• Pour ce 146ème Café Thé, je vous propose :

    de broder autour de cette photo prise en août 2019, sur la plage centrale, à Arcachon.

    Vous pouvez évoquer un après-midi à la plage,

    ou bien délirer autour de la queue de la baleine (sculpture flottante installée de juin à septembre, et repeinte chaque année avec de nouvelles couleurs).

     

     

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 juillet 2022)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 30 juin 2022 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !


    6 commentaires
  • Pour ce 145ème Café Thé, je vous ai proposé de remercier une personne, ou pourquoi pas un animal, et de nous raconter pourquoi vous lui dites ce grand Merci.

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 juin 2022)

     

     

     

     

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Vous êtes 6 à avoir participé (Jill Bill, Jo, Rose, Renée, Colette

    et Livia).

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous !

     

     

    Voici les 6 participations :

     



    "En deux mots" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Grand Merci

    Au fils cadet

    D'être-là pour moi, pour nous,

    Quand le besoin se fait sentir...

     

    A l'écoute de nos peines,

    De notre moral en berne,

    Un coup de fil, une présence

    Et ça repart...

     

    Appréciable

    De pouvoir compter sur une personne

    Alors qu'elle a aussi ses soucis...

     

    Grand Merci

    Et à charge de revanche

    Comme on dit !

     

    "Dire merci. A qui, à quoi ?" de Jo du blog "De tout, de rien, tout simplement" :

     

    Dire merci la vie ! Facile a dire 

    Quand tout va bien dans la vie on dit merci pour ceci pour cela ! 

    Mais quand tout va mal, a qui dire merci ? hein !  

    J’ai connu de belles années (comme tout le monde) mais aussi de (très) bien pires,
    à ce moment là, je ne disais pas merci, Ho Non 

    Personne pour me tendre la main, mon fils ? Je ne lui en avais rien dit 

    Ma fille ? Elle ne voulait plus me voir, ni me parler 

    Mon mari ? Il m’avait lâchement abandonnée pour une fausse blonde 

    Alors que faire, si ce n’est disparaître, oui oui, envie de disparaître !

      

    Et puis, un jour le soleil entre dans ma maison, sous les traits d’un chien noir,
    en faite c’est une chienne « Lady » et là tout change. 

    Le noir de mes pensées ont disparu 

    " Le soleil est entré dans ma maison 

    L’Amour avec un Grand A au quotidien 

    La présence, les léchouilles, les câlins 

    Tout ce dont j’avais besoin pour me redonner goût à la vie"  

     

    Ne plus me sentir rejetée, inutile, mais vivante ! 

    Alors oui, UN GRAND MERCI, à ma Lady,
    ma joie, mon bonheur, mon réconfort, mon antidépresseur,  

    L’Amour de ma vie    et que la vie fasse que cela dure encore longtemps 

    "Mes chers parents" de Rose du blog : "Golondrina63" :

    Sur la route de ma vie 

    Au mois d'octobre

    Je me suis présentée

    Sur la route de ma vie

     Mes chers parents

     À cheminer à vos côtés

     J'ai appris 

    Toujours le regard averti

    Sur la route de ma vie

    De bons conseils 

    J'ai été nourrie

     Je n'ai pas dévié de cette route

    Dans la dignité 

    Je conjugue le verbe positiver 

    Sur la route de ma vie 

    Je poursuis

     Riche de votre puissant aliment de santé

     Votre amour 

    Il a été mon moteur

    Pour tout cela 

    Merci 

    Dans le silence qui nous unit depuis 

     Chaque jour s'envole

     Jusqu'à vous un merci

     

    "Merci" de Renée du blog : "Envie de" :

     

    A qui dire merci alors que tant et tant, le méritent.

    Dire merci avant tout, à mes parents pour cette vie donnée même si, parfois j’ai pu la détester.

    Merci à l’homme qui la partage, qui doit en supporter et qui sait beaucoup m’apporter.

    Merci à mes enfants petits enfants qui prouvent qu’elle est continuité…

    Merci aux animaux qui l’ont partagé ils l’ont, eux, toujours comblée.

    Merci à la vie tout simplement d’exister, à la nature pour sa grande beauté.

    Merci à tous ceux/celles qui l’ont traversée qui un moment, m’ont aidée un obstacle à surmonter

    Merci à ceux qui m’ont fait sourire, voir rire aux éclats alors, que le cœur était à pleurer.

    Ceux qui m’ont appris, enrichis de milles manières, qui m’ont permis d’avancer, de ne pas flancher

    Vous en faites partie, je ne peux dès lors aussi, que vous remerciez.

    Merci même, à ceux qui se sont détournés, ils m’ont des souffrances sans doute évitées.

     

    Pourquoi?, Juste comme ça..........
     
    "Un grand merci à ma mère, à mon père" de Colette du blog : "En toute simplicité" :
     

    Amour et tendresse,  

    sont les mots qui me viennent à l’esprit  

    quand je pense à ma mère. 

    Tendresse et amour,  

    sont les mots qui me viennent à l’esprit  

    quand je pense à mon père.  

    Mes beaux et bons souvenirs s’enchaînent  

    autant envers l’un qu’envers l’autre. 

    Consolée de mes petites fredaines,  

    étonnée de leur patience malgré mes veilles d’écoute  

    du palmarès musical de l’époque à la radio.

    Courir sur les chemins de la vie  

    dans la paix d’un foyer heureux. 

    Merci du plus profond du cœur à vous deux  

    de ce cadeau de la vie et,  

    pour ce que vous avez été pour moi. 

    "Un grand Merci" de Livia du blog : "Livia augustae

    Si je devais dire un grand merci, je pense que je devrais le dire à beaucoup de monde, d'abord à mes parents qui ont toujours été très présents et très attentionnés durant mes jeunes années et même au-delà.

    Un énorme merci à mon époux qui m'a entourée et choyée durant cinquante longues années et aujourd'hui à mes enfants qui ont pris le relais de leur père et qui m'entourent de leur affection.

    Il y a aussi les amis très chers avec qui je fais souvent de longues balades et avec qui je passe des soirées merveilleuses, l'hiver devant la cheminée et l'été dans le jardin duquel montent les effluves parfumées des roses et du seringa, tandis qu'une chouette hulule sur une branche du tilleul tout au fond du jardin.

    Je n'oublierai pas de dire merci aux deux chiens de la famille, notre Pacha qui occupa une si grande place chez nous et qui nous fit tant rire, ainsi qu'à Orion qui prit sa suite dans nos vies, depuis ils ont tous deux  rejoint le paradis de Saint François, dans lequel ils doivent continuer leurs pitreries.

    Que serait ma vie sans toutes ces personnes si chères à mon cœur  et ses deux merveilleux toutous ? Rien un grand vide sidéral !

    C'est à toutes ces personnes qui ont fait ou qui font toujours partie intégrantes de ma vie que je veux aujourd'hui dire du fond du cœur un grand merci !


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  • Pour ce 145ème Café Thé, je vous propose de remercier une personne, ou pourquoi pas un animal, et de nous raconter pourquoi vous lui dites ce grand Merci. 

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 juin 2022)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 mai 2022 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !

     

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"


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  • Pour ce 144ème Café Thé, je vous ai proposé de broder autour de cette photo prise le 20 mars lors de mon séjour à l'hôpital.

    Vous pouviez évoquer un séjour à l'hôpital ou en cure, l'accompagnement d'un malade, ou bien un régime, ou ce qui vous passera par la tête...

     

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 mai 2022).

     

     

    Vous êtes 8 à avoir participé (Jill Bill, Rose, Pierre, Jean-Luc, Jak, Colette

    Renée et Livia).

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous !

     

     

    Voici les 8 participations :

     



    "Le verre d'eau" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Des « vacances forcées »

    Dans une chambre d'hôpital,

    Avec vue sur la rue

    Et ses bien-portants,

    Un séjour loin d'être enchanteur

    Mais santé oblige...

     

    Sur la table, de chevet,

    Pas du cinq étoiles,

    Verre et bouteille d'eau plate

    Pot à pilules...

     

    Et que dire des repas

    Tristement fades...

     

    On a qu'une envie

    Rentrer chez soi,

    Reprendre le cours de sa vie,

    Sa chambre, sa popote,

    En convalescence, encore,

    Mais loin de ce monde

    Que l'on fréquente quand il le faut

    Même si on dit Merci à la médecine

    De nous délivrer de nos maux

    Le plus souvent...
     

    "Si le verre pouvait parler..." de Rose du blog : "Golondrina

    63" :

     

    Si le verre pouvait parler

    @ ma place 

     Il vous dirait 

    Marre du réveil ⏰ à la même heure 

    " voici votre cachet" 

    Grrr

    Pourtant ce n'est pas la mer à boire

     Ras le bol du blanc

    Murs fades

     Manque d'humanité

    C'est pas comme dans l'temps 

    J'ai connu mieux comme prestations 

    L'hôpital publique se dégrade 

     Le numéro

     C'est moi

    Surtout si j'ai besoin de ...

    Retiens toi ma vieille 

    J'ai envie de le scratcher ce verre 

    Au gout fade

     L'hôpital est pauvre

     Même pas de quoi offrir une goutte de sirop

     La gorge irritée à force de racler 

    Marre de la  fausse-route 

    Chaque fois 

    Ma dernière heure fait semblant de sonner

     Et ouf heureusement qu'il est là 

    Ce verre pour rincer la tuyauterie

     Oh toi contenant de piètre verrerie

     Eau décontaminée qui pue le pourri

    Mais encore une fois

     Le cacheton est passé.

     

    "Verre d'eau fraternel" de Pierre du blog "Pi_ro_94" :

    Je me souviens encore dix ans après de ce verre d’eau que j’avais approché et rempli pour mon frère hospitalisé.  Il était très amaigri et avait le teint très pâle, on le sentait épuisé. Il n’arrivait plus à manger car en plus de sa maladie, une hépatite virale C, il avait contracté une bactérie que l’hôpital n’arrivait pas à éradiquer. J’étais là avec un autre frère, sa femme et une de ses filles. J’avais apporté croyant lui faire plaisir un dessert que j’avais concocté pour le changer du régime hospitalier mais il ne touchait quasiment plus à rien et nous a dit qu’il ne fallait rien lui donner qui venait de l’extérieur sans que cela passe d’abord par le service. C’était moi qui était le plus près de sa table de chevet et c’est pour cela qu’il m’avait demandé de lui remplir son verre d’eau car il était trop loin de lui pour l’attraper et se servir. On essayait évidemment de le ragaillardir mais au fond de nous nous étions atterrés de le voir dans cet état qui nous semblait s’être terriblement aggravé depuis la dernière fois que nous lui avions rendu visite. On sentait cependant que nos visites lui faisaient plaisir et qu’il aimait toujours bavarder. Quand nous sortîmes ensemble de l’hôpital mon autre frère me dit : « Je suis très inquiet, Jean semble très mal. Il fait peur ».

    Effectivement ce verre d’eau fraternel ne lui accorda qu’un piètre répit. Deux jours après il mourrai d’une septicémie.  C’est alors que je me suis souvenu du dernier film dont il m’avait parlé, un western qu’il avait regardé sur la télé de sa chambre d’hôpital et qu’il considérait comme un des meilleurs western de tous les temps : « La rivière sans retour ». Pressentait-il donc qu’il allait la prendre cette «rivière sans retour » et avait-il voulu m’en prévenir ?

     

    "Le verre" de Jean-Luc du blog "Les voyages de Sylvie

    et Jean-Luc" :

    Exceptionnellement pour une fois ce n’est pas une photo du verre à moitié vide ou plein, c’est limite « ça déborde », était-ce un verre test pour essayer la nouvelle gouttière à épaules, qui entre nous n’est pas un produit très répandu à part peut être dans le bassin d’Arcachon pour essayer de soulager une « écureuil » toute bleue, qui est vrai n’est pas non plus fréquent à voir, mystère !!!

     

    "Résolution" de Jak du blog "Images et mots" :

     

    "Le verre d'eau" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    Qu’il soit glacé, tempéré, 

    De citron assaisonné, 

    Verre petit ou verre très grand ; 

    D’eau chaude ou d’eau froide. 

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    Qu’il soit plein à plein bord, 

    Moitié vide ou moitié plein, 

    Que ce soit à l’hôpital ;  

    Que ce soit à la maison. 

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    Au mirage du soleil, 

    Au mirage de la lune, 

    Avale tes pilules ; 

    Et étanche-y ta soif. 

    Bois ton verre d’eau 

    Surtout, ne t’y n’y noie pas ! 

    "Cure d'amaigrissement" de Renée du blog : "Envie de" :

    M’y voilà donc! Mais pourquoi cette subite envie de faire une cure d’amaigrissement, en plus à l’hôpital, alors qu’en thalasso ça aurait été tellement mieux !

    Les repas, enfin si on peut parler de repas sont infects ! Une espèce de bouillie sans saveur dont la couleur en plus du goût est fort rébarbative. C’est sûr que le régime va faire effet du coup. Pas sûr par contre que la fraîche accouchée reprenne des forces ou la petite dame opérée il y a peu de la hanche !

    Mélangé aux autres malades il faut aussi subir les geignements des voisins, qui sont anormalement nombreux. Au bas mot dans cette chambre une vingtaine, c’est bizarre quand même….

    Bien sûr qu’ils souffrent et je compatis, là n’est pas la question, mais pourquoi mettre des *biens portants* avec des personnes si malades cela perturbe le sommeil et ne rend pas agréable dès le matin.

    Parlons-en du matin, l’infirmière qui pénètre dans la chambre toute guillerette en lançant un *bonjour tout le monde* tonitruant et en ouvrant les volets d’un coup énergique, de quoi réveiller un mort, je vous le dit.

    Sur ce elle nous sert un verre d’eau et une pilule, dont il est impossible de savoir la raison exacte pour cette première prise de médicament. Etrangement toute la chambre y a droit.

    Une drôle de….https://youtu.be/FuO09SWdlnE

     ….retentit…

     

    Ouf, juste un mauvais rêve.

    "La soif" de Livia du blog : "Livia augustae

    Sac sur le dos, chaussures et bâtons de marche, nous étions parti de bon matin avant que le soleil n'ouvre les yeux et l'ombre régnait encore sur la campagne endormie

    Le soleil enfin se leva, étirant ses rayons qui dissipèrent les ombres de la nuit, la nature nous offrit ses merveilles tout au long de cette montée, nous avons cueilli et grignoté des fruits le long du sentier, les corolles des  fleurs s'ouvraient couvertes de rosée offrant leur cœur aux rayons dorés... et tandis que nous continuions à monter  vers la cime, le chemin devint plus escarpé et de plus en  plus raide, de grosses pierres éboulées nous barraient parfois le passage, il fallait passer l'obstacle sans tomber car un ravin très profond  bordait le sentier, provoquant chez moi des poussées d'adrénaline.

    Enfin au sommet ! Le paysage était  splendide et grandiose, le regard portait loin le long des vallonnements de la montagne qui nous déclinait tout les tons de verts, dans les vals, les maisons lilliputiennes se blottissaient autour de leur clocher, des taillis épineux couverts de fleurs odorantes de toutes les couleurs tapissaient le sol entre les blocs de pierres, que des insectes gourmands butinaient en bourdonnant, mais il y avait un hic ! il n'y avait pas d'ombre.

    Nous étions tous fatigués, les jambes zébrées d'écorchures infligées par les épineux, affamés et surtout assoiffés, d'un commun accord nous décidâmes de nous reposer et de nous restaurer avant de redescendre, nous nous installâmes tant bien que mal sur les rochers et nous ouvrîmes le sac qui contenait les provisions de bouche.

    Une mauvaise surprise nous attendait au fond de ce sac ! Nous constatâmes avec effroi que les gourdes n'ayant pas été fermées correctement avaient coulées, trempant les sandwichs, nous resterions donc sur notre faim et sur notre soif.

    C'est avec de gros efforts que nous reprîmes le sentier, pour retourner d'où nous étions venus, le ventre creux et la soif nous tenaillant, personne ne parlait mais on sentait la colère gronder  car chacun se demandait qui avait fermé les gourdes ? Une gourde assurément !

    Quand à moi, la soif me donnait des hallucinations, je voyais un verre d'eau fraîche posé sur une table à deux pas de moi, mais je n'arrivais pas à l'attraper et la sueur qui ruisselait sur mon front me piquait les yeux et me brouillait la vue, je marchais comme une somnambule suivant pas à pas ce verre d'eau qui s'éloignait au fur et à mesure que j'avançais, j'en rêvais tant qu'il me sembla entendre le verre tinter et l'eau couler et des cloches sonner...

    Alors j'entendis parler et quelqu'un m'appela joyeusement,  je m'arrêtais, pour constater que nous étions arrivés dans une grande prairie herbeuse où paissaient quelques vaches, au milieu de laquelle susurrait  une fontaine et les tintements de verre que j'avais entendu provenaient des gobelets que chacun présentait sous le filet d'eau fraîche de la fontaine, quand aux sonneries de cloches, il ne s'agissait que des bélières que les vaches portaient autour du cou.

    Je n'oublierai jamais ce verre d'eau que je bu agenouillée auprès de cette fontaine au milieu des sonnailles des vaches un jour d'été.


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  • Pour ce 144ème Café Thé, je vous propose :

    de broder autour de cette photo prise le 20 mars lors de mon séjour à l'hôpital.

    Vous pouvez évoquer un séjour à l'hôpital ou en cure,

    l'accompagnement d'un malade,

    ou bien un régime,

    ou ce qui vous passera par la tête...

     

     

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 mai 2022)

     

     

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