• J'ai emprunté ce livre à la médiathèque, au hasard.

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    Informations pratiques : Roman d'Elizabeth Gilbert, paru aux Editions "Calmann Levy", en janvier 2020. 425 pages. 21,90 €.

     

    La 4ème de couverture :

    New York est une fête!

    Du haut de ses 19 ans, Vivian sait déjà qu’elle ne veut pas du destin tout tracé par ses parents. Mais de sa bulle protégée, elle est loin de s’imaginer le tourbillon incroyable qu’est New York au début des années 1940. Alors, quand après un énième échec scolaire elle est envoyée chez sa tante Peg qui possède un théâtre en plein Times Square, Vivian n’en croit pas ses yeux. Entre la ville qui vibre sans cesse et la troupe d’artistes et de danseuses qui cohabitent joyeusement dans le théâtre, Vivian découvre l’exubérance, la fête et la liberté. Surtout auprès de sa nouvelle amie Celia, une sublime showgirl très émancipée pour l’époque… Mais un faux pas lors d’une virée nocturne fera hélas chavirer le nouveau monde de Vivian et la renverra à la case départ.

    Quand on a goûté au bonheur d’être une fille libre,
    peut-on y renoncer ?

     

     

    Mon ressenti :

    Ce roman se déroule à New-York, de 1940 à 2010. Après des échecs scolaires, Vivian, 19 ans, vient vivre chez sa tante Peg qui dirige un théâtre en plein Times Square. Vivian découvre la liberté et la fête, avec la troupe d'artistes : acteurs, showgirls et danseurs qui vivent et travaillent dans le théâtre. Elle se lie à Célia, showgirl sulfureuse et à Edna Watson, actrice britannique exceptionnelle. Ses talents de couturière vont lui permettre de devenir costumière. Un soir la fête dérape et Vivian doit rentrer chez ses parents et reprendre sa vie d'avant.

    Quelques mois plus tard, Peg vient la rechercher et Vivian retourne à New-York. Elle sera costumière pendant quelques années, jusqu'à la fin de la guerre puis ouvrira une boutique de robes de mariées avec une amie.

    L'auteur nous plonge dans le New-York des années 40, où les femmes se libèrent, gagnent leur indépendance tandis que les hommes s'engagent dans la guerre.

    Les personnages sont bien brossés. Vivian est une jeune femme capricieuse, éprise de liberté, influençable au début. Elle va mûrir au fil des ans et devenir attachante.


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  • J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération "Masse critique Jeunesse et jeune adulte", organisée par Babelio en novembre 2020.

    Merci à Babelio et aux Editions Thot pour cet envoi.

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    Informations pratiques : album cartonné paru en septembre 2020, aux éditions Thot. Textes de Christine Delamaire et dessins de David Trouilloud. 13 €

     

    La 4ème de couverture :

    Victor passe ses vacances chez ses grands-parents. Tout près de là, un manège pas comme les autres attire le petit garçon. Un camion de pompiers, un dragon ailé, un bateau de pirates et d'autres nacelles en tous genres semblent se libérer de leur socle pour accomplir des missions héroïques. Des aventures aussi fantastiques les unes que les autres entraînent Victor au gré de son imaginaire.

     

     

    Mon ressenti :

    Victor est en vacances chez ses grands-parents. Son grand-père lui offre un tour de manège sur un manège magique. Le petit garçon va monter dans le camion de pompier, puis sur une girafe, un dragon, un rhinocéros, un bateau de pirates, un chameau, une montgolfière, une autruche.

    A chaque fois il va vivre une aventure et sauver quelqu'un ou quelque chose.

    Ce livre, très coloré, avec une répétition de situations et de phrases : "C'est alors qu'il se passa quelque chose de magique" et "Magique ! Complètement magique !", et un petit héros dans lequel les enfants se reconnaitront, devrait beaucoup leur plaire. Il les fera rêver et bavarder.

    Je connais un petit garçon de 5 ans (Alban, mon petit-fils) qui va l'adorer.

