• Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Pour ce 135ème Café Thé, je vous ai proposé de "broder" autour de cette phrase de Winston Churchill :

     

    "Agissez comme s'il était impossible d'échouer.",

     

    ou du thème : Croire en soi

     

     

    Avez vous déjà eu l'occasion de rebondir suite à un incident, un obstacle ou un problème ? Si oui, racontez le nous ; si non, vous pouvez imaginer une telle situation.

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 août 2021)

     

     

     

    Vous êtes 5 à avoir participé (Jill Bill, Rose, Cricket, Livia et Colette).

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous et toutes !

     

    Voici les 5 participations :

     

     

     

    "Croire en soi" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

     

    Croire en soi

    Avoir cette foi

    Cette force d'esprit

    Comme si

    Rien d'impossible

    Viser la cible

    La toucher en plein coeur

    Loi des vainqueurs...

     

    Facile...

    Non sieur Churchill

    Pour qui est dans le doute

    La peur de faire fausse route...

     

    N'est pas fonceur qui veut,

     Ce mentaliste d'acier

    Que rien ne plie, mais,

    Les pensées négatives vous échoueront,

    Bel et bien comme un Titanic...

     

    Croire en soi

    Est la moitié du travail de sa réussite

    « Pascal Margraff »

     

    Croire en soi

    C'est vivre haut

    « Damien Bouissou »

     

    A force de ne pas croire en soi

    On finit par être là sans être...

    Demain, c'est décidé !!

    J'ouvre ma petite boutique... !

    "Croire en soi" de Rose du blog : "Golondrina 63" :

    Athée je le suis

     Mais je crois en moi

     Croire en soi

     C'est mieux pour avancer 

    Dans la vie 

    Lorsqu'un obstacle surgit

     Lorsque des ondes négatives rodent

     Le croire en soi est plus fort

     Réaliser que l'on existe 

    À notre juste valeur

     C'est barrer la route

     Aux perturbateurs 

    C'est savoir dire non

     Aux infidèles 

    Croire en soi

    C'est la sérénité 

    Croire en soi

    C'est la porte ouverte

     À l'indépendance

    Avec juste mon petit diplôme de sténo dactylo correspondancière 

    À la grande stupéfaction de certain(e)s imbu(e)s 

    J'ai réussi à tenir un poste 

    Gestionnaire administrative

    Grâce à ma capacité d'adaptation 

    Ayant travaillé dans différents services 

    J'ai relevé le défi 

    Oui j'ai cru en moi 

    Et surtout j'ai fait la pige à tous les "moi Je"

    "Croire en soi" de Christelle du blog : "Chez Cricket" :

    Croire en soi

    Churchill : « Agissez comme s’il était impossible d’échouer ! »

     

    AGISSEZ = AJC

    Acquérir

    Joie -

    Croire

                  Je me sens comme une baleine échouée sur la terre , un oiseau perdu dans la mer, une femme dans l’espace (ah oui, c’est possible ?) bon alors dans la mer (ah ça aussi c’est possible ?), et dans le ciel, c’est possible ? (bien sûr ! en avion, hélicoptère, aéronef, parachute …) .

    Pour l’homme et la femme tout est possible ? On ne peut jamais échouer ?

    Ah mais vous avez dit échouer ou s’échouer ?

    Echouer.

    Zut ! Quelle différence de sens ! Atterrir  dans un endroit incongru, qui n’a aucun sens pour nous n’est-ce pas échouer pourtant ? Ne pas être là où il faudrait pour se sentir bien, à sa place ?

    Ne faut-il pas être sur le chemin qui nous permettra d’acquérir une joie nouvelle, de croire vraiment à notre destin ?

    Alors, quoi ?

    Comment faire pour agir comme s’il était impossible d’échouer ?

    La recette SVP !

    • Prendre un grand bol d’air (car déjà si on oublie de respirer.. on a échoué !),
    • Se concentrer sur ce que l’on veut réussir. (Faire un panier au basket ? Remplir la page blanche dans cette matière que vous détestez pourtant ? Etre à l’aise, détendue et pleine d’humour comme vous l’êtes en temps normal et non pétrifiée par un entretien d’embauche ? …).

               Sentir monter l’adrénaline, le besoin d’y arriver, la volonté de se surpasser et y aller, se lancer sans regarder derrière soi, se dire que quelle que soit l’action c’est toujours comme un saut à l’élastique, une fois lancé on ne peut revenir en arrière le tout étant de sauter le pas ! Sauter dans le vide !

