• Lors de ma dernière balade au Grand Crohot (commune de Lège Cap-Ferret), au bord de l'Océan Atlantique, j'ai été intriguée par des coquillages qui brillaient au soleil. Accrochés en guirlande sur une poutre, ils formaient des sortes de fleurs. Je n'ai pas reconnu ce coquillage formé de plusieurs triangles, ressemblant un peu au "couteau" utilisé par les pêcheurs.

    Mon aminaute Annie du blog "Imaginons ensemble" a trouvé sur internet le nom de ces coquillages : anatifes ou balane à col d'oie (pour en savoir plus : http://fran.cornu.free.fr/affichage/affichage_nom.php?id_espece=311 ).

     

     

     

     

    coquillagesGC2

     

     

    coquillagesGC1


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  • Le livre voyageur, pour sa 22ème étape, est parti de chez Renée au Sénégal du blog "Errances ici et ailleurs", pour revenir chez moi.

    Elle l'a posté en recommandé le 27 décembre 2012, direction Mérignac, où -par chance- l'avis de recommandé a été déposé dans la boite aux lettres des nouveaux occupants, bien que je n'y habite plus depuis deux ans. Ceux ci m'ont prévenue et je suis allée chercher le recommandé à la poste de Capeyron avec le petit papier jaune, un peu inquiète car je me demandais de quoi il s'agissait. Les employés ne l'ont pas trouvé et ont proposé de me le faire suivre.

    Mercredi : nouveau petit papier jaune dans la boite aux lettres. Je suis allée retirer le colis vendredi après-midi. livre sén3 Il y avait de jolis timbres sur le colis mais collés les uns sur les autres : livre sén2

     

    Et dans le colis se trouvait le fameux livre voyageur accompagné de deux jolies cartes du Sénégal :

     

    livre sén

     

    Voici LE livre. Un peu abimé pour être passé entre tant d'aminautes, mais quel plaisir de lire le ressenti de chacun ! 

     

    Son voyage :

    C'est en août 2009 que j'ai découvert un livre coup de coeur "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" de Harper Lee. Denis du blog "Au bonheur de lire" m'a proposé de le transformer en "livre voyageur" et je le lui ai donc envoyé. Il l'a lu à son tour, l'a transmis à Zip de Zoup du blog Dans les voiles. Après l'avoir lu, Zip de Zoup l'a transmis à Iloane qui l'a envoyé à Fanfan, du blog "Journal d'une retraitée corse heureuse".
    Malheureusement, Fanfan n'a jamais reçu le livre. J'ai donc acheté un nouvel exemplaire que je lui ai envoyé. Le livre est ensuite parti chez Alex du blog "Pour le meilleur et pour le pire" puis chez Arlette du blog "Le cercle des lecteurs", chez Caroline K du blog "La carterie", avant d'aller chez L'autre je, chez Jean-Marie du blog "La traversée de la passion", chez Mamychris, chez Sophie du blog "La petite maison dans la prairie"puis chez Annette du blog "Créazinzin" qui me l'a envoyé pour que je puisse photographier les annotations avant de lui faire traverser l'Atlantique, destination Annick en Guyane. Le livre voyageur est ensuite arrivé chez Mamazerty du blog "Expression créative", puis chez Aude du blog "Créaterres", Valérie du blog "La revanche de Figaro", Agathe du blog "Le joli bois d'Agathe", Annie du blog "Ici et ailleurs", Marie du blog "Le jardin de Marie", Khanel du blog "Khanel3" et Renée du blog "Errances ici et ailleurs".

     

    Vos ressentis : "Les petits mots des premiers lecteurs..."

     

    Si vous êtes intéressé(e) pour recevoir à votre tour ce livre, laissez moi un commentaire...


    Les seules obligations : lire le livre (ou sinon l'envoyer rapidement au suivant), donner son ressenti sur les pages de garde, le transmettre au suivant sur la liste et me tenir informée de sa réception puis de son envoi...


