• Ne riez pas...
    D'habitude je vous parle plutôt de mes voyages en train ("Un Bordeaux Nice en petit train", "Bataille dans le TGV avec une clé 3G", "Une journée à Paris"). Il faut que je vous raconte mes vols Bordeaux-Lyon et surtout Lyon-Bordeaux en avion, en décembre 2009, à l'occasion de la Fête des Lumières.


    Je suis partie avec Easy Jet pour moins de 50 euros aller-retour, à condition de ne pas enregistrer de bagage en soute. J'ai donc pris une valise de cabine aux normes et l'ai bien remplie. Je ne partais que pour 3 nuits et 4 jours mais je pensais avoir froid et avais emporté chaussettes de ski, chaussures de randonnée hautes (genre boots), sous pantalon en polaire, 2 polaires, gros manteau. Donc : petite valise bien remplie.
    J'oubliais : mon ordi pour pouvoir continuer à bloguer et mon sac photo + une banane accrochée à la taille pour les papiers.

    Au contrôle douanier, j'ai été fouillée au corps, bien que la machine n'ait pas sonné. Il a fallu sortir l'ordinateur et mon sac photo a été dépiauté. J'ai réussi à mettre l'ordi dans la valise et à la boucler quitte à casser la fermeture éclair. La banane à ma taille et le sac photo à mon épaule n'étaient pas pour moi des bagages à main. "Un seul bagage à main par personne. Les sacs à main dans les valises, sinon le bagage supplémentaire sera mis en soute et le service facturé" nous a-t'on dit une fois prêts à embarquer. Pas question de mettre ma valise avec mon ordi ou mon appareil photo en soute. J'ai enfilé mon manteau sur l'appareil photo et je suis passée...
    A Mérignac, avant le décollage j'ai souri en entendant l'hôtesse nous expliquer comment gonfler le gilet de sauvetage : entre Bordeaux et Lyon, peu de chances que l'on ait à s'en servir ! J'ai décrit ce que je voyais sur un bout de papier : "le bout de la queue d'un avion bleu dépasse d'un hangar, soigneusement fermé tout autour. Un hangar juste un peu trop petit ! Comment l'ingénieur qui a tout calculé a-t'il pu ainsi se tromper ?". Ce qui est amusant c'est que ça allait avoir un rapport avec mon voyage du retour.
    Et puis j'ai assisté à un magnifique lever de soleil : une mer d'or, ondulant sur un lit de nuages.
     


    Le vol n'est pas cher mais tout est payant à bord : boissons, sandwichs, même le chauffage ! (là, j'exagère mais il faisait très froid).

    Un jeune steward aux cheveux gominés a fait l'article pour la "boutique d'achats en vol", et notamment les parfums : "Nous avons un petit parfum très frais à vous proposer...". Plus coiffeur que steward...

    Au retour, le contrôle douanier a été plus sévère : après la fouille au corps (cette fois j'avais sonné en passant sous le portique),c'est ma valise qu'il a fallu ouvrir et dépiauter. Tout était en règle mais dur-dur de tout remettre correctement après pour pourvoir glisser l'ordi...
    Juste avant d'embarquer ma valise est tombée emportant un plot destiné à guider les files d'attente. Rien de cassé mais je me suis fait repérée. "Vous n'avez droit qu'à un seul bagage à main. Il faut mettre les autres dans la valise !". Comment ? J'ai fermé mon manteau sur la banane...
    Enfin à bord, avec mon précieux matériel...
    Quand tout le monde a été installé à sa  place, un technicien  avec un gilet orange que j'avais repéré parce que grand, blond, cheveux un peu longs et un vague sourire. Il me faisait penser à Olivier de Kersauzon jeune. Il s'est dirigé vers le fond de l'appareil avec des papiers accrochés à une plaquette. Il ne revenait pas et rien ne se passait. L'hôtesse a fini par nous dire que l'escalier à la queue de l'appareil était coincé : impossible de le sortir et donc de décoller. Il y avait trop de poids dans l'avion !
    Hein ? pas plus d'obèses que ça pourtant ! A moins que ce ne soit ma valise ?
    Les personnes sur les 6 derniers rangs ont été invitées à se déplacer vers l'avant pour enlever du poids à l'arrière. Cela a duré environ 10 minutes et ils ont réussi à enlever l'escalier. "Maintenant l'ingénieur doit vérifier que tout va bien et signer des papiers pour que nous puissions décoller...", a annoncé l'hôtesse.
    Ouh là là ! J'imagine le tableau si nous avions décollé porte entrouverte et escalier en écharpe derrière l'avion !
    L'ingénieur-Olivier de Kersauzon est revenu. Discussions diverses. Il a signé un papier. La porte s'est fermée et nous avons décollé.
    L'avion a été long à monter avant de virer. J'ai pensé un moment que nous allions atterrir, d'autant plus que l'hôtesse regardait par le petit hublot situé sur la porte avant... Après coup je me suis dit que c'était peut-être la Fête des Lumières qu'elle regardait... Le spectacle devait être splendide mais j'étais du mauvais côté.


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  • Lorsque Céline et Aurélien, ma belle-fille et mon fils, ont eu la confirmation qu'ils attendaient un 3ème enfant, ils ont appris la bonne nouvelle à leur fille aînée, Alice, 5 ans, en lui demandant expressément de n'en parler à personne.

    Quelques semaines plus tard, lorsque Céline a annoncé à tous la bonne nouvelle, elle a demandé à Alice si elle ne l'avait dit à personne. Alice a avoué alors, un peu penaude, qu'elle en avait parlé à quelqu'un : à Olympe, sa meilleure copine. Mais ça s'est arrêté là : la nouvelle ne s'est pas propagée.

     

    Plus tard, quand ils ont connu le sexe du futur bébé, Céline et Aurélien, ont choisi le prénom : "Valentine" et ont confié le secret à Alice, en lui demandant cette fois de ne le dire à personne, même pas à Olympe, et surtout pas à la famille ou aux amis.

    En attendant ils ont désigné le bébé sous le prénom de "Marguerite", comme 2 ans plus tôt ils avaient appelé "Kiwi" la future Manon.

    Alice a parfaitement gardé le secret, et personne n'a connu le vrai prénom avant la naissance. Lorsqu'elle a repris l'école, début juin, elle a beaucoup parlé de Marguerite. Les parents des copains-copines et les institutrices croyaient que la petite dernière allait réellement se prénommer du nom de cette fleur...

     

    Alice, en train de travailler pendant le confinement

    Alice, en train de travailler pendant le confinement


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  • Je ne suis pas la seule à apprécier les agrumes.

    Il y a quelques jours, je vous ai montré Ecureuille, ma chatte, se prélassant au pied de mon grand citronnier, dans le jardin, quand il fait beau, lovée autour du tronc, sur le disque de paillage en coco.

    Hier après-midi, Squirel s'est installé à sa place pour profiter du soleil.

    Squirel aussi, aime se prélasser au pied de mon citronnier...
    Squirel aussi, aime se prélasser au pied de mon citronnier...

    Mais il aime aussi se cacher sous le palmier nain :

    Squirel aussi, aime se prélasser au pied de mon citronnier...
    Squirel aussi, aime se prélasser au pied de mon citronnier...

    ou s'étaler sur les coussins, au milieu des peluches :

    Squirel aussi, aime se prélasser au pied de mon citronnier...
    Squirel aussi, aime se prélasser au pied de mon citronnier...

    Squirel porte toujours une collerette car il continue de se gratter autour du cou.

    Sur les photos ci-dessus, prises début mars, il porte un manteau pour chiens pour protèger son dos de ses griffes. Depuis, je le lui ai enlevé...


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  • Je ne suis pas la seule à apprécier les agrumes.

    Ma chatte, Ecureuille, aime se prélasser au pied de mon grand citronnier, dans le jardin, quand il fait beau. Elle se love autour du tronc, sur le disque de paillage en coco et frotte son nez contre les feuilles du citronnier...

     

    Ecureuille, gardienne de mon grand citronnier - Mars 2020
    Ecureuille, gardienne de mon grand citronnier - Mars 2020
    Ecureuille, gardienne de mon grand citronnier - Mars 2020
    Ecureuille, gardienne de mon grand citronnier - Mars 2020
    Ecureuille, gardienne de mon grand citronnier - Mars 2020

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  • L'histoire s'est déroulée début février 2020, à Lebannon, dans le Tennessee (Etats-Unis).

     

    Louie, le perroquet s'est mis à crier : "Au feu ! Au feu !", alors que ses maîtres, Barbara et Larry, retraités dormaient ainsi que leur petite-fille de 6 ans. Réveillés par l'animal, les trois occupants ont fui à toute vitesse et réussi à échapper aux flammes et à la fumée.

     

    L'incendie était très avancé et Larry n'a pas pu retourner chercher le perroquet, ni ses 4 chiens, qui ont péri...

     

     

    Photo de perroquet, prise au zoo de La Palmyre (Charente-Maritime) :

    Un perroquet sauve ses maîtres d'un incendie...

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