    Tout bonnement se faire confiance, croire en soi,  foncer, même vers l’inconnu, sans appréhension, avec joie, en se disant que l’on est capable de faire ce qui nous est demandé, d’assumer des choix.

    Et après ? Si on échoue malgré tout ?

    « Comme s’il était impossible d’échouer » ne veut pas dire qu’il est impossible d’échouer donc on se sera donné les moyens pour essayer de faire que cela soit possible et si tel n’est pas le cas la fois suivante on aura moins peur et on essaiera parce-que la vie est ainsi faite et qu’il faut, sans cesse, se faire confiance pour avancer.

    "Croire en soi" de Livia du blog : "Livia augustae

    C'était par une nuit noire, une nuit effrayante, pas un souffle ne remuait les feuilles des arbres, l'air nous avait quitté, happé par le cyclone qui se gonflait au dessus de la mer.

    Nous étions blottis sur un coin de galerie face à la nature hostile et étions suspendus à la radio qui marchait toujours et donnait tout les quart d'heure, l'avancée implacable de cet entonnoir renversé et frémissions chaque fois que l'on donnait la force des vents contenu dans le ventre du monstre. Il était paraît-il de force 3, les deniers relevés donnaient 220km à l'heure...comment pourrons-nous faire face à cette violence là ?

    Puis brusquement, le vent arriva, les arbres se tordirent sous ses doigts d'acier tandis que les murs de la maison gémirent sous ses coup de bélier.

    Des débris commencèrent à voltiger pour venir cogner partout, l'électricité fut coupé, des poteaux avaient du être broyer, la radio cessa d'émettre...il fallait rentrer à l'abri.

    Toute la nuit entre hurlements , bruits de chutes et heurts d'une violence inouïe , nous restâmes éveillés, on essuyait l'eau qui s'infiltrait dans la maison par le moindre petit orifice qu'elle trouvait et plus on essuyait et plus il y en avait, nous pataugions dans un brouet infâmes fait de feuilles qui avait, aurait-on dit été passées à la moulinette, il y avait aussi des insectes écrabouillés qui nous arrivaient de loin et que l'on n'avait jamais vu chez nous (par la suite, nous les avons baptisées ces insectes «cigales », mais rien à voir avec le chant si agréable des cigales du Midi de la France,  là c'était carrément du vacarme).

    Enfin sous un ciel toujours cendreux, le jour se leva péniblement, on aurait dit qu'il ankylosé par la violence de la nuit  et faisait de gros efforts, la pluie tombait encore par gros paquet, parfois une rafales de vent retardataire secouait ce qui restait des feuilles, estimant sans doute qu'il ne fallait rien laisser.

    Nous avons décidé de prendre un petit déjeuner, nous avons chauffé l'eau du café sur un réchaud de camping et avalé quelques tartines, beurrées avec un beurre presque liquide et puis nous  sommes sortis pour évaluer les dégâts!

    Il fallut s'armer de courage et croire en soi, tout était casser, on avait l'impression que durant la nuit le jardin avait été bombardé, il n'y avait plus une feuille sur les arbres, les haies avaient été arrachées, à leur place il n'y avait que des trous énormes laissés par les racines des plantes.

    Alors, comme le disait Monsieur Chruchill : «Agissez comme s'il était impossible d'échouer », toute la famille se mit à l'ouvrage pour redonner un semblant d'ordre dans cette nature blessée et  dévastée.

    "Croire en soi" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

    Crois-en toi. 

    À tout prix, 

    crois-en toi  

    et sois fier(e) de toi. 

    Absolument, 

    Crois-en toi  

    et aie une bonne image  

    de toi. 

    À toute force,  

    crois-en toi  

    et sois celle ou celui  

    qui te comble de joie. 

    Coûte que coûte,  

    crois-en toi  

    car c’est le plus beau présent  

    que tu te fais. 

    Si tu crois en toi,  

    tes efforts seront couronnés  

    et en tes mains tu tiendras  

    la clef de la réussite.  


    15 commentaires
  • Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Logo créé par Renée du blog "Envie de"

    Pour ce 135ème Café Thé, je vous propose de "broder" autour de cette phrase de Winston Churchill :

     

    "Agissez comme s'il était impossible d'échouer.",

     

    ou du thème : Croire en soi

     

     

    Avez vous déjà eu l'occasion de rebondir suite à un incident, un obstacle ou un problème ? Si oui, racontez le nous ; si non, vous pouvez imaginer une telle situation.

