Ma soeur Pascale a une chatte blanche baptisée Kakahouette qui a eu 5 chatons le 22 août 2010.

Elle m'avait demandé si je voulais un chaton et j'avais dit "Non, sauf s'il y en a un de bleu". Quand ils sont nés elle m'a appelée pour me dire qu'il y avait une "isabelle", chatte avec plusieurs couleurs : blanc, roux, noir, gris (à droite sur la photo)...

Elle m'a envoyé des photos par mail et je suis tombée sous le charme de cette boule de poils. J'ai donc décidé de l'adopter, dès qu'elle sera sevrée.

Et je l'ai baptisée "Ecureuille".

Peu de temps après Pascale m'a envoyé d'autres photos avec une autre chatte inséparable de la première. C'était la seule qu'il lui restait à placer. Elle allait être obligée de la tuer. J'ai craqué et accepté de prendre ce second chaton. Je l'ai baptisée "Squirelle".

Quelques jours plus tard et après de nombreuses photos envoyées, elle m'a dit qu'elle s'était trompée et qu'il s'agissait d'un chaton. J'aurais donc une chatte "Ecureuille" et un chat, qui se prénommera "Squirel".

Voici Ecureuille une quinzaine de jours après sa naissance :

Et Squirel :

Pascale s'occupe des  5 chatons (sans oublier la maman et ses trois autres chats) avec Christian et leurs enfants Nans et Morgane. Merci à eux ! 

Je vous ai montré Nestor en colère et Nestor posant sur le spot lumineux. Une fois sa colère passée, Nestor a pris la pose sur la mangeoire afin que je réalise son book.

Nestor rêve de faire du cinéma et devenir célèbre, pour échapper à sa mégère. Et moi je ne rêve que de photographier des écureuils !

C'est donc avec plaisir que j'ai tiré son portrait.

De face :

Profil droit :

De trois quart droit :

Profil gauche :

Trois quart gauche :

Alors, Nestor, ce book te convient-il ? M'engages-tu comme photographe attitrée ou attachée de presse comme dans le sketch d'Elie Kakou ?

Je vous ai présenté hier Nestor, l'écureuil photographié chez la soeur de Colette.

Nous étions assises en face des mangeoires et admirions les mésanges venant picorer les graines gentiment offertes. Nestor est descendu plusieurs fois de l'arbre, nous a vues et est reparti en râlant.

Oui, un écureuil ça râle. Je vais vous montrer car c'était la première fois que j'entendais ça.

A un moment nous avons entendu du bruit dans la cime du pin. Deux écureuils se disputaient. Ne parlant pas couramment l'écureuil je ne peux tout vous traduire mais ça devait être quelque chose de ce genre, hurlé par la Dame Ecureuil :

- Pourquoi rentres tu si tard ?

- Toi tu es encore allé fumer en cachette !

- Tu as mangé toutes nos noisettes !

- Tu es sorti avec l'écureuille du pin voisin !

- Je t'ai vu faire l'oeil doux à la chatte sauvage !

Bref au lieu de lui jeter des casseroles à la tête Madame Ecureuil a sauvagement poussé Nestor dans le vide. Défénestré ! Incroyable ! Colette et moi nous avons assisté à la chute libre d'une dizaine de mètres de l'écureuil. Je voyais le moment où il allait s'écraser -horreur- à nos pieds mais il est tombé à plat sur un arbousier, s'est remis droit et a fulminé ! Son petit corps tremblait de colère et de peur. Il a dû injurier la mégère restée en haut du pin :

- Tu es folle : tu as failli me tuer !

- Cette fois je pars chez l'écureuille du pin voisin. Au moins elle me fera des calins !

- Pour les noisettes, c'est toi qui les a perdues !

Je n'ai pas filmé la scène d'horreur pour ne pas choquer vos âmes sensibles et surtout parceque je ne m'attendais pas à ça. Mais j'ai filmé la peur et la colère de l'écureuil, quelques secondes après.

A demain pour d'autres photos du beau Nestor !

Le thème du casse-tête de la semaine de Lajemy est "les yeux". Je ne vais pas vous parler de mes pauvres yeux, mais de mes problèmes de lunettes.

Myope et astigmate je porte des lunettes depuis la naissance de mon fils aîné, il y a 26 ans. Travaillant tous les jours sur ordinateur ma vue en a pris un sacré coup au fil des années. Avec l'âge je suis passée comme beaucoup aux verres progressifs...

Il y a quelques semaines je suis allée voir mon ophtalmologue qui m'a prescrit une nouvelle paire de lunettes. Je portais les mêmes depuis 4-5 ans et je suis donc allée en faire fabriquer des nouvelles chez un opticien mérignacais. Dès que je les ai posées sur le bout de mon nez j'ai senti un problème sur l'oeil droit. Je l'ai dit et j'ai bien vu que ça agaçait la patronne et son employé. "Il faut vous y habituer. Portez-les une semaine et revenez... On vous fera alors la paire gratuite".

Pendant une semaine j'ai porté ces jolies lunettes qui me faisaient très mal à la tête. Quand je suis revenue j'ai signalé à nouveau le fait qu'elles me faisaient mal. L'opticien a alors contrôlé rapidement les verres puis me les a rendues en disant : "Il faut vous y habituer. On vous prépare la paire gratuite et on regardera quand vous reviendrez la chercher".

Quand je suis allée chercher la paire gratuite, je les ai essayées. Elle semblaient moins me gêner que la paire normale. Je les ai portées quelques jours mais elles me gênaient aussi.

La paire normale m'a coûté 899 euros et pour le prix j'ai eu la paire gratuite(remboursement de la sécu : une vingtaine d'euros et 380 de ma mutuelle).

Hélas j'ai dû reprendre les vieilles lunettes qui me font beaucoup moins mal à la tête ! 

Je vais revenir chez l'ophtalmologue pour qu'elle teste les nouvelles paires et comme je suis têtue je reviendrai chez l'opticien pour qu'il tienne enfin compte de mes remarques...

Je préférerais une seul paire adaptée à ma vue que deux paires qui ne le sont pas !

Voici une histoire véridique racontée par un ami de mon fils.

Ce jeune homme a maintenant 26 ans et est étudiant. Il avait un scooter à l'époque où mon fils avait un Ciao (lire "des policiers plus qu'efficaces"). Il était tombé avec, l'avait abîmé et fait réparer. Quand il a eu le permis de conduire il a légué son scooter à son frère plus jeune de 3 ans. Puis le frère a eu aussi le permis et le scooter est resté confiné dans le garage de leurs parents qui continuaient à payer l'assurance.

Au bout de quelques mois le père en a eu assez de payer l'assurance pour un sccoter qui ne servait plus et a commencé à proposer le scooter à ses proches. Dans son entreprise il discutait souvent avec une employée venant au travail en bus. Il lui a proposé le scooter pour 50 euros. La femme hésitait.

Alors il est venu au travail avec le scooter pour le lui montrer. Il n'a pas eu le temps. Dans la matinée, la jeune femme de l'accueil l'a appelée. Son scooter venait d'être d'abord renversé par la voiture d'une petite mamie qui ne l'avait pas vu et avait ensuite  reculé dessus. S'en apercevant enfin, affolée elle avait cogné dans la voiture d'à côté. Des constats ont été établis et le père du garçon s'est trouvé non seulement débarrassé du scooter mais crédité de 400 euros par l'assurance...