Ce n'est pas le mien, bien sûr, mais c'est mon pin parasol préféré depuis de nombreuses années. Il vit sur une petite place au Cap-Ferret, en face de l'église Notre Dame des Flots. Ses branches basses sont presque parallèles au sol et les enfants s'en servent de balançoire.

Devant lui s'offre un panorama magnifique : le Bassin d'Arcachon avec à sa droite le Mimbeau et derrière la Dune du Pyla toujours grandiose et à sa gauche la ville d'Arcachon.

Les promeneurs viennent s'asseoir sur le perret, à ses pieds pour contempler le paysage. Quand il fait trop chaud ils bénéficient de son ombre pour lire, discuter ou se dire de jolis mots d'amour...

Les jours de fête il peut admirer les mariés qui entrent dans la petite église. Souvent ceux qui l'aiment viennent l'admirer, le caresser comme moi.

Il se dégage une grande sérénité de cet arbre à la frondaison bienveillante.

Samedi dernier, mon fils ainé qui vit à Perpignan et était là pour quelques jours est parti en balade malgré la pluie pour revoir son cher Bassin. Il m'a ramené ces jolies photos de ce pin parasol qui l'émerveille aussi.

Jusqu'en 2009, j'avais un autre pin parasol préféré : celui de la Glacière à Mérignac, mais la tempête Klaus l'a abattu ("Hommage au pin parasol de la Glacière").

En seconde position dans maon coeur, il y a aussi le pin parasol de la chapelle Algérienne qui flirte avec la mer...

Du Parc Mauresque, au milieu de la ville d'Hiver, à Arcachon, la vue est belle sur la ville, ses maisons typiques et le Bassin d'Arcachon :

A quelques mètres du Parc Mauresque, en haut de la ville, il y a un belvédère de 25 m de haut, avec un escalier en colimaçon. J'ai suivi Julien qui voulait y monter.

Equipée d'un bon zoom j'ai pu photographier les célèbres cabanes tchanquées, avec des parcs à huîtres au premier plan...

Julien a pris une belle photo de la ville à nos pieds :

Il y a un peu plus d'un an je vous avais montré les travaux au centre ville d'Arcachon. J'y suis repassée mardi 16 janvier.

Il y avait un beau ciel bleu ce jour-là même s'il faisait froid.

Le nouveau marché couvert me plait beaucoup avec ses jolies formes et ses façades vitrées.

Sur ce bâtiment une photo immense du casino Mauresque, aujourd'hui détruit.

En se retirant la mer laisse des traces éphémères, vite effacées par les nouvelles vagues...

Des hiéroglyphes que l'on n'a pas le temps d'apprendre à déchiffrer :

Des bulles de mousse, pour accompagner les mystérieux morceaux de plastique rond ramenés par la mer, de couleur et de taille différente :

A quoi servent ces sortes de roue en plastique blanc ? Point d'interrogation...

Est-ce la mer qui pétille ?

Ou le sable qui frétille ?

Bulles de joie écloses,

Petits galets ballottés,

Sous le soleil, tout brille...

Lors de notre promenade au bord de l'Océan, il y a quelques jours, nous n'avons pas trouvé d'objets hétéroclites rejetés par la mer comme habituellement : petit frigo, cadre de télé, porteur abandonné... Pourtant c'était marée basse, avec un coefficient élevé (dépassant les 100).

Mais au pied de la dune, une cabane a été construite avec les matériaux trouvés au bord de la plage et décorée avec des chaussures uniques et divers objets ramenés par la mer. Des vieux filets ont été tendus en hamac...

Des produits d'entretien, un vieux frigo tout au fond. Pour entrer il faut se baisser. J'ai encore oublié le filtre "étoile" sur mon appareil photo...

Mon frère a testé le hamac :