• Je vous propose de résoudre cette petite énigme trouvée sur la page "Jeux" du journal Sud-Ouest.

     

     

    Un monstre hante les eaux d'un lac.

    ll mesure 15 mètres plus la moitié de sa longueur.

    Combien mesure t'il ?

     

     

    Laissez vos réponses avec les explications en commentaire.

    Vos commentaires n'apparaîtront pas, ce vendredi 16 mars 2018, tant que je ne les aurais pas validés. 

     

    La solution : demain...


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  • J'ai découvert ce conte sur la résilience (capacité à sortir grandi des traumatismes et situations difficiles) sur le site positivr.fr.

     

    « Un jour, je me suis avoué vaincu… J’ai renoncé à mon travail, à mes relations, à ma vie. Je suis alors allé dans la forêt pour parler avec un ancien que l’on disait très sage.

    – Pourrais-tu me donner une bonne raison de ne pas m’avouer vaincu ? Lui ai-je demandé.

    – Regarde autour de toi, me répondit-il, vois-tu la fougère et le bambou ?

    – Oui, répondis-je.

    – Lorsque j’ai semé les graines de la fougère et du bambou, j’en ai bien pris soin. La fougère grandit rapidement. Son vert brillant recouvrait le sol. Mais rien ne sortit des graines de bambou. Cependant, je n’ai pas renoncé au bambou.

    – La deuxième année, la fougère grandit et fut encore plus brillante et abondante, et de nouveau, rien ne poussa des graines de bambou. Mais je n’ai pas renoncé au bambou.

    – La troisième année, toujours rien ne sortit des graines de bambou. Mais je n’ai pas renoncé au bambou.

    – La quatrième année, de nouveau, rien ne sortit des graines de bambou. Mais je n’ai pas renoncé au bambou.

    – Lors de la cinquième année, une petite pousse de bambou sortit de la terre. En comparaison avec la fougère, elle avait l’air très petite et insignifiante.

    – La sixième année, le bambou grandit jusqu’à plus de 20 mètres de haut. Il avait passé cinq ans à fortifier ses racines pour le soutenir. Ces racines l’ont rendu plus fort et lui ont donné ce dont il avait besoin pour survivre.

    – Savais-tu que tout ce temps que tu as passé à lutter, tu étais en fait en train de faire pousser des racines ? dit l’ancien, et il continua…

    – Le bambou a une fonction différente de la fougère, cependant, les deux sont nécessaires et font de cette forêt un lieu magnifique.

    – Ne regrette jamais un seul jour de ta vie. Les bons jours te rendent heureux. Les mauvais jours te donnent de l’expérience. Les deux sont essentiels à la vie, lui dit l’ancien, et il continua…

    Le bonheur te rend doux. Les essais te rendent fort. Les peines te rendent humain. Les chutes te rendent humble. La réussite te rend brillant.

    Si tu n’obtiens pas ce que tu désires, ne désespère pas… Qui sait, peut-être que tu es juste en train de fortifier tes racines. »

     

    Les bambous évoquent pour moi des souvenirs. Mon père bataillait chaque année pour éviter leur prolifération dans notre jardin. Mais c'était un peu Don Guichotte livrant bataille aux moulins à vent : il n'arrivait pas à endiguer leur multiplication. Des "turions" (bourgeons souterrains) surgissaient partout...


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  • J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération "Masse critique privilégiée", organisée par Babelio.

    Merci à Babelio et aux éditions Belfond qui m'ont permis de découvrir ce roman.

     

    Informations pratiques : premier roman de John Freeman Gill, paru aux éditions Belfond en février 2018. 439 pages

     

    La 4ème de couverture :

    Portée par une écriture tendre et puissante, une foisonnante fresque du Manhattan des années 1970, doublée du portrait poignant et drôle d'un père et de son fils. Un premier roman diablement intelligent qui interroge notre rapport au passé face à l'attrait parfois ravageur de la modernité.

    Depuis la séparation de ses parents, Griffin Watts, treize ans, tourne en rond. Sa sœur n'a plus une minute pour lui, trop occupée à faire sa révolution sexuelle; son artiste de mère tient table ouverte à tous les hippies du quartier. Quant à son père, Nick, antiquaire exalté, collectionneur frénétique, il vit désormais dans son atelier.

    Désireux de maintenir un semblant d'équilibre familial, Griffin va suivre la dernière lubie paternelle : récupérer statues, bas-reliefs, moulures et autres gargouilles sur les vieux immeubles new-yorkais voués à la destruction.

    Mais ces gentilles escapades père-fils vont bientôt prendre un tour dangereux. Alors que la passion de Nick se fait chaque jour plus dévorante, Griffin se retrouve embarqué dans ce qui pourrait bien être le vol du siècle...

     

    Mon ressenti :

    Le narrateur est un adolescent de 13 ans, Griffin, écartelé entre ses deux parents excentriques qui viennent de divorcer : sa mère, qui héberge des hippies, et crée des tableaux avec des coquilles d'oeufs et Nick, son père, chasseur de gargouilles, statues, bas-reliefs, plaques de fonte dans de vieux bâtiments New-Yorkais.

    Pour se rapprocher de son père, Griffin va accepter de l'aider dans ses virées nocturnes pour aller extirper des petits bouts du vieux New-York, au péril de sa vie.

     

    Ne connaissant New-York qu'à travers mes lectures et les films et séries regardées, et n'ayant pas de formation en architecture, j'ai découvert un New-York que je n'aurais pas imaginé, et qui n'existe plus aujourd'hui.

     

    J'ai apprécié l'écriture et l'originalité du thème, mais je me suis sentie parfois perdue entre tous les bâtiments et les détails architecturaux évoqués.

    Je ne me suis attachée à aucun personnage : les parents m'ont paru assez indignes et égoïstes, peu préoccupés par leur progéniture. 

    Griffin est un adolescent qui a besoin de l'amour de ses parents, notamment de son père. Il ferait n'importe quoi pour lui plaire, et n'hésite pas à voler : un dossier chez les parents de son amie Dani, de l'argent à des locataires de sa mère. C'est un garçon intelligent qui se laisse manipuler par son père sans se poser de questions, sans se rebeller...

     

    Le roman est bien écrit et passionnera à la fois les amoureux de New-York et les férus d'architecture.

     

    Un extrait :

    - Non, ne t'en fais pas, Zev. On va lui trouver une maison. Il y a des gens qui aiment bien ce qui est un peu abîmé. C'est comme à la SPA. Il y a toujours une bonne âme qui s'entiche du chat borgne auquel il manque un bout d'oreille.


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  • Fin janvier j'ai commencé à crocheter un châle bleu avec des coeurs.

    Je l'ai terminé il y a quelques jours :

    Mon châle bleu avec des coeurs...
    Mon châle bleu avec des coeurs...
    Mon châle bleu avec des coeurs...
    Mon châle bleu avec des coeurs...

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  •  

    Samedi 24 février, j'ai profité d'une belle journée ensoleillée pour aller me promener à Lacanau, au bord de l'Océan.

    Je vous ai montré de courageux surfeurs.

     

    Voici quelques photos de la plage où les promeneurs étaient nombreux.

    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...

    Et quelques belles vagues et laisse de mer :

    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...
    Belle balade au bord e l'Océan, à Lacanau...

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