    Quelques pages :

    Un fabuleux album jeunesse : "Le manège magique" de Christine Delamaire et David Trouillaud...
    Un fabuleux album jeunesse : "Le manège magique" de Christine Delamaire et David Trouillaud...
    Un fabuleux album jeunesse : "Le manège magique" de Christine Delamaire et David Trouillaud...
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  • J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération "Masse critique", organisée par Babelio en septembre 2020.

    Merci à Babelio et aux Editions Monemvassia pour cet envoi.

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    Informations pratiques : Roman d'Yorgos Skambardonis, paru aux Editions "Monemvassia", en septembre 2020. 311 pages. 15 €.

     

    La 4ème de couverture :

    Un roman noir dans la Grèce du nord, loin des clichés touristiques.
    Le héros, quinquagénaire en instance de divorce, doit son surnom de "Primo" à ses études d'architecture en Italie, où il a plus que flirté avec l'extrême gauche, et contracté le virus des spaghettis et du Campari. Ayant hérité de l'entreprise paternelle de Pompes Funèbres, il y a découvert la face obscure de ses semblables, souvent révélée à l'occasion d'obsèques familiales.
    Joueur invétéré depuis sa jeunesse, au poker et à la roulette, il va tomber, à cause d'une dette importante, sous la coupe du "Ministre de la Nuit", parrain de la mafia de Macédoine qui, depuis son bunker près de la frontière bulgare, dirige tous les trafics possibles, et détient le moyen original de terroriser ceux qui lui résistent.
    Primo, poussé par son goût du risque et son aversion pour une existence rangée, va aussi découvrir les liens sulfureux entre le monde de la pègre et celui de la politique.
    La rencontre avec la belle Oxana, ange déchu, échouée au milieu de nulle part dans une boîte de nuit de bas étage, va-t-elle lui permettre d'échapper à ses démons ?
    Un style incisif, des expressions imagées, parfois créées de toutes pièces par l'auteur, un récit où l'horreur côtoie le grotesque.

     

     

    Mon ressenti :

    Ce roman se déroule de nos jours, en Grèce. Yannis Bekhtis, surnommé "Primo" est à la tête d'une entreprise de pompes funèbres, héritée de son père. En cours de divorce et addict au jeu, il tombe sous la coupe du "Ministre de la nuit", parrain de la mafia Grecque, usurier, passeur, proxénète et trafiquant. Primo se retrouve calife à la place du calife, et amoureux de la belle Oxana, prostituée Bulgare.

    J'ai apprécié le style de l'auteur très imagé, et l'originalité de l'intrigue. Les noms des personnages et des lieux m'ont parfois déconcertée, mais j'ai aimé découvrir ce côté noir de la Grèce, bien différent de celui que je connaissais pour y avoir été plusieurs fois en vacances.

    Quelques extraits :

    - C'est aussi un tricheur de première. Il pourrait te tirer les plombages des dents sans que tu t'en aperçoives.

    - L'avocat Margaritis Hadzithanassis avait beaucoup de tics. Toutes les deux secondes, il faisait de curieuses grimaces de la bouche et des yeux. Les réflexes nerveux de son visage rappelaient un écureuil flairant un morceau de gouda. p87

    - Marinellas jouait de l'orgue d'une main, et de l'autre, envoyait des messages à ses copines sur son portable, ou bien lançait des pois chiches à Vassilis, la souris, qui ne cessait de pointer son museau pour avoir ses mézézs. p 117Ce roman

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  • J'ai emprunté ce livre à la médiathèque, au hasard, n'ayant encore jamais rien lu de cet auteur.

     

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    Informations pratiques : Roman d'Elisabeth George, paru aux Editions "Presses de la cité", en mars 2019. 667 pages. 23,50 €.

