•  

    J'ai découvert cette expérience hier aux Informations régionales.

    Pour la première fois en France, des chiens d'accompagnement pour diabétiques ont été remis à 3 familles.

    Ces chiens ont été formés pour détecter un taux de sucre anormal dans le sang et donner l'alerte en cas de crise glycémique.

    Ces chiens d'assistance médicale sont déjà utilisés aux Etats-Unis, Au Canada et en Suisse.

     

    Trois jeunes diabétiques de type 1 ont reçu un chien mi-juin.

    Le reportage  nous a présenté Hugo, 16 ans, diabétique depuis 2016 et Medley, le caniche royal blanc âgé de 21 mois qui lui a été confié par l'association Acasdia (première école de chiens d'assistance pour les enfants diabétiques en France).

    Grâce à une capacité olfactive près de 200 000 fois supérieure à celle de l'homme, ce chien peut détecter un taux de sucre anormalement élevé ou faible dans le sang.

     

    Avant même la survenue de la crise glycémique, Medley, formé pendant 8 mois, est capable de prévenir son maître en lui donnant de petits coups de museau et même d'actionner un bouton d'urgence installé sur le mur à sa hauteur si l'enfant ne semble pas réagir, déclenchant une sonnerie dans la chambre des parents !

    Les diabétiques étant particulièrement vulnérables la nuit, pouvant tomber dans des comas diabétiques, Medley améliore la vie des parents, en soulageant leur surveillance.

    Sources : France 3 et Huffington Post 


    5 commentaires
  •  

    Informations pratiques : paru en mai 2018 aux éditions Calmann Levy. 471 pages.

     

     

     

    La 4ème de couverture :

    En août 1914, c’est le temps des moissons pour les Montagnac qui possèdent les plus belles terres de Combeval. Mais la guerre éclate et ce sera désormais le temps des sacrifices. 
    Charles doit laisser partir son fils aîné, Marcelin, plutôt que son cadet Bastien, trop jeune pour être mobilisé. Ce dernier abandonnera son rêve de devenir instituteur et restera à la ferme. Quant à leur soeur, Eugénie, Charles renonce, par la force des choses, à l’idée de la marier sans tarder.
    Marcelin, appelé au front, laisse sa fiancée Reine, fille de modeste vigneron, sous le toit des Montagnac ; il devra attendre sa prochaine permission pour l’épouser. Son retour, dans de tragiques circonstances, précipitera Combeval dans le chaos.

    Jean-Paul Malaval, auteur des Noces de soie, d’Une famille française et de tant d’autres succès, excelle une nouvelle fois dans l’évocation d’une famille française enracinée dans sa terre, confrontée aux rigueurs et aux désastres de l’Histoire.

     

    Mon ressenti :

    Ce roman se déroule dans un village de Corrèze, non loin de Brive, pendant la 1ère guerre mondiale.

    Nous sommes plongés dans la ferme de la famille Montagnac et découvrons ses membres : Charles, le chef de famille, pétri d'orgueil qui ne rêve que d'acheter d'autres terres, tyrannisant voisins et parents ; Adèle, sa femme, effacée, et leurs trois enfants : Marcellin qui doit reprendre la ferme, Bastien qui rêve de devenir instituteur et Eugénie, sans oublier Pichoine, l'ouvrier agricole, et Reine la fiancée de Marcellin.

    Nous découvrons les conditions de vie dans une ferme au début du siècle, puis celles sur le front lorsque Marcellin est mobilisé.

    Les personnages sont bien campés.

     

    Ce roman est de la même veine que ceux de Claude Michelet ou Christian Signol.

    Une suite est prévue apparemment...


    5 commentaires
  • Mon fils aîné est venu déjeuner hier avec sa compagne et les petitous : Alan (2 ans et 9 mois) et Victoire (2 mois et demi).

    J'avais préparé du filet mignon de porc avec pommes de terre cuites au four (frites légères) et j'ai voulu faire un flan de légumes pour les adultes.

    J'ai suivi la recette du site CuisineAZ et j'aurais mieux fait de suivre celle de Marmiton...