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  • La météo annonçait du verglas mercredi et des pluies verglaçantes dans la nuit de mercredi à jeudi sur mon département de Gironde. Julien, mon fils aîné, étant pour la semaine chez son père à Bruges, j'avais décidé de les rejoindre et de passer deux nuits là-bas, à moins de 5 kms du bureau.

    Mercredi soir je suis rentrée chez moi normalement, j'ai préparé un sac avec affaires de toilette et rechange, mon ordinateur portable, mon tricot. J'ai donné à manger aux chats et changé leur litière et puis je suis partie guillerette dans ma modus bleu menthe qui atteint maintenant les 140 000 Kms, direction Bordeaux.

    Je n'ai pas été guillerette très longtemps.

    A environ 2 kms de chez moi, sur la quatre voies, un voyant STOP en lettres rouges s'est allumé. J'ai décidé de faire demi-tour au prochain rond-point. Mais, impossible. Le message "Panne d'injection" s'est affiché sur le tableau de bord et la voiture s'est arrêtée. Je l'ai redémarrée juste pour pouvoir la garer sur la bande d'arrêt d'urgence. Il était 20H15. Il faisait nuit et froid. Juste deux barres sur mon téléphone dont la batterie était à moitié déchargée, pas de lampe électrique. J'ai appelé mon frère qui habite la même ville que moi et lui ai demandé d'appeler notre garagiste, dont je n'avais pas le numéro sur le portable.

    Puis j'ai appelé GMF Assistance, craignant de décharger ma batterie s'ils me faisaient trop attendre. Mais ça a été vite.

    Puis j'ai patienté, assise dans la voiture, doublée par des voitures roulant à vive allure, faisant des appels de phare, malgré les warnings allumés.

    Je suis descendue et j'ai poussé la voiture sur le bas-côté.

    J'ai appelé Julien pour lui annoncer que je ne viendrai pas.

    Mon frère avait avait eu le dépanneur qui lui avait dit venir dans 20 minutes. Ensuite il m'a rejoint.

    Entretemps un car avait ralenti en me dépassant et un automobiliste s'était arrêté pour me proposer son aide. Mon frère en arrivant m'a dit de sortir de la voiture et mettre un gilet jaune. Je n'y voyais rien et déjà engoncée dans mon manteau, je n'ai pu qu'enfiler un bras... Le garagiste est arrivé avec son camion et a remorqué ma gentille modus...

    Gentille modus parce que finalement cet incident aurait pu m'arriver en pleine circulation, sur la rocade, beaucoup plus loin de chez moi. Cela aurait pu être dangereux, causer un accident, etc...

    Mon frère m'a raccompagnée chez moi. Il était tard mais j'étais au chaud.

    modus

     

    Du coup, jeudi et vendredi j'ai testé le télé travail. Mes collègues m'ont envoyé mails et fichiers excel dont j'avais besoin et j'ai bossé de la maison.

    J'ai travaillé 7h15 jeudi et 7h30 vendredi et j'ai pu mener à bien deux dossiers importants, tout en allant récupérer ma voiture chez le garagiste.

     

     

    Point positif : plus de concentration, pour résoudre des problèmes compliqués. Avec internet les échanges de mails et de fichiers sont faciles et rapides. Le téléphone permet d'apporter les compléments d'information nécessaires, et de rester joignable par les collègues. Gain de temps et de fatigue : pas d'embouteillage...

     

    Point négatif : je n'ai pu travailler que sur ces deux dossiers, Je n'ai pas pu servir de hot-line aux commerciaux comme je le fais souvent sur des points délicats et n'avais pas accès à ma messagerie professionnelle...

     

    La gentille Modus est maintenant à l'abri dans mon garage, prête à repartir lundi... Et moi j'ai déboursé un demi SMIC : 550 €...


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  • Pour ce 37ème Café Thé, je vous propose de broder autour de la photo de cette décapotable bleue, photographiée au bord de l'Océan il y a quelques jours;

    Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, voyagez, délirez, faites ce que vous voulez...

