• Je viens de terminer un nouveau châle au crochet, avec un fil très agréable à crocheter : Copito de Lanas Stop (80% acrylique, 20% nylon).

    Ce fil blanc est légèrement chiné avec des couleurs pastel.

    Je crois que c'est le plus beau de ma collection.

    Le point utilisé est une variante du point "ananas"...

     

    Mon plus beau châle, blanc au point "ananas"...
    Mon plus beau châle, blanc au point "ananas"...
    Mon plus beau châle, blanc au point "ananas"...
    Mon plus beau châle, blanc au point "ananas"...
    Mon plus beau châle, blanc au point "ananas"...
    Mon plus beau châle, blanc au point "ananas"...

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  • Ce jour-là, en janvier 2018, je me baladais au bord du Bassin d'Arcachon et j'ai aperçu au loin un rassemblement d'oiseaux. J'ai pensé qu'il s'agissait de mouettes, mais en reprenant les photos, et les agrandissant je n'en suis plus du tout sûre...

    Il y avait sans doute des mouettes mais aussi d'autres oiseaux avec de grands becs fins et un plumage sombre, comme les limicoles... Peut-être des chevaliers gambettes ?

    J'aurais dû prendre plus de photos...

    Rassemblement d'oiseaux, au bord du Bassin d'Arcachon...
    Rassemblement d'oiseaux, au bord du Bassin d'Arcachon...
    Rassemblement d'oiseaux, au bord du Bassin d'Arcachon...
    Rassemblement d'oiseaux, au bord du Bassin d'Arcachon...
    Rassemblement d'oiseaux, au bord du Bassin d'Arcachon...

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  • Photo prise en janvier 2018, de mon jardin

    Photo prise en janvier 2018, de mon jardin

    Certains soirs plus ensoleillés que d'autres

    Le chêne se découpe sur l'horizon.

    Majestueux, il occupe l'espace

    Se déploie, se déplie,

    Se prépare en silence

    A l'arrivée du printemps.

     

    Il prend tout son temps...


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  • J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération "Masse critique privilégiée", organisée par Babelio.

    Merci à Babelio et aux éditions de Mortagne qui m'ont permis de découvrir ce thriller.

     

     

    Informations pratiques : premier roman de Mickaël Koudero, paru aux éditions de Mortagne en mars 2018. 545 pages

     

    La 4ème de couverture :

    Le froid de novembre. 
    La neige et l’horreur. 
    En France, à Lyon, un homme est assassiné dans une église. Son dos a été tailladé, sa langue, coupée. À sept cents kilomètres de distance, sa fiancée est retrouvée pendue à un arbre. Un meurtre maquillé en suicide. 
    Très vite, le sang se répand jusqu’en Belgique. Dans un asile abandonné, on découvre le cadavre d’une femme entièrement nue, le visage arraché. Une folie sans nom. 
    Les meurtres s’enchaînent, et tous portent la signature d’un tueur en série libéré un an plus tôt, le Borgne. L’homme aurait-il repris du service ? Difficile à croire vu son âge avancé et son état de santé. 
    Non, la réalité est bien plus noire. 
    Laura, Milan et Adami, des policiers venus de tout horizon, vont rapidement le comprendre. « Nous ne sommes pas face à un tueur en série, mais à une série de tueurs. » Et ceux-ci se sont réunis en force, décidés à marquer les mémoires de leurs crimes pour entrer dans la postérité. 

     

     

     

    Mon ressenti :

    Laura, capitaine de police à Lyon, est chargée d'enquêter sur le meurtre d'un homme retrouvé dans une église. Le lieutenant Milan, de la Police Judiciaire de Dijon, ami d'enfance de la victime va la rejoindre.

     

    Les meurtres vont alors s'enchaîner entre la France et la Belgique.  Laura et Milan vont devenir les partenaires du commissaire belge Adami, pour traquer le ou les tueurs.

     

    J'ai aimé l'intrigue bien ficelée et l'écriture vive et rythmée, incisive, avec des phrases courtes pour rompre le récit, relancer le suspense.

     

    Je me suis sentie happée par ce récit, la recherche de celui qui se fait appeler "Erostrate".

     

    Les inspecteurs sont tous les trois attachants, rendus bien vivants. Cabossés par la vie et passionnés par leur travail.

    La fin est très réussie.

    Etonnant : ce livre est paru en 2015 sous le titre "Les enfants d'Erostrate" (comme l'attestent des critiques sur Babelio).

     


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  • Ce film de Claude Sautet, avec Michel Piccoli (Pierre), Romy Schneider (Hélène) , Léa Massari(Catherine) est sorti en 1970 et a presque 50 ans.

    Je l'ai revu hier soir, à la télévision, avec beaucoup de plaisir.

    Résumé :

    Au volant de sa voiture, Pierre, architecte d'une quarantaine d'années, est victime d'un accident de la route. Ejecté du véhicule, il gît inconscient sur l'herbe au bord de la route. Il se remémore son passé, sa vie avec Hélène, une jeune femme qu'il voulait quitter, sa femme Catherine et son fils...

     

    Mon ressenti :

    J'avais beaucoup aimé le livre de Paul Guimard il y a 50 ans, et le film qui en a été tiré, sorti en 1970 avec Michel Piccoli et Romy Schneider.

    Pierre a quitté sa femme Catherine et vit avec Hélène. Ils doivent partir vivre à Tunis tous les deux mais Pierre hésite. Son fils Bertrand lui demande de passer les vacances avec lui dans leur maison familiale de l'île de Ré pour faire du bateau.

    Hélène en a assez d'attendre qu'il se décide.

    Pierre part en pleine nuit vers Rennes. Il pleut, il s'endort, s'arrête à temps. Il écrit une lettre de rupture pour Hélène, puis quelques kilomètres plus loin lui envoie un télégramme pour lui demander de le rejoindre à Rennes.

    Il roule vite sur les petites routes de campagne pour rejoindre Rennes.

    Une bétaillère rouge cale à un stop. Un camion arrive en face. Pierre ne peut éviter la bétaillère puis le camion.

    Ejecté de la voiture il voit défiler sa vie. Il veut déchirer la lettre mais ne le peut.

    J'ai revu avec plaisir ces acteurs  que j'aimais beaucoup, mais aussi les cabines téléphoniques en bois, dans les bars ou à la Poste, les voitures de l'époque : DS et 4 chevaux "pot de yaourt".

    J'aime aussi la musique de Philippe Sarde.

    C'est une évocation très réaliste de la fragilité de la vie. L'accident filmé sous tous les angles revient en leitmotiv dans le film.

     


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