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 août 2021)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 31 juillet 2021 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !


    8 commentaires
  • Pour ce 134ème Café Thé, je vous ai proposé de délirer autour de cette photo d'oiseaux en vol, sur le Bassin d'Arcachon,

    de broder autour de cette photo, en nous racontant un rêve où vous vous êtes imaginé(e) en train de voler

    ou bien un voyage en avion

    ou un voyage tout court...

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 juillet 2021)

     

     

    Vous êtes 7 à avoir participé (Jill Bill, Jean-Luc, Rose, Renée, Cricket, Colette et Livia).

     

    et je vous en remercie.

     

     

    Bravo à tous et toutes !

     

    Voici les 7 participations :

     

     

    "Vol pour la mer" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

     

    Au camping les flots bleus

    Nous irons et ron et ron petit patapon

    A vol d'oiseau

    Dans quelques heures ma famille Aigrette y sera...

     

    De la mare à la mer

    Jolies colonies de vacances

    Merci papa, merci maman...

     

    Moi Garzette,

    Dernière née je vole, en queue de file,

    Je questionne ma mère

    C'est encore loin la mer.... ?

     

    Dès que nous croiserons les Mouette petite !

     

    Puis, enfin...

    Une Mouette, deux Mouette, trois Mouette,

    Et les flots bleus !

     

    Sur une piste de joncs

    Je vais atterrir

    Sous le regard attentif de mes parents...

     

    De la mare à la mer

    Changement de terre,

    La famille Aigrette débarque

    Loin de sa barque...

     

    Au revoir les Grenouille,

    Bonjour les Mouette pour voisins...

     

     

    "Il était une fois" de Jean-Luc du blog "Les voyages de Sylvie

    et Jean-Luc" :

     

    Un des  oiseaux au sol  dit à l’autre, « Il était une fois » à Arcachon sur le bassin, j’ai encore rêvé d’ailes, et  ils se prennent pour un avion sans ailes, comme dirait « Charlélie Couture », et l’autre oiseau de répondre « ça plane pour (moi) eux », hou hou, ding, ding, dong.

    Sinon plus sérieusement ceux qui volent, on voit la  différence entre celui qui décolle, et celui qui va atterrir (à gauche), il a sorti son train d’atterrissage.
     

    "Voyager" de Rose du blog : "Golondrina 63" :

     

     

    Voyager

     

    C'est d'abord dans ma tête

     Tête bien  pensante

     Envie de bouger

     Envie de voler

    Ah si j'avais des ailes 

    Voir la vie évoluer autrement

     Le voyage est à tous âges

     Une évasion 

    Poser ses valises 

    Courir sur le sable fin

     Se sentir libre 

    Rencontrer le monde

     Ou tout simplement

     Prendre par la main 

    Sa vie autrement

     Et savoir se satisfaire

     De son petit coin de paradis

     Savoir diriger son navire 
    Vers d'autres rivages

    Rivages immobiles 

    Voyager dans sa tête

     C'est s'enrichir des photos, des histoires  de nos grands voyageurs

     Et pour cela souvent

    Je voyage  dans les livres 

    Savoir apprendre à se réinventer

    Chaque jour pour avoir l'illusion de ce que nous sommes

    Et non de ce que la société veut que l'on soit

     

     

    "Voler oui mais dans un oiseau de fer" de Renée du blog : "Envie de" :

     

     

     

    Voler oui mais dans un oiseau de fer.

    21Hoo un soir de septembre 81 Athènes.  

    Nous partons pour l’aéroport anxieuses devant ce voyage qui nous attend. Voyage long courrier puisque nous embarquons pour l’Australie, Melbourne plus précisément pour 3 mois minimum. Le vol décolle comme prévu à 00H15. Nous admirons Athènes puis la Grèce qui s’éloigne par les hublots, c’est beau de survoler une ville la nuit.  

    Nous sommes placés en queue c’est un peu bruyant, mais l’atmosphère est détendue, festive même. On se parle d’un siège à l’autre on fait connaissance. Dès l’altitude de croisière atteinte, le repas nous est servi, après de la musique fuse, des rires éclatent, une bouteille de raki circule les crétois sont bien décidés à s’amuser. Ils nous servent un verre puis deux. Un homme se lève danse, nous tend la main et nous fait incite à danser avec lui. Ce que nous faisons, nous voilà en pleine fête à la queue de ce 747 a plus de 30.000 pieds (10 KM !  

