• J'ai encore découvert avant-hier un cèpe dans mon jardin. J'ai cherché sur le site s'il était comestible. Pour moi c'est un "bolet réticulé".

     

    J'ai également demandé confirmation à mon amie et voisine, Colette. C'était la même espèce que ceux trouvés il y a quelques jours.

    Je l'ai bien nettoyé, passé sous l'eau, coupé en morceaux et l'ai fait cuire à la poele  avec un peu d'huile, du persil et de l'ail. Ma cuisine embaumait.

    Je ne savais pas trop que manger avec, alors j'ai pensé à une omelette...

    mais comme je n'aime pas les oeufs, je n'en ai mis qu'un

    et comme je suis étourdie, j'ai cassé un oeuf directement sur les morceaux de cèpe sans l'avoir battu en omelette.

    J'ai mélangé le tout et voici le résultat :

     

    Peu présentable, mais délicieux...


    9 commentaires
  • Début octobre, il faisait beau, et je suis partie en balade sur la presqu'île du Cap-Ferret (Bassin d'Arcachon).

    Mon premier arrêt, au village de l'Herbe, m'a permis d'admirer une mer d'argent :

    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...

    Un peu plus tard, j'ai été à La Pointe admirer l'entrée du Bassin d'Arcachon.

    Un chalutier rentrait vers le port d'Arcachon, affrontant les vagues sous le soleil :

    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...
    Quand la mer rutile sous le soleil...

    Je ne me lasse pas de ces paysages...


    9 commentaires
  • Lors de ma balade au Parc Treulon à Bruges (Gironde), j'ai admiré les ginkgos bilobas du parc dans leur tenue automnale.

    Ces arbres appelés aussi "arbres aux 40 écus" se parent à l'automne de feuilles d'or qui, en tombant, forment des tapis dorés à leurs pieds.

     

    Splendeur automnale de l'arbre aux 40 écus...
    Splendeur automnale de l'arbre aux 40 écus...
    Splendeur automnale de l'arbre aux 40 écus...
    Splendeur automnale de l'arbre aux 40 écus...
    Splendeur automnale de l'arbre aux 40 écus...
    Splendeur automnale de l'arbre aux 40 écus...

    Petit historique de cet arbre : En 1788, un botaniste de Montpellier acheta 5 plants de cet arbre à un collègue anglais pour la somme faramineuse de 40 écus d'or chaque plant, d'où son nom vernaculaire d’’arbre aux quarante écus’.

    Le 6 août 1945 eut lieu l’explosion atomique d’Hiroshima. La végétation autour de l’épicentre fut étudiée au mois de septembre de la même année.

    Un Ginkgo situé près d’un temple détruit situé à un kilomètre de l’épicentre fut le premier végétal à bourgeonner au printemps de l’année suivante. C’est une espèce très résistante aux agents mutagènes notamment aux radiations. 

    Source : http://www.jardindesplantes.net/fr/plantes/plantes-jardin/arbre-quarante-ecus


    8 commentaires
  • Dans le journal Sud-Ouest du 1er octobre, j'ai lu un article intitulé : "Mais tous les arbres sont remarquables !", pour annoncer le 2ème Congrès national des arbres remarquables, à Bordeaux, du 6 au 8 octobre.

    J'ai appris dans cet article que plusieurs arbres de l'agglomération bordelaise allaient recevoir leur label, à Bruges, Cenon, Eysines, Floirac, Gradignan, Le Bouscat et Mérignac.

    Je suis allée voir ceux de Mérignac avec Cathycat il y a une dizaine de jours et lundi, j'ai été admirer ceux du parc Treulon à Bruges.

    J'ai vécu près de 20 ans dans cette commune de l'agglomération Bordelaise, à 200 mètres de ce parc et j'y ai été très souvent, avec mes fils petits puis très régulièrement.

    J'admirais à chaque fois les ginko biloba et les tilleuls, sans avoir jamais vraiment prêté attention au noyer que je prenais pour un acacia ni au catalpa.

    Ces deux arbres qui vont être labellisés "arbres remarquables" n'ont pas encore de pancarte explicative mais un périmètre de sécurité a été tracé autour d'eux avec des barrières de bois.

    Voici le catalpa au tronc tortueux :

    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...

    Et le "noyer noir" que je prenais pour un acacia ou un frêne, avant de ramasser à ses pieds de petites balles vert-jaune contenant des noix de couleur noire :

    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...
    Le catalpa et le noyer noir du parc Treulon à Bruges...

    Autres arbres remarquables :


    9 commentaires
  • Ce livre m'a été offert pour l'achat de deux livres dans la collection Points. Il fallait choisir le livre gratuit parmi 4 ou 5 titres et j'ai pris celui-ci pour découvrir l'auteur.

     

    Informations pratiques : paru en 2009 aux Editions Grasset et Fasquelle, et en livre de poche dans la collection Points en 2017. 221 pages

     

    La 4ème de couverture :

    Tout avait si bien commencé. Insouciants et heureux, Voltaire, sa femme et son fils se préparent à une journée de farniente sous le soleil ardent. Mais un feu dévastateur embrase l'arrière-pays : la panique générale les accule vers la plage... Face à une mort qui semble inéluctable surgissent les souvenirs, ridicules et sublimes, de toute une vie. Un miracle peut-il encore advenir ?

     

    Mon ressenti :

    La couverture ne me semble pas très appropriée au roman : une pin-up blonde et un jeune homme s'amusant dans l'eau. Seules les flammes en arrière-plan sont présentes tout au long du roman.

    Voltaire, sa femme : Oum et leur fils Géo sont en vacances en Italie. C'est leur deuxième jour. Ils vont déjeuner au village avant de partir à la plage, mais la route est coupée par le feu. Ils rebroussent chemin et se réfugient sur la plage, comme des centaines d'autres personnes. Mais le feu avance vite, poussé par le vent. Ils vont devoir faire des choix, aller jusqu'au bout d'eux-mêmes, se soutenir pour essayer de s'en sortir. Tout en avançant, Voltaire évoque des souvenirs, toujours avec humour.

    J'ai aimé la montée en puissance du feu, la peur qui les étreint tous, l'humour de l'auteur qui utilise beaucoup les parenthèses pour des apartés plein d'humour.

     

    Quelques extraits :

    - "Les deux premiers jours, tout s'est bien passé. Le troisième, non".

    - "Certains esprits impulsifs, laissés trop longtemps sous l'éteignoir d'un bob Heineken, réagissent de manière imprévue face à une menace subite. Un déclic et c'est le choc mental. Pensait-il réellement qu'il allait pouvoir lutter seul, crânement campé sur ses jambes maigrelettes, contre une montagne de flammes".


    4 commentaires