• J'ai reçu ces derniers jours de jolies cartes postales accompagnées de beaux timbres de mes aminautes :

    - une carte mosaïque présentant "Les châteaux de la Loire" de Mamazerty, du blog "Dans les malles de Mamazerty". Des 12 châteaux présentés j'ai visité : Amboise, Chenonceaux, Montrichard et le parc de Chambord...

     

     

    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...
    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...

    - de Myrtille du blog "La gazette de citron bleu" une carte humoristique qui m'a rappelé des souvenirs d'enfance...

    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...
    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...

    - une vue du vieux Port de Marseille de Yolande du "blog de