     

    décapotable

     

    Pour jouer, il vous suffit de m'envoyer par mail avant le 16 février 2013 votre participation : poème, texte, dessin, scrap, photos, blague, vidéo...

    à ecureuilbleu33@live.fr.

     

    Amusez-vous bien !


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  •  
    Votez pour vos trois participations préférées en cochant les 3 cases avant de cliquer sur Voter
    Participation n° 1
    Participation n° 2
    Participation n° 3
    Participation n° 4
    Participation n° 5
    Participation n° 6
    Participation n° 7
    Participation n° 8
    Participation n° 9
    Participation n° 10
     

    Résultats

    Pour ce 36ème jeu Café Thé, je vous ai proposé de broder autour d'un extrait du roman de Han Suyin "Multiples splendeurs", évoquant les merveilleuses mains d'une jeune femme.

    Vous pouviez utiliser prose ou poésie, photo, scrap, dessin, pour évoquer des mains, des doigts, des danseuses Thaïlandaises ou Balinaises, ou bien des gens qui parlent avec les mains...

    "Nora paraît vêtue de soie française bleu pâle; Elle est belle et je le lui dis à chaque fois que je la vois. Elle a des mains admirables, presqu'inhumaines dans leur beauté. Je songe à des orchidées, des magnolias, à des saules. Ses doigts s'incurvent comme ceux d'une danseuse siamoise. Souvent, elle remue la main en parlant, et ses doigts se balancent d'avant en arrière. Ils m'hypnotisent et pendant une heure, je me borne à de menus propos pour pouvoir mieux les contempler. Si Nora est belle, ses mains le sont plus encore, et il me semble qu'elle n'existe que pour porter, au bout de ses bras ivoirins, la tendre merveille de ses mains."

     

     

    Vous êtes 10 à avoir participé.

     

    Il s'agit de maintenant de voter pour vos trois participations préférées en utilisant le module de vote en haut à gauche jusqu'au 15 février 2013.

     

    Participation n° 1 :

    jeu-36-P1.JPG

     

    Participation n° 2 :

     

    La tendre merveille de ses mains !

     

     

     

     

    Elle parle toujours avec les mains

     

    Elle a de si jolies mains !

     

    Qui font chanter les mots,

     

    Et danser les bracelets

     

    Enlaçant ses poignets,

     

    Elles décrivent des arabesques dans l’air,

     

    Elles ponctuent chaque phrase,

     

    Et ses doigts, si longs, si fins,

     

    Désignent des mondes pleins de rêves,

     

    D’arc-en-ciel, de soleil flamboyant

     

    Et de mer chatoyante…

     

    Ses mains !

     

    Deux oiseaux voltigeant dans le temps…

     

     

    Participation n° 3 :

     

     

    C'était une froide soirée d'automne.
    Nous avions trouvé refuge sur le canapé, assis côte à côte.
    Mon amie semblait passionnée par une série télévisée.
    D'un geste lent elle saisit son tricot qui attendait contre l'accoudoir,
    l'inspecta attentivement quelques secondes, puis, visiblement satisfaite
    enfila deux longues aiguilles au travers des mailles.
    Soudain ses mains furent prises d'une agitation frénétique,
    ses doigts poussaient, tiraient nerveusement la laine en tous sens.
    L'index droit était le plus farfelu de tous, contournant nerveusement
    les aiguilles par l'arrière et repartant de plus belle en avant.
    La main gauche jouait à faire cliqueter son arme contre l'autre dans un duel incessant.
    J'étais fasciné par le contraste entre la terrible mêlée qui se jouait
    sur ses genoux et le calme de son visage, le regard rivé à l'écran.
    Parfois elle saisissait une troisième aiguille, transperçait l'ouvrage, et durant
    quelques secondes se tordait les mains pour manoeuvrer les trois à la fois.
    Observant attentivement, il me sembla découvrir que l'un des doigts allait quatre fois
    dans un sens puis faisait un retour en arrière. Ne voulant pas rester sur
    une incertitude ni poser de question saugrenue je décidais que le pullover
    serait superbe avec quatre mailles à l'endroit et une maille à l'envers.
    J'eus beau me creuser la tête, il me fut impossible de trouver la moindre
    explication au rôle joué par la troisième aiguille.
    Le film terminé, elle approcha le tricot de son visage, l'examina avec soin,
    et un léger sourire dessiné sur les lèvres, elle le reposa sur l'accoudoir.
    je compris qu'elle avait obtenu le résultat attendu et en déduisis que cet
    imbroglio de doigts s'avérait être une mécanique bien huilée.
    Je n'avais rien vu du film, mais le spectacle auquel je venais d'assister
    m'avait autant captivé que le plus haletant des thrillers.

