En Sibérie orientale, un chirurgien soupçonné d'avoir volé une partie de l'héroïne avalée par un patient qu'il venait d'opérer a été interpellé par la police locale. Il s'était effectivement approprié une partie de l'héroïne prélevée dans l'estomac du patient. Et pire, au moment de l'arrestation était sous l'emprise de produits stupéfiants...

Source : rubrique Insolite du journal Sud-Ouest.

Cet homme sensé sauver des vies est en réalité sans scrupule et bien peu recommandable !

Mon ami Pascal m'a envoyé une coupure du journal Centre-France relatant la vie de Mauricia de Thiers "Les trois vies d'une femme accomplie".

Mauricia Bétant vivait à Thiers qu'elle n'avait jamais quitté. Tombant malade à 15 ans elle part chez une tante à Nîmes puis Nice. De retour en Auvergne elle se marie  avec un garçon de café du pays et part vivre avec lui à Nice.

Le mariage tourne mal, le mari voulait vivre de ses charmes. Elle le quitte et devient caissière dans un bar. Elle assiste à la représentation d'un spectacle très en vogue, "le looping the loop". Une jeune femme s'élançait à bord d'une petite voiture le long d'une rampe prolongée d'un tremplin qui lui faisait effectuer une boucle complète avant d'atterrir dans un filet.  Montée à Paris en 1900 Mauricia rencontre Alonso Perez bricoleur de génie, inventeur d'un bolide capable d'effectuer un looping à 20 m de haut. Mauricia devient le pilote de ce bolide. Ils passent à l'Olympia avec leur spectacle en 1904. Pendant 6 ans Mauricia de Thiers va se produire dans des cirques partout dans le Monde.

Après l'auto-bolide Mauricia a effectué des sauts périlleux à cheval puis est devenue la "femme bilboquet", propulsée dans un panier en osier.

En 1909 elle se lasse du cirque et essaie -sans succés- le théâtre.

Elle entame alors sa deuxième vie en s'éprenant d'un critique d'art, Gustave Coquiot, ami de nombreux peintres qui ont adoré le cirque : Toulouse-Lautrec, Chagall, Cézanne, Renoir, Degas, Seurat, Picasso, Utrillo.

A la mort de Coquiot, Mauricia vivra des amours tumultueuses avant de se retirer en Seine-et-Marne.

En 1944 les femmes obtiennent le droit de vote et celui d'être candidates à une élection. En 1945 Mauricia deviendra une des premières Française élue maire de sa commune et le restera pendant 19 ans, jusqu'à sa mort.

N'ayant jamais oublié son enfance de petite fille modeste à Thiers elle oeuvrera toujours pour les plus démunis.

Les hommes hésitent à se marier depuis qu'ils ont entendu Georges Brassens chanter la "non déclaration" : "J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main. Ne gravons pas nos noms aux bas d'un parchemin..."

A moins que Georges ait juste entériné un état de fait...

Au Paraguay, José Manuel Riella, 103 ans a fini par demander la main de Martina Lopez, 99 ans, avec qui il vivait depuis 80 ans. Ce couple de paysans s'est juré "un amour éternel" au cours d'une cérémonie religieuse en compagnie de ses 8 enfants, 50 petits-enfants, 35 arrière-petits-enfants et 20 arrière-arrière-petits-enfants.

Interrogation écrite : combien cela faisait-il d'oreilles si l'on estime qu'ils n'ont invité que la famille proche ? Si vous me répondez "230" vous savez compter mais vous avez oublié les conjoints...

Moins drôle : José était assis dans un fauteuil roulant tandis que Martina portait une longue robe blanche...

Ne me demandez rien sur leur nuit de noces...  Je ne sais que ce que j'ai lu dans la rubrique "Insolite du journal Sud-Ouest...

J'ai entendu parler de cet asinobus à la télévision. Ce sont des ânes qui accompagnent les enfants à l'école, portant leurs cartables.

Double avantage : cela crée des emplois pour les personnes en charge de ces ânes et cela réintroduit des animaux dans la ville. Sans compter la motivation supplémentaire pour les enfants ravis d'être ainsi accompagnés...

Les enfants de la ville de Louviers sont accompagnés depuis la rentrée scolaire sur le chemin par des ânes. Ceci s’appelle l’asinobus, une variante animalière du pédibus.

Photo prise sur le site : http://www.wmaker.net/blocnotes/L-asinobus-a-fait-ses-premiers-pas_a273.html

Cora du blog "Créacora" a organisé un jeu "Raconte moi un rêve" dont je vous ai parlé, et auquel vous pouvez participer jusqu'au 10 novembre 2013..

Hier soir j’ai regardé « Volt, star malgré lui », un film d’animation produit par les Studios Disney. C’est l’histoire de Volt, un petit chien vedette d’une série télévisée à succès, qui n’est jamais sorti des studios. Il se croit doué de superpouvoirs  et  ne vit que pour les câlins de Penny, la petite fille qui joue dans la série avec lui. Jusqu’au jour où, croyant que Penny a été enlevée,  il s’enfuit des  studios et part à sa recherche.  Il s’égare dans les rues de New-York et rencontre sur sa route une petite chatte noire et un hamster…

Moi qui n’aime pas les dessins animés j’ai regardé avec beaucoup de plaisir ce film d’animation.

Dans la nuit, j’ai fait un rêve étrange.

Dans les arbres le long du jardin, à l’arrière de ma maison, un gentil  écureuil s’amusait dans les branches. Ce n’était pas un écureuil roux mais un écureuil spécial avec une grosse noisette serrée entre ses pattes de devant. J’ai reconnu l’écureuil solaire offert par mon aminaute Hugues il y a quelques mois, qui trône sur ma hotte dans la cuisine. Je n’ai pas été la seule à le repérer.

Mes deux chats, Ecureuille et Squirel, se sont lancés à sa poursuite, grimpant aussi haut que lui dans les chênes et sautant de branches en branches. De vrais écureuils aussi agiles que celui qu’ils poursuivaient… Je ne savais comment les empêcher de s’attaquer au gentil écureuil. Peut-être cherchaient-ils seulement à le rattraper pour le ramener à sa place, dans la cuisine…

Je ne le saurais pas car je me suis réveillée. Et l’écureuil solaire est sagement à sa place…