Il y a quelques semaines, j'ai rangé mes affaires d'été et ressorti celles d'hiver : pulls, bonnets, écharpes et châles. J'ai aussi regroupé mes pelotes de laine, et j'ai alors retrouvé 3 autres châles que je vous avais pas montrés car il y avait des laines à rentrer.

Voici un châle noir au point ananas :

Un châle blanc avec un point qui rappelle un parachute :

Un autre châle blanc, avec un point ressemblant à des petites fleurs :

Ma collection de châles : châle au point d'ananas pour le mariage, châle en résille vert, premier châle en mohair, second châle en mohair, châle en dentelle au crochet, châle bleu ciel, châle bleu avec des coeurs, châle rouge avec des coeurs, mon plus beau châle, au point ananas, châle bleu au point ananas, châle au point coquillage,châle en motif toile d'araignée, un châle doré, un châle vieux rose au point ananas, un châle au crochet avec des losanges, un châle plumes de paon, un châle soleil au crochet, un châle coeurs laine chinée, un châle à motifs papillons, un châle Moebius.

En prévision de l'hiver et des restrictions énergétiques, j'ai commencé à tricoter il y a quelques semaines une veste vaporeuse.

J'ai déjà réalisé ce modèle en 4 exemplaires il y a une trentaine d'années : un noir pour ma mère, un gris pour ma belle-mère, un rouge et un bleu pour moi. J'avais gardé une photocopie de la page du catalogue utilisé. 

Cette veste se tricote de gauche à droite, en commençant par une manche, et en finissant par l'autre.

J'ai utilisé des aiguilles 5 pour les côtes et 6 pour le reste et environ 200 g de fil Verdi de la marque Drops (48 % acrylique, 20 % laine, 17 % polyester, 15 % mohair).

J'ai lu cette information sur le site positivr.fr.

Depuis le confinement,, le tricot n'est plus réservé aux mémés. Il est reconnu comme anti-stress et alternative à la mode jetable.

Une étude menée par Opinion Way pour PP Yarns & Co, réalisée en juillet 2022, prouve que le tricot est tendance, et ce auprès de nouvelles cibles, dont les hommes et les générations Y et Z. En détails, plus d’un tiers des moins de 35 ans (34 %) affirment aujourd’hui pratiquer le tricot, tout comme 32 % de ces messieurs. 

Le tricot serait une source de bien-être, de détente et même de déconnexion. Plus des trois quarts des répondants (76 %) affirment que c’est une activité qui détend,  et pour près des deux tiers (63 %) cette activité a un impact positif sur leur santé. 

Le tricot apparaît également comme  bénéfique à l'environnement pour 77 % des personnes interrogées. Pour certains (22 % des répondants), “le tricot limite la production et l’achat de vêtements neufs et permet de revenir à un circuit plus court et de limiter les comportements de surconsommation” .

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J'ai appris à tricoter en 6ème, en cours de travaux manuels. J'avais 10 ans et je n'ai jamais arrêté depuis. Ma mère avait déjà tricoté mais s'y est remise en me voyant faire. Mes grands-mères ne tricotaient pas, pas plus que mes tantes. La soeur de mon grand-père faisait du crochet.

J'ai beaucoup tricoté pour moi, mon frère, ma mère, puis pour mes enfants. Lorsqu'ils ont grandi j'ai continué, pour moi.

Lorsque j'ai appris que j'allais devenir grand-mère j'ai tricoté de la layette. Des gilets, des robes, des brassières, pour la petite Alice.

Tricoter m'a toujours détendue. Je tricote en lisant ou en regardant la télé. Et depuis quelques années je me suis mise au crochet, réalisant châles, casquettes, chapeaux et autres.

Les tricots faits main sont quasi-inusables. J'ai des pulls qui doivent avoir 50 ans, devenus trop petits, mais toujours en excellent état. 

Dès que je découvre une erreur dans mon ouvrage, je détricote : c'est mon côté Pénélope.

Je vous ai plusieurs fois parlé du coton Esterelle de Bergère de France couleur mandarine acheté il y a une vingtaine d'années (donc impossible à retrouver), et tricoté-détricoté parce que je n'en n'avais pas assez pour terminer l'ouvrage commencé. Au départ j'avais 10 pelotes de 50 g.

Après de nombreux essais, j'ai réussi à tricoter 2 blouses avec ce coton mandarine.:

L'une sans manche, que je vous ai montrée il y a quelques jours :

Et l'autre avec des manches courtes, dont je viens de terminer les finitions :

Après les blouses d'été, j'ai commencé à tricoter des ponchos pour me tenir chaud cet hiver.

Je vous ai déjà parlé du coton Esterelle de Bergère de France couleur mandarine acheté il y a une vingtaine d'années (donc impossible à retrouver), et trcoté-détricoté parce que je n'en n'avais pas assez pour terminer l'ouvrage commencé. Au départ j'avais 10 pelotes de 50 g.

En juin 2019 j'avais réalisé une jolie blouse dans un coton orangé. avec 5 pelotes 1/2 et il m'en restait 4 1/2, du coton Esterelle de Bergère de France acheté il y a une vingtaine d'années (donc impossible à retrouver). 

En juin 2021 j'ai commencé une seconde blouse, tricotée puis détricotée,  avec des ananas. Après avoir utilisé 2 pelotes je me suis aperçue que je n'en n'aurais pas assez pour réaliser l'ouvrage.

J'ai tout défait et commencé un nouveau modèle avec un points fleurs, mais là aussi après avoir réalisé une dizaine de centimètres, je me suis rendue compte que je n'aurais pas assez de coton.

La couleur la plus proche de la réalité est celle de ma 2ème photo.