     

     

     

    Participation n° 4 :

     

    Les mains de Nora

     

     

     

    Nora ah Nora

     

    De bleu ciel vêtue

     

    Attirante comme d'amour la pomme

     

    Douce telle la soie

     

    Doit être sa peau nue

     

    Pour l'heureux homme

     

    A son étreinte du soir

     

    Mais moi je n'ai d'yeux le dimanche

     

    Que pour ses mains agiles

     

    Deux merveilles à voir

     

    Deux fleurs au bout de la branche

     

    Qu'elle agite, graciles

     

    Ma prunelle s'aimante

     

    A elles, ses mains

     

    Ces papillons gracieux

     

    Dans une gestuelle qui m'enchante

     

    Et je les retiens

     

    En futile conversation, amoureux...

     

    Participation n° 5 :

     

    jeu-no-36.JPG

    M ains, vous me comblez. A vous contempler, dans cette transparence, I l faut se résoudre au silence N on humaines vous êtes, fleurs vous semblez, S aule léger me rappelez   M ais, je le vois, E xistent ces doigts R acontant la beauté. V ers moi ils se balancent E t, gracieuse, cette présence I llumine les jours qui me restent. L umière de ma vie, en un geste L e Seigneur vous créa E t tendre merveille me donna

    Participation n° 6 :

     

    Jeu36P6--2-.jpg

    M__ ais qu'elles sont volubiles
    A__ nimées sont elles :
    I__ gnares , n'acceptant rien
    N__ on ! parlez pour moi ! la MUETTE !
    S__ oit ! sont comme les BRAILLE pour les non voyants !
    MES MAINS
    Les fées pourront elles quelque chose pour moi ! Les mains .

    Participation n° 7 :

     

    Mes mains n'ont plus 20 ans
    Mes mains n'ont plus 20 ans
    Elles sont gonflées tout le temps
    J'ai mes canaux carpiens
    Qui me donnent du chagrin
    Et puis sur le dessus
    Des ridules sont venues
    Plus une petite bosse
    Sinovie t'es une rosse
    Il faut les opérer
    Mais ça me fait trembler
    Il me faut du courage
    Affronter cet orage
    Alors pour les réconforter
    Celles dont je n' peux me passer
    A l'une je vais offrir
    Une alliance en sourire
    Et sur l'autre, pour rêver
    Un aigle, on va tatouer
    Mes mains seront à nouveau belles
    Comme quand j'étais une demoiselle

     

    Participation n° 8 :

     

    Elle avait la main leste ! Il ne fallait pas la frôler de trop près, encore moins avoir la main baladeuse ! Son aller-retour résonnait alors comme une porte qui claque, et sa claque portait.

    Tout le monde l’aimait dans le quartier. Elle donnait facilement un coup de main à l’un ou l’autre, après son travail. Elle prenait la main des enfants qui voulaient traverser et passait une main tendre dans les boucles blondes ou brunes. « Elle se fait la main » commentaient les commères. Avec les petits, souvent, elle parlait avec les mains et on entendait fuser les rires !

    Chacun s’accordait à dire qu’elle avait le cœur sur la main, et certains en profitaient. Elle le savait mais laissait faire, ayant trop souffert d’avoir été élevée par une femme qui avait une main de fer dans un gant de velours, et trop souvent la main lourde.

    Elle était petite main et avait la main sûre, ce qui lui permettait d’arrondir ses fins de mois par les travaux de couture que les dames lui confiaient. C’est qu’elle n’ait pas un poil dans la main et elle vous cousait une robe – dont elle avait tracé le dessin à main levée – en un tour de main ! Ces réalisations faites main lui avaient fait une solide réputation et le succès était à portée de main…

    Puis arriva un beau gosse, mains trop blanches et sourire enjôleur. Il ne lui fallut pas une heure, montre en main, pour juger de ses chances qu’elle vienne lui manger dans la main. Il s’arrangea pour se trouver souvent sur sa route, puis pour l’aider à mettre la dernière main lorsqu’elle décorait la devanture de la fleuriste, arguant qu’il avait la main verte, il applaudissait des deux mains lorsqu’elle parlait de ses projets et balayait d’un revers de main les doutes qu’elle émettait. Il fit tant et si bien qu’on ne tarda pas à les voir passer main dans la main et que, très vite, il demanda sa main, genou en terre et la main sur le cœur. Elle dit oui, elle se sentait en de bonnes mains.

     

    Il avait désormais la haute main sur sa vie, qui ne tarda pas à devenir un enfer. Il fit main basse sur tout ce qu’elle possédait, pour jouer, prétendant qu’il avait la main heureuse et souvent de bonnes mains, jurant qu’un jour ils seraient riches, il en mettait sa main au feu. Elle, les mains liées, faisait vivre le ménage, s’attendant toujours à voir arriver des hommes de main venus réclamer leur dû. Elle se serait coupée la main plutôt que de se plaindre mais elle se tordait les mains de désespoir. Il n’aurait pourtant pas manqué de mains charitables pour l’aider.

    Jusqu’au jour où il leva la main sur elle quand elle refusa de mettre plus longtemps la main à la poche. Prenant son courage à deux mains, elle alla porter plainte et déposer une main courante. Il fut arrêté, il avait encore son sang sur les mains.

    Le regard mauvais et le sourire moqueur, il se laissa emmener. Elle apprit bientôt qu’il avait les mains sales, qu’il avait déjà puisé à pleines mains dans les économies d’autres femmes, qu’il avait même été pris la main dans le sac, lors d’un casse, avec d’autres voyous.

    Ainsi il avait mordu la main qui le nourrissait, il la laissait une main devant, une main derrière. La main lui démangeait de ne pouvoir lui rendre ses coups. Elle ne ferait pas des pieds et des mains pour le défendre et alléger sa peine. Elle s’en lavait les mains.

     

    Certes elle avait désormais les mains libres, mais plus de rêves et plus d’illusions : ils avaient changé de mains.

     

     

    Participation n° 9 :

     

    main dans la main,
    ils fredonnent un petit refrain
    une comptine
    sur les mimines
    la main du diable
    n'est pas louable
    mettons la main à la pâte
    ou

    la main au porte monnaie

    mais

     ne mordons pas la main qui nous nourrit

    jeu de main, jeu de vilain

    c'est celui qui le dit qui y est
    main invisible
    bonjour la surprise
    puis le refrain-
    menotte, patte,pogne,
    c'est la faute à la cigogne
    voilà le ptit prince
    serrons nous la pince
    ils gloussent de bonheur
    et reprennent en choeur
    voilà le ptit prince
    serrons nous la pince
    les passants sont enchantés
    en les regardant passer
    crénom
    main à plume vaut bien main à charrue
    crie l'père d'une voix bourrue
    les cinq doigts de la main ne sont pas égaux
    mais je leur tire mon chapeau

     

    main_o10.jpg

     

     

    Participation n° 10 :

     

     

    mains

     


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