Ma collection d'orchidées vandas a passé l'été dehors. Je les ai rentrées début octobre dans la véranda. Plusieurs d'entre elles émettent des pousses porteuses de fleurs.

Trois ont déjà abondamment refleuri : la vanda jaune, une des vandas bleues à petites fleurs et une vanda à petittes fleurs rouges:

Je vous ai déjà parlé de mes orchidées vandas ("Wanda vanda, l'orchidée", "Mes deux nouvelles orchidées vandas", "Le cadeau de la fête des mères", "Petit bonheur : la seconde floraison d'une orchidée vanda", "Nouvelle floraison de mes vandas", "Trois vandas en fleurs").

J'ai lu cette information étonnante dans la rubrique "Insolite" du journal Sud-Ouest.

Un voleur de petites culottes a été appréhendé par le mari d'une de ses victimes, excédé par ces larcins. En un an, il avait volé 70 culottes mises à sécher sur l'étendoir de la terrasse.

Le voleur âgé de 35 ans se servait depuis un an la nuit sur les fils à linge, dans la région de Châtellerault (Vienne). Il était jusqu'alors inconnu de la police...

Je trouve que les victimes ont été très patientes.

La propriétaire des 70 culottes volées avait soit une belle collection soit un compte bancaire bien garni pour renouveler son stock de sous-vêtements en permanence... L'histoire ne dit pas s'il s'agissait de strings, tangas, boxers, culottes bateau, en dentelle ou bien en coton...

Mon cher Squirel, en se promenant sur mon clavier, a actionné des touches raccourci et la page que je lisais sur mon portable s'est retrouvée inversée.

A la place de la disposition normale, haut de la page en haut de l'écran :

la page a viré dans le sens contraire des aiguilles d'une montre :

Bien sûr j'ai pesté contre le chat. A cause de lui j'allais attraper un torticolis.

Si je penchais l'ordinateur sur le côté je verrais l'écran correctement mais pour voir les touches sur le clavier j'allais devoir me tordre la tête...

J'ai tapoté les touches au hasard pour essayer de reproduire la combinaison actionnée par les pattounes de Squirel.

Aucun effet...

Alors j'ai appelé un ami. Ou plutôt mon fils Aurélien, le roi de la débrouille.

Il avait la solution toute simple : appuyer sur la touche "Alt Gr" et une flêche de direction. J'ai appuyé sur "Alt Gr" et la flêche qui descend. C'est devenu pire : le haut de la page s'est retrouvé en bas de l'écran mais j'avais compris.

En appuyant sur "Alt Gr" et la flêche qui va vers la droite, tout est revenu dans l'ordre.

Si vous avez un chat essayez de vous rappeler de ces touches miracle : ça pourrait vous servir un

Cette fois c'est moi, Squirel chat colleretté depuis 4 mois qui vais bloguer.

1) Je lui pique son ordinateur en m'installant sur le clavier. C'est chaud et j'y suis bien

2) J'appuie discrètement sur les touches. Je vais semer la panique à l'écran...

3) Je ne la laisse plus approcher. Je fais semblant de dormir : elle me laissera tranquille.

Ses fils m'appellent "le dépressif" depuis que je me gratte.

Et elle, elle m'a crié dessus, très en colère parce que j'ai trempé mes pattes dans sa palette, puis me suis promené sur ses aquarelles en cours, laissant de jolies traces vertes. Elle n'a pas apprécié mais franchement je les ai embellies ces feuilles de papier...

Parfois elle me regarde et elle peint des étendues d'eau. Je suis pourtant un modèle parfait...

J'ai vu hier à la télé une présentation des radiateurs numériques et l'idée m'a emballée. J'en ai appris plus en cherchant sur le net.

Paul Benoit, ingénieur X Télécom a cherché à réduire les nuisances générées par les ordinateurs qui chauffent lorsqu'ils fonctionnent. Il faut alors dépenser beaucoup d'argent pour les refroidir.

Il a trouvé un moyen intelligent d'utiliser cette chaleur tout en réduisant les coûts des fermes d'ordinateurs (appelées «data centers») en inventant le Q.rad, un radiateur numérique, commercialisé par sa société Qarnot computing.

Les résistances de ce radiateur sont remplacées par des ordinateurs réduits à leur plus simple expression, c’est-à-dire essentiellement des processeurs capables d’effectuer des calculs. L’utilisateur branche le radiateur sur une prise Internet et règle le thermostat à la température souhaitée. Qarnot computing envoie des calculs à effectuer pour atteindre puis maintenir cette température. Et règle la facture d'électricité à la place de l'utilisateur du radiateur.

La société vend cette puissance de traitement à des entreprises : PME, centres de recherche, Universités, cabinets d'architectes, petits studios d'animation ou toute autre structure, à des tarifs quatre fois moins élevés que les "data-centers" (fermes d'ordinateurs) car pas besoin de locaux à construire et maintenir ni coûts de refroidissement

Un immeuble HLM parisien, rue Balard, a commencé à en être équipé. Deux radiateurs numériques ont été installés dans un deux-pièces et 100 autres appartements de cet H.L.M. devraient être équipés de Q.rad d'ici la fin de l'année, permettant aux locataires de se chauffer gratuitement.

Le Q.rad est également en test dans les locaux de l’Institut Télécom Paris.