    Les hôtesses nous laissent faire un moment puis viennent remettre de l’ordre, il est temps de dormir car le voyage est encore long. 

    Deux escales, une sans possibilité de sortir de l’avion (à Bahreïn sauf erreur) et une à Bangkok de 1H30 le lendemain (vers midi heure Grecque) Quels moments magique de voir le jour se lever, la nuit tomber puis le soleil revenir de si haut…Visitez aussi l'étage qui avait un bar. 

    Nous nous sommes enfin posés à 5H30 du matin à Melbourne. 

    Mes aïeux, quel voyage !  

    Rassurez-vous le retour (après 9 mois en définitive) ce fit dans le calme. Avion presque vide nous avons-donc, pu nous coucher sur les 6 sièges centraux et dormir, presque tout le long.  

    P.S le cliché n'est pas de ce voyage.

    Ce voyage s'est fait avec mon amie pour un contrat en Australie

     

    "La mouette" de Christelle du blog : "Chez Cricket" :

     

     

    Ah si j’étais une mouette je pourrais planer haut dans le ciel pour admirer les paysages et me poser au faîtes des maisons pour tout observer.

    La vie serait facile : je profiterai des courants d’air ascendants pour ne pas me fatiguer.

    J’irai attraper au vol les poissons que les matelots rejettent en mer : un vrai régal et un super amusement.

    Je me reposerai sur les plages de sable fin en bord de mer, seul ou avec quelques

    congénères.

    Je serais libre de voler où bon me semble : la belle vie !

     

     

    "Aller-retour" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

     

    Aller-retour

     

    Bleu bleu tout est bleu, 

    de beaux oiseaux blancs, 

    dans le ciel tout bleu. 

    Brume légère, 

    de la mer au ciel, 

    du ciel à la mer. 

    Parcours du voyage, 

    en aller-retour, 

    qu’à chacun son tour. 

    Becquée des parents, 

    d’leur faim assouvie ; 

    petits tout gentils. 

    Un rêve éveillé, 

    tout comme eux d’aller, 

    jusqu’à satiété. 

    À ceux qui ont faim, 

    donner sans compter, 

    puis recommencer. 

    Dans le ciel tout bleu, 

    d’ces beaux oiseaux blancs, 

    bleu, bleu, tout est bleu. 

     

     

    "Voler" de Livia du blog : "Livia augustae

     

     

    C'est un beau jour, un jour tout bleu, là-bas, de l'autre côté de l'eau, les maisons blanches émergent au travers d'une brume légère et aérienne tandis  qu'au dessus de l'eau, les oiseaux en un gracieux ballet, s'élèvent et tournoient dans le ciel, ivres de bonheur au soleil retrouvé.  

    Assise sur le rivage, j'admire leurs belles arabesques en rêvant... j'ai en mon fort une grande envie de voler moi aussi. Ce serait merveilleux de pouvoir aller de ci de là, dans un frou-frou de plumes en me laissant porter par le vent... Mais hélas ! J'ai les pieds enfoncés dans le sable !

    Là-haut le ballet continue, certains se posent parfois dans les grandes herbes pour rejoindre leur nid et donner la becquée à leur petits, car lors de leurs élégants plongeons,  ils ressortent toujours, avec un petit poisson frétillant dans le bec.

    Pour essayer de les imiter, les hommes ont inventé des machines, des ULM, comme on les appelle, mais bien que ces petits engins possèdent des ailes, et que l'on peut voler là-dessus, ils ont malheureusement aussi un moteur qui ronronne...   le charme n'agit pas et le vol n'a pas la grâce des oiseaux que j'admire en ce moment !

    Icare fut le seul homme à voler avec des ailes en plumes, mais il mourut en retombant sur terre,  les ailes brûlées par le soleil !


    12 commentaires
  • Pour ce 134ème Café Thé, je vous propose de délirer autour de cette photo d'oiseaux en vol, sur le Bassin d'Arcachon :

    Brodez autour de cette photo, en nous racontant un rêve où vous vous êtes imaginé(e) en train de voler

    ou bien un voyage en avion

    ou un voyage tout court...

     

    Les consignes : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant la parution des participations (le 2 juillet 2021)

     

     

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation 

    avant le 30 juin 2021 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !


    6 commentaires
  • Pour ce 133ème Café Thé, je vous ai proposé de "broder" autour de cette phrase de Pierre de Coubertin :

    "Chaque difficulté rencontrée doit être l'occasion d'un nouveau progrès."

     

     

    Avez vous déjà eu l'occasion de rebondir suite à un incident, un obstacle ou un problème ? Si oui, racontez le nous ; si non, vous pouvez imaginer une telle situation.

    Les consignes étaient : Ecrivez, fabulez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

     

     

    Vous êtes 5 à avoir participé (Jill Bill, Rose, Renée, Colette et Livia).

     

    et je vous en remercie.

     

    Bravo à tous et toutes !

     

    Voici les 5 participations :

     

     

    "Le chemin de la vie" de Jill Bill du blog "Melting-pot" :

     

    La vie

    C'est comme un môme qui tombe de bicyclette

    Genou écorché, ecchymose, larmes

    Il peste, n'en veut plus

    En veut à la terre entière, mais, remonte dessus...

     

    La vie

    C'est du sport

    Avancer, chuter, se relever...

    La vie

    Ne va pas sans efforts

    Pour exister...

     

    Un écueil doit nous enrichir

    Maîtriser les choses

    Aider à tenir debout, à faire des projets...

     

    Un deuil, aussi cruel soit-il,

    Jauge le courage

     

    La maladie

    Celle du combat

     

    La pauvreté

    Celle de la débrouillardise

     

    Alors oui, chaque obstacle rencontré

    Doit donner l'occasion d'un nouveau progrès, d'une fierté...

     

    Certes, la vie n'est pas toute rose,

    Sachons être ce lierre qui s'accroche à la pierre

    A un tronc

    Et s'élève jour après jour...

    "Rebondir" de Rose du blog : "Golondrina 63" :

    Sur une partition

    Toujours faire rebondir

     La note bonheur
    Note joie


    Le bonheur

    Parfois volatile

     Tel l'oiseau libre de s'envoler

    À tire-d'aile 

    Mais aussi volubile
    Quand il se pose sur une tige frêle
     

    Il a le bon rôle

     Le bonheur
    Savoir frapper et rebondir

    Rien de tel que de s'approprier 

    Cette fameuse note 

    Souhaitons que j'arrive à la faire rebondir 

    Dans vos coeurs...

     

    "Rebondissons" de Renée du blog : "Envie de" :

    Alors rebondissons puisque Brigitte le souhaite, ou du moins elle souhaite savoir comment on a fait ce rebondissement. 

    C’était je crois hier qu’encore en com je lui ai dit ne pas croire faire le défi parce qu’aucune idée ne venait. Parler des ennuis et du comment je m’en suis sortie n’a guère d’intérêt, c’est du passé qu’il ne faut pas oublier, certes mais, du passé.  

    Le rebondissement a eu lieu tant mieux. 

    En même temps c’est quand même être *dégonflé* alors qu’on a surmonter des difficultés plus importantes dans la vie, qu’un simple texte non ? 

    Donc il s’agit bien là d’un rebondissement avec ce simple texte qui, en soi ne livre rien mais, qui a l’avantage de me permettre de remettre ma participation à Brigitte pour ce 133ème café/thé. 

    Cela s'appelle aussi, se sortir d'un mauvais pas avec une pirouette. 

    Et voilà.

     

     

    "Un mal pour un bien" de Colette du blog : "En toute simplicité" :

     

    Nous avons toutes et tous une ligne de vie que personne ne peut vraiment réaliser pour nous. Parfois, une contrainte peut nous conduire là où nous ne voudrions pas du tout aller ou bien, c’est le contraire qui se présente. Nous voudrions bien faire quelque chose, participer, mais les circonstances font qu’on ne veut absolument pas nous y conduire, et ce, pas du tout. C’est à ce moment précis, que je peux intervenir dans ma façon d’accepter ces contraintes de la vie. 

    "Chaque difficulté rencontrée doit être l'occasion d'un nouveau progrès." 

    Bien évidemment, je peux me considérer comme martyr(e) ; c’est souvent notre première réaction malheureusement, mais aussi, je peux avoir une deuxième réaction et rebondir, de manière à ce que tout se transforme en témoignage d’amour, et faire de cette contrainte une petite ou une grande victoire.  