     

    Ingrédients pour 6 personnes :

    • 2 courgettes
    • 2 tomates
    • 1 poivron jaune
    • 1 oignon
    • 20 cl de crème liquide
    • 35 g de maïzena
    • 4 oeufs
    • 70 g de gruyère râpé
    • sel, poivre
    • 1 bouquet de persil (pas mis)
    • 1 pincée de noix de muscade (pas mis)

     

     

    La recette :

    1. Préchauffer le four à 180° (th 6)
    2. Préparer les légumes : éplucher les courgettes et les couper en dés, épépiner les tomates et les coupés en dés, émincer l'oignon et le persil
    3. Dans un saladier, mélanger la crème, la maïzena, les oeufs, le gruyère râpé. Saler et poivrer. Ajouter les légumes.
    4. Verser le tout dans un plat allant au four et faites cuire pendant 35 minutes.
    5. Lorsque le flan est cuit et bien doré, le sortir du four et le servir chaud.

    Je n'ai pas dû le faire cuire suffisamment car il n'a pas vraiment doré et avait plus goût d'oeufs que de légumes.

     

    Heureusement que nous avions mangé avant des tomates cerises, du melon et mes petites frites.

    "Alban adore" a dit Alban... Pas pour le flan...


    8 commentaires
  • Il y a quelques mois j'ai acheté un petit buddleia (arbre aux papillons) et je l'ai planté dans un pot à bonsaï.

    Il a passé l'hiver dehors avec mes autres bonsaïs. Je l'arrosais de temps en temps.

    Il y a quelques jours deux grappes sont apparues, et les fleurs se sont ouvertes.

    Attirera-t'il des papillons ?

    Mon arbre aux papillons en bonsaï...
    Mon arbre aux papillons en bonsaï...
    Mon arbre aux papillons en bonsaï...
    Mon arbre aux papillons en bonsaï...

    J'ai également un pied de buddleia, dehors à côté du portail. Il portait chaque année 2 ou 3 grappes de fleurs, et gênait un peu le passage.

    En février, le jardinier qui a taillé ma haie lui a fait une coupe sévère, et cela lui a réussi, car il porte aujourd'hui une vingtaine de grappes pas encore ouvertes...


    12 commentaires
  • J'avais publié en juillet 2009, aux débuts de mon blog, deux articles sur les petits ânes vus sur l'île de Santorin dans les Cyclades, et je les ai regroupés ici...

     

    Des ânes pour rire...


    Panneau d'interdiction de stationner accroché à un portail bleu, dans un village de Santorin, dans une rue déserte. Je ne lis pas le Grec mais cela semble être une interdiction de garer son âne devant cette maison. Surprenant... 

    Je trouve que cet âne a un corps de chien avec des oreilles de lapin !



    Pancarte photographiée à Thira, capitale de Santorin, pour indiquer la station où l'on peut louer les services d'un âne. La tête est bien dessinée, le corps un peu moins, notamment la patte avant gauche qui ressemble à une ballerine de femme. La disproportion est humoristique...



    Pour 2 euros vous pouvez ramener un souvenir de votre descente à dos d'âne avec ces peluches animées... J'aurais dû en acheter une, mais je n'aurais pas su laquelle choisir ...


    Voilà le port ! Après il faut remonter avec des touristes sur le dos et ça doit être encore plus difficile, surtout lorsqu'il fait très chaud !
    Les paquebots de croisière (comme celui que l'on aperçoit au loin) déversent des milliers de touristes au niveau du vieux port. Pour monter dans la vieille ville, la caldeira, il y a trois solutions : utiliser les ânes, monter à pied les 587 marches ou utiliser le téléphérique (offert à la ville par un armateur grec)...
    Je suis remontée en téléphérique et la vue est superbe. Si je m'étais écoutée , je n'aurais fait que des aller-retour en téléphérique... Mais j'ai continué la promenade...

     

    Les vrais petits ânes...


    Toute la journée ils descendent les touristes du village de Thira en haut de la falaise, vers le vieux port en bas (et vice-versa) ...




    J'ai préféré descendre à pied les 587 marches de cet escalier plutôt qu'à dos d'âne, mais j'ai fait attention à ne pas glisser sur leurs déjections qui jonchent le chemin... Odeur nauséabonde !

    Même eux font attention à ne pas glisser dans l'escalier...




    Certains trouvent le temps de faire la cour à leur bien-aimée, genou plié et bisous dans le cou...


    11 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires