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Pour ce 44ème Café Thé, je vous propose de broder autour d'une pensée positive lue dans "Petite philosophie du matin - 365 pensées positives pour être heureux tous les jours" de Catherine Rambert, livre offert par Mamazerty du blog "Expression créative" :
Il suffit parfois d'un mot pour embellir la journée d'une personne de notre entourage.
Les consignes : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, voyagez, délirez, faites ce que vous voulez... Racontez nous à votre manière comment vous avez embelli la vie d'un proche.
Envoyez moi votre participation à écureuilbleu33@livre.fr avant le 16 octobre 2013.
Amusez vous bien !
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Pour ce 43ème Café Thé je vous ai proposé de broder autour de cette photo, prise dans mon jardin, d'une fleur de nénuphar sur laquelle se promène une fourmi...
Faites nous rêver, rire ou trembler...
Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, fablounez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez...
La même photo avec un zoom sur la fourmi :
Vous êtes 7 à avoir participé.
Il s'agit maintenant de voter pour vos 2 participations préférées jusqu'au 15 octobre 2013 en utilisant le module de vote en haut à gauche...
Voici les participations :
Participation n° 1 :
En ver'ité
Elle voulait voir
Le rose de la vie
Elle toute de noir
A bosser comme fourmi
Dans l'été infernal
Le grenier à remplir
Laissant la cigale
Chanter à loisirPuis, puis
Au miroir de l'eau
Vieille elle se vit
Usée par les travaux
Quant l'autre au vert
A la bonne mine
Vivait la saison en chansonnière
Mendiant l'hiver pitance chez sa voisine...
Une abeille passant là-haut
Au dessus du nénuphar
Lui confia ses maux...
« Du matin au soir
Je récolte moi aussi
De soleil en soleil
Et devinez à qui
Profite notre miel... »
« Il est donc autre cigale, oh
Lui répondit la fourmi...
Elles ne gagneront pas leur paradis
A vivre sur notre dos ! »
Participation n° 2 :
La fourmi et le nénuphar
Sur le bassin trônait un nénuphar.
Son cœur s'ouvrait à l'abeille
Allant de l'eau à la treille.
L'admirait le petit têtard.
La demoiselle libellule
D'une savante chorégraphie
Le laissait beat et ravi,
Etourdit de ses stridules.
Sur une brindille une fourmi
Se désespère et soupire,
Je n'ai rien à lui offrir,
Je voudrais être son amie
Le vent entendant sa supplique
Pousse le nénuphar sur le bord
Comme le bateau vers le port
Commence une journée idyllique
Pour le nénuphar et la fourmi
Participation n° 3 :
Participation n° 4 :
LA FOURMI ET LE NENUPHAR…
(A la manière de : Jean de La Fontaine…)
Un jour d’été, une fourmi,
Prit le temps, entre deux courses…
De baguenauder sur un nénuphar.
Elle se laissait bercer, par l’onde claire
Elle humait les senteurs de fleurs,
Ecoutait le chant des cigales,
Et pensait : « pourquoi toujours courir
Travailler, sans relâche, durant ce court été,
Alors que l’on est si bien ici » ?
Elle oubliait la mésaventure de la cigale,
« Qui chantait tout l’été, et se trouva
Fort dépourvue quand la bise fut venue » !
Elle continua cependant à aller de ci, de là,
Trouvant ces petites vacances merveilleuses.
Mais une grenouille, sur une feuille perchée,
L’a prit pour un moustique,
Et sans plus de façons, la goba !
Participation n° 5 :
Une fourmi en vadrouille.humant une fleur odorante.La voici morte de trouille.Au secours ,de la nage suis ignorante.Une grenouille passant par là.Lui dit , fourmi ne t’inquiètes pasA la noyade ,tu vas y échappercar comme repas ,je vais te gober.MoralitéMême dans des situations difficilesil vaut mieux de fermer sa gueuleParticipation n° 6 :
chaque matin je m'empresse de venir admirer
les nénuphars au bord de l'étang
dame fourmi a fait un bon bout de chemin depuis hier matin
suivie de près par sa copine Justine!
elle s'ennivre du parfum subtil tout en se rendant utile!
je pourrais lui faciliter la vie !
lui faire gagner quelques tours de pétale
la fourmi est travailleuse
elle n'accepterait aucune aide
ce qui ne serait pas le cas de la cigale
qui sommeille encore en grignottant un casse dale
nous ne sommes plus au temps de la fable
la petite Justine en a assez de tourner en rond
elle voudrait voir du pays à tout prix
elle se penche - penche pour trouver un autre nénuphar
qui lui servirait de passerelle, pour une vie nouvelle
en compagnie de dame cigale qui se régale
soudain un poisson saute hors de l'eau
et la gobe sans vergognela morale de la fable
le travail c'est la santé
un tour de pétale vaut mieux qu'une mandaleParticipation n° 7 :
La fourmi : Nénuphar, nénuphar, dis-moi si je suis la plus belle ?
Le nénuphar : Fourmi, tu es belle
Mais la plus belle c'est la fleur rose et jaune qui flotte près de moi...
La fourmi : Nénuphar, la fleur se fane alors que moi toute l'année je resplendis... Es tu sûr que je ne sois pas la plus belle ?
Le nénuphar : Fourmi tu es belle
Mais la grenouille qui se cache sous mes feuilles est plus belle que toi...
La fourmi : Nénuphar, ne te plains tu pas de son croassement incessant ? Pourquoi ne suis je pas la plus belle ?
Le nénuphar : Fourmi, tu es belle
Mais regarde toi dans l'eau du bassin : tu es noire, minuscule, tu ne chantes pas, tu ne fais que travailler...
La fourmi était si triste qu'elle voulut se jeter à l'eau pour en finir...
Le nénuphar l'en empêcha et lui conseilla de sourire, de mettre de la couleur dans sa vie, de chanter, de danser et s'amuser...
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Pour ce 42ème Café Thé, je vous ai proposé de broder autour de la chanson de Leny Escudero "Pour une amourette" dont voici les paroles :
Pour une amourette
Qui passait par là
J´ai perdu la tête
Et puis me voilà
Pour une amourette
Qui se posait là
Pour une amourette
Qui tendait les bras
Pour une amourette
Qui me disait viens
J´ai cru qu´une fête
Danse et tend les mains
Pour une amourette
Qui faisait du bonheur
J´ai fui la planète
Pour la suivre ailleurs
Alors je me suis dit
T´es au bout du chemin
Tu peux t´arrêter là
Te reposer enfin
Et lorsque l´amour
S´est noyé dans ses yeux
J´ai cru que je venais
D´inventer le ciel bleu
Pour une amourette
Qui m´avait souri
Je me suis fait honnête
J´ai changé ma vie
Pour une amourette
Qui croyait m´aimer
Pour une amourette
L´amour éternel
Dure le temps d´une fête
Le temps d´un soleil
Et mon amourette
Qui était trop jolie
Vers d´autres conquêtes
Bientôt repartit
Le premier adieu
A gardé son secret
Elle emportait l´amour
Me laissant les regrets
Même le dieu Printemps
Au loin refleurissait
Et tout contre mon cœur
Déjà il me disait:
Une petite amourette
Faut la prendre comme ça
Un jour, deux peut-être
Longtemps quelquefois
Va sécher tes larmes
A un nouvel amour
De jeter déjà
Les peines d´un jour
Une petite amourette
Un jour reviendra
Te tourner la tête
Te tendre les bras
Chanter la romance
Ou le rêve joli
Mais je sais d´avance
Que tu diras oui
Alors les amours
Pour toi refleuriront
Tu aimeras encore
A la belle saison
Une petite Amourette
Jamais trop jolie
Quand on sait d´avance
Ce que dure la vie.Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, voyagez, délirez, faites ce que vous voulez...
Vous êtes 9 à avoir participéet 33 à avoir voté.
Vos votes ont désigné comme gagnante Enriqueta du blog "Les mots offerts comme destination de voyage" avec 10 voix, suivie de près par Jill Bill, Annie et Mamazerty ex-aequo avec 9 voix chacune, Lady Marianne (8 voix), Quichottine (7 voix), Cora (6 voix), Pascal et Any (5 voix chacun).
Bravo à Enriqueta et à tous les participants et merci à tous ceux qui ont voté.
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Voici les participations...
1ère) Enriqueta du blog "Les mots offerts comme destination de voyage" :
Tu veux t'foutre en l'air pour une amourette
Ses yeux revolver t'ont fait perdre la têteCette fille, crois-moi, n'est qu'une gigoletteEt ta tragédie n'est qu'une historietteArrête de pleurer, allons au bistrotNous y chanterons comme EscuderoNous tordrons le cou à tous tes sanglotsEt tu oublieras ses tendres bécotsAllez viens, viens donc, jusqu'à la buvetteY'a de la bonne bière et des chansonnettesDes chansons à boire, des airs d'opéretteDes paroles à rire toutes guillerettesC'est moi qui t'invite, j'ai un p'tit magotNous ferons les fous, plein de trucs idiotsComme quand on était tous les deux jeunotsEt nous nous prendrons pour Escudero2ème ex-aequo) Jill Bill du blog "Melting-pot" :
Lettre à Leny
Perdre la raison
A la saison des cerises
Pour un fille qui s'abandonne
A tes vingt printemps
Croire en bon garçon
Qu'elle n'ôtera sa chemise
Pour personne
Sauf pour toi évidemment...
Mais les jolies Rose
Sont des marguerites
Qui se laissent effeuiller
Un peu, beaucoup, passionnément
C'est chose
Folle de penser trop vite
Qu'on va la garder
Pour soi seulement...
Une aube l'oiseau s'envole
Vers d'autres amourettes
Tu tends les deux mains
Sur la pointe des pieds
Dans un espoir fol
De vouloir retenir cette Juliette
Pour qui sans chagrin
Tu as tout quitté...
Mais la vie arrangeante
Te trouvera d'autres bras
Pour danser un soir
Ou même deux
Elles se feront douces amantes
Dans tes draps
La jeunesse il faut la boire
De tout son saoul tant qu'on peut...
2ème ex-aequo) Annie :
2ème ex-aequo) Mamazerty du blog "Expression créative" :
l'Amour s'en vint
l'amour s'en fut
si je m'en souviens
il vint
sur la pointe des pieds
dans la touffeur d'une nuit d'été
transparent
et évident
vital comme rosée
source chaude au bas du ventre
torrents de vie en nos centres
vagues jamais paisibles
sur fond de rivage torride
L'amour s'en vint
l'amour s'en fut
dans un bruit de tonnerre
nos cieux déchirés par les éclairs
plus aucun souvenir de nos hiers
regards détournés
solitudes répétées
silences éternisés
nos mains se sont lâchées
à jamais
5ème) Lady Marianne du blog "Chienne de vie" :
La vie c’est du cinéma
chacun y joue son scénario
la vie n’est pas un long fleuve tranquille
on positive
une de perdue, dix de retrouvéesElle m'a dit d'aller siffler là-haut sur la coline,
de l'attendre avec un petit bouquet d'églantines.
J'ai cueuilli des fleurs et j'ai sifflé tant que j'ai pu,
j'ai attendu attendu elle n'est jamais venu!si maman si ! si maman si
maman si tu voyais ma vie !
je pleure comme je ris
si maman si
mais mon avenir reste gris
et mon coeur aussi
Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux.Ce pigeon est aimé,
Trois jours par sa pigeonne
Ça lui suffit il sait
Que l'amour n'a qu'un tempsJ'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta mainNe gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense6ème) Quichottine du blog "Voyages en Quichottinie" :
Premier amour
Pour une amourette
Qui passait par là
J´ai perdu la tête
Et puis me voilàFlûte alors ! Depuis ce matin, cette chanson tourne dans ma tête ! Une chansonnette que je fredonnais volontiers lorsque j’avais vingt ans… Mais, nom d’une pipe, je ne les ai plus depuis longtemps ! Pourquoi ce matin ? Pourquoi cet interprète dont je ne connais sûrement aucune autre chanson ?
Je ne sais pas, je cherche vainement à quoi je dois penser…
Elle me tendait les bras… je l’ai suivie comme le gros bêta que j’étais alors ! Je l’aurais suivie au bout du monde, moi. Je l’ai fait d’ailleurs. Nous avons passé tant de temps en train, avion, navire de toute sorte, que je ne sais plus bien où est mon port à moi.
Alors je me suis dit
T´es au bout du chemin
Tu peux t´arrêter là
Te reposer enfin
Et lorsque l´amour
S´est noyé dans ses yeux
J´ai cru que je venais
D´inventer le ciel bleuC’est vrai… moi qui n’avais jamais rien inventé, jamais rien créé, moi qui me contentais d’aller chaque jour que Dieu fait accomplir mon devoir derrière un bureau, sans grande conviction, je me suis senti pousser des ailes…
Vous savez ce que c’est de se prendre pour Dieu ? Pour le magicien d’Oz ? Pour Merlin l’enchanteur ?
C’était moi quand je la regardais. J’aurais pour elle escaladé les plus hautes montagnes, exploré le plus profond des océans… J’aurais transformé le plomb en or, et fait pousser des roses dans le désert.
L´amour éternel
Dure le temps d´une fête
Le temps d´un soleilC’était trop beau, évidemment ! J’aurais dû le savoir, m’en douter ! Tout le monde me le disait ! « Elle est bien trop jolie pour toi ! Tu t’es vu, toi… »
J’aurais pu compléter : « Tu t’es vu quand t’a bu ? »
Mais je n’avais rien bu. J’étais ivre pourtant, de bonheur et d’amour, aveuglé par sa beauté, pétillant de ses sourires. Je n’écoutais plus rien, je buvais son regard, ses paroles, comme si plus rien d’autre n’existait !
Une petite amourette
Faut la prendre comme ça
Un jour, deux peut-être
Longtemps quelquefoisPourquoi n’avait-elle pas duré plus longtemps que ne durent les roses… ? L’espace d’un été…
On m’avait dit plus tard : « Un amour de vacances »… Les années ont passé, d’autres amours aussi sont venues m’enivrer. J’ai connu d’autres filles, aimé bien d’autres femmes, et, pourtant, chaque fois, c’était elle qui revenait peupler mes rêves, elles qui me caressait, comme la toute première fois.
J’ai passé l’âge des amourettes, fussent-elles jolies, troublantes, enivrantes… J’ai perdu la naïveté qui m’avait fait ouvrir mes bras à mon tour. Je vis en attendant le jour qui me délivrera d’elle ou me fera la rejoindre où qu’elle soit aujourd’hui.
Ai-je perdu la tête ? Peut-être pas… juste mon cœur noyé dans le bleu de ses yeux.
7ème) Cora du blog "Créacora" :
Oui l'amour peut sembler vache !L'Amour demeure.Les êtres, eux, passent.8ème ex-aequo) Pascal :
Pour une amourette
mon coeur ne peut s'ouvrir
quitte toute ma vie en souffrir
comme une vieille chouette
je préfère n'avoir de pensées
que pour ma dulcinée
tout espoir perdu
vivre seul en reclus
enfoui au fond de mon âme
ce bel et grand amour
bercera mes vieux jours
illuminés par cette douce flamme.
8ème ex-aequo) Any du blog "Anyly" :
Broderie - Le Printemps
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En deux jours je n'ai pas eu le temps de visiter tout Barcelone mais un des endroits que j'ai trouvés le plus charmant est le parc de la Ciutadella, partie intégrante du quartier gothique et poumon vert de la ville.
Le parc de la Ciutadella garde le souvenir de l'exposition universelle de 1888, avec notamment l'arc de triomphe par lequel on entrait.
Aujourd'hui à l'intérieur du parc on trouve deux musées (zoologie et géologie), l'ancien arsenal de la citadelle, une cascade d'Antoni Gaudi et le jardin zoologique de Barcelone.
De la Ciutadella bâtie au début du XVIIIème siècle à la suite de la guerre de successions par les Bourbons, il ne reste que l'ancien arsenal.
L'arc de triomphe :
La "Cascada", arc de triomphe avec cascade et fontaine, a été réalisée vers 1875-1881 par Joseph Fontsere assisté par Antonio Gaudi, à l'époque étudiant :
Cette fontaine est majestueuse et le parc est reposant. Chacun y trouve un endroit pour discuter, se reposer, se promener. C'est près de cette fontaine que Julien et moi avons tourné nos séquences vidéo pour le mariage d'Aurélien et Céline ("cadeaux d'amour".
Dans ce parc il y aussi un zoo que nous n'avons pas visité et un petit étang sur lequel il est possible de se promener en barque :
Mes autres articles sur Barcelone : "Les Ramblas", "Les mimes sur les Ramblas" , "La fontaine lumineuse", "La maison du marchand de parapluies", "Le marché de la Boqueria", "Les petits perroquets verts", "La promenade maritime".
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Les citadelles érigées par Vauban il y a plus de trois siècles un peu partout en France ont résisté à l'assaut des ans et des intempéries, et sont maintenant classées au Patrimoine mondial de l'Unesco.
J'en connais quelques unes (Blaye, Belle-Ile, Saint-Martin-de-Ré, Villefranche de Conflent...) et je n'apprécie pas vraiment cette architecture militaire, massive, sans aucune fantaisie mais j'admire leur longévité.
Les babouins de Guinée du parc zoologique de la citadelle de Besançon ne doivent pas apprécier non plus ces tristes murailles car ils "mettent en danger les murs du monument en retirant les petites pierres et en gratouillant les joints". Le Directeur du Muséum d'Histoire naturelle en a conclu que cette espèce n'est pas adaptée à ces lieux. Dans la nature aussi ils bricolent arrachent des brins d'herbe, mais là ils s'attaquent à un monument calassé. Les babouins vont être dispersés dans d'autres zoos.
Source : la rubrique "Insolite" du journalSud-Ouest.
Peut-être espèrent-ils simplement creuser un trou et s'enfuir ? Mais ils le font peut-être aussi machinalement...
J'ai cherché des informations sur la citadelle de Besançon sur le net. Ses remparts font 5 à 6 mètres d'épaisseur et sont haut de 15 à 20 mètres.
Le travail de sape des babouins ne met pas en péril cette forteresse, à moins que ce ne soit tous des King-Kong...
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