    Ce que je vais vous raconter, remonte au temps de mes études secondaires. J’ai alors subi l’influence négative de ma titulaire de classe, en fonction, cette année-là ! Je n’y étais pas sympathique et vice versa. Toujours est-il qu’elle m’avait souhaité, devant toute la classe, de manquer mes examens de fin d’année. Là aurait été le moment de rebondir, et de ne pas me sentir victime. Ce que je n’ai pas fait, à ce moment précis, résultat : j’ai eu échec dans une matière. De plus que cette enseignante m’avertit à la réception de mon résultat négatif que je pouvais me reprendre, au cours de l’été, mais qu’elle partait en vacances pour tout l’été et que je devais réviser moi-même la matière.  

     Mon rebondissement se fit, une fois ce fait accompli. Une force s’empara de moi. Ma révision, je l’ai faite avec la titulaire de même niveau de la paroisse voisine. Mon but était de réussir bien au-delà de ses prédictions, de manière à la surprendre honorablement. C’est évidemment ce qui arriva. C’était ma revanche. 

    À la réception de ma note de reprise, elle était de retour, et c’est la tête haute que je reçus d’elle, ma feuille en me réjouissant de son sourire un peu de travers ; ce qui m’a fait rebondir encore davantage. À partir de cette expérience, il en fut ainsi de tous mes problèmes rencontrés mais là, dès ma première réaction. Ce fut alors pour moi, un mal pour un bien. 

     

    "Rebondir" de Livia du blog : "Livia augustae

     

    Les difficultés sont monnaie courante, tout le monde connaît.

    Mais rebondir et en faire un nouveau progrès, c'est une autre histoire !

    Et pourtant, tout un chacun peut le faire.

    C'était un soir de ce joli mai – comme on se plaît à le nommer – un soir gris, pluvieux et presque froid, j'avais pris une ruelle un peu sombre mais qui était un raccourci pour rentrer chez moi, courbée contre le vent qui voulait me l'arracher, je m'accrochais à mon parapluie, quand soudain me parvinrent des hurlements, des cris, des coups de sifflets... d'instinct, je  m'arrêtais.

    Une galopade se fit entendre et la ruelle dans laquelle je me trouvais fut envahie par une horde de racaille fuyant la police, j'essayais de me faufiler sous un porche.

    J'étais tétanisée, qu'allait-il m'arriver ?

    J'espérais que les policiers arriveraient vite, afin que je puisse rentrer chez moi sans encombres et surtout sans bobos !

    Mais deux types à la mine patibulaire me repérèrent et se dirigèrent vers la porte où je me blottissais, mon cœur battait à tout rompre, j'avais envie de courir, mais mes jambes ne me portaient plus, j'avais l'impression d'être enracinée au sol... ils s'approchèrent et me demandèrent sans rire de leur « filer mon sac », je ne pouvais toujours pas bouger et les regardais comme hébétée, une gifle monumentale me fit ribouldinguer la tête, alors là, prise d'une rage froide, je balançais mon sac à provision plein de boites de conserve dans la tronche du gifleur. Il ouvrit de grands yeux et tomba la tête la première, le second un peu interloqué fit quelques pas en  arrière, devant la furie hurlante que j'étais devenue... cependant la surprise ne jouant plus, il ne se laisserait pas faire, heureusement, deux policiers attirés par mes hurlements se précipitèrent et empoignèrent celui qui était debout.

    L'autre quidam qui se réveillait doucement en essayant de se remettre sur pied, fut cueilli aussi.

    Cependant, je n'étais pas sorti de l'auberge, il fallut que je raconte aux policiers ce qui c'était passé, c'est alors que mes tremblements reprirent, je tournais de l'œil et tombais à mon tour la tête la première !

    Je me réveillais dans une ambulance qui m'amenait à l'hôpital, tandis qu'un infirmier prenait ma tension, je m'avisais alors que j'étais couverte de sang et qu'une  énorme migraine me serrait le crâne, l'infirmier m'expliqua que j'allais être gardé en observation pour la nuit, car je m'étais blessée dans ma chute et ma tête avait heurtée le trottoir, il fallait faire des radios pour être sûr que tout allait bien.

    Le lendemain, le médecin m'annonça que ce n'était pas trop grave, mais que j'avais le nez cassé, ce qui avait entraîné un œdème qui me défigurait, il me faudrait donc du repos me dit-il.

    Finalement je ne me sortais pas trop mal de cette nuit de cauchemar, j'avais pu rebondir pour me tirer de ce mauvais pas et la police grâce à ma présence d'esprit, avait arrêté deux dangereux individus qu'elle recherchait depuis longtemps déjà !


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