bien souvent aussi, sur les marchés, dans de nombreux pays,  j'ai eu de bons échanges, parfois brefs mais intenses. 
    Je ne peux tous les citer mais pour moi ces multiples expériences sont enrichissantes et représentent de belles leçons de tolérance que je souhaite à tous de vivre au moins une fois.
    Prendre le temps d'échanger avec la population, sans jamais être donneurs de leçons, permet de mieux comprendre et d'instaurer un climat de confiance.
    Vous l'aurez compris, j'ai donc hâte d'arriver à jeudi prochain pour me régaler devant "Pékin express", en attendant de pouvoir de nouveau voyager.

     

     

    "Les oiseaux se cachent pour mourir" de Renée du blog : "Envie de" :

     

     

    C'est d'une mini-série de 4 épisodes dont il est question et que beaucoup, beaucoup d'entre vous on suivis. Elle est sortie en 1983 mais plus tard en Europe. L'histoire se situe en Australie mais fut tournée en Californie.

    Ecrite par Colleen Mc-Cullough (décédée en 2015) elle met en scène deux personnages Ralph de Bricassart et Meggie Cleary qui s'aiment d'un amour passionné mais, réprouvé...

    Synopsis :

    Ralph, muté d'Irlande en Nouvelle-Galles du Sud pour ne pas avoir respecté son vœu d'obéissance. Dans ce pays de Cocagne, il fait la connaissance de Mary Carson, une vieille dame qui règne en maîtresse sur Drogheda, riche propriété spécialisée dans l'élevage de moutons. Cette femme tombe très vite folle amoureuse du séduisant prêtre et n'a de cesse de le tourmenter pour qu'il lui cède.

     

    Ce que j'en ai aimé : Une belle histoire d'amour même si, Ralph fait passer son intérêt à la fin au détriment de l'amour. Magistral aussi parce que le thème abordé ne l'avait pas où, peu été à la TV, ni au cinéma. Un thème qui à l'époque était osé.

    Depuis, beaucoup on traiter de sujets quelque peu similaires bien plus sordides, puisque réel. 

    De sublime paysages et des personnage crédible dans les rôles.

     

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    de nous parler d'un feuilleton (ou d'une série télévisée, puisque c'est leur nouveau nom) que vous avez apprécié, de nous dire pourquoi vous étiez accro et de nous donner envie de le regarder (si c'est encore possible)...

     

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