     

    La 4ème de couverture :

    Ludlow, bucolique bourgade du Shropshire, tombe dans l'effroi lorsque le très apprécié diacre
    Ian Druitt est accusé de pédophilie. Placé en garde à vue, le suspect est retrouvé mort, pendu.
    La commissaire Isabelle Ardery, qui a été dépêchée sur les lieux depuis Londres et qui se débat
    avec ses problèmes d'alcool, a bien envie de classer l'affaire en suicide. Mais c'est sans compter
    la sagacité du sergent Barbara Havers. Coachée à distance par l'inspecteur Thomas Lynley, la Londonienne gaffeuse et accro à la nicotine flaire le pot aux roses : et s'il ne s'agissait pas d'un suicide ? N'en déplaise à Isabelle Ardery, Lynley et Havers vont reformer leur duo de choc pour observer de plus près la vie de cette petite ville qui semblait si paisible. Car, derrière leurs allures de gentils retraités ou d'étudiants fêtards, les habitants de Ludlow ont tous quelque chose à cacher...

    La plus british des romancières américaines revient en force avec ce vingtième opus des enquêtes de Thomas Lynley, encore plus complexe, addictif et incisif que les précédents. Un bijou de suspense à placer entre les mains des fidèles comme des néophytes !

    God save the queen du crime !

     

     

    Mon ressenti :

    Ce roman se déroule de nos jours, à Ludlow, petite ville du Shropshire, en Angleterre. Un diacre, Ian Druitt, très impliqué dans la vie locale est retrouvé pendu après avoir été accusé, par un coup de fil anonyme, de pédophilie, et arrêté par un ilotier (policier de proximité). La police a conclu à un suicide, mais le père du diacre, homme d'affaires, convainc son député de réclamer un supplément d'enquête.

    La commissaire Isabelle Ardery, de New Scotland Yard est envoyée à Ludlow avec le sergent Barbara Harvers qu'elle ne supporte pas. La commissaire alcoolique est pressée de boucler l'affaire, mais sa collaboratrice flaire une embrouille et soupçonne très vite qu'il s'agit d'un meurtre. A leur retour à Londres, un détail (19 jours entre l'appel anonyme et l'arrestation du diacre) incite à Barbara à continuer l'enquête. Elle repart à Ludlow avec l'inspecteur Thomas Lynley.

    Les habitants de c​ette petite ville si tranquille en apparence ont tous des choses à cacher, que les deux policiers vont avoir du mal à démêler.

    Les personnages sont bien brossés et le duo de policiers est efficace et attachant.

    Plusieurs femmes méritent une punition, mères trop possessives et protectrices, jeunes filles trop légères... Les jeunes sont presque tous addicts à l'alcool, la drogue et au sexe.

    Ce roman policier est intéressant pour son enquête bien ficelée et ses personnages, mais je l'ai trouvé tout de même un peu long.


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  • Il était une fois quatre petits-enfants de 2 à 6 ans (déjà !) qui écoutaient avec beaucoup d'attention l'histoire d'Hansel et Gretel, d'après le conte des frères Grimm.

     

     

    Il était une fois quatre petits enfants sages et leur Mamie Lecture...
    Il était une fois quatre petits enfants sages et leur Mamie Lecture...

    Alice, la plus grande, dont nous fêtions ce jour-là l'anniversaire, connaissait bien le conte, mieux que moi qui l'avait un peu oubliée.

    Sa soeur Manon, sa cousine Victoire, et son cousin Alban (bientôt 5 ans) étaient très intéressés par cette histoire d'enfants perdus dans la forêt par leurs parents. Hansel et Gretel trouvent refuge dans une maison faite de biscuits et de bonbons et sont accueillis par une gentille dame...

     

    - Mais non ! s'est écriée Alice. Tu te trompes, c'est une sorcière !

    Il était une fois quatre petits enfants sages et leur Mamie Lecture...

    Lorsque la sorcière enferme Hansel dans une cage et tente de le faire grossir pour pouvoir le manger, leur attention s'est renforcée...

    Il était une fois quatre petits enfants sages et leur Mamie Lecture...

    Les ainés, Alice et Alban, ont tout d'un coup changé la fin du conte, en proposant que la sorcière me mange, plutôt qu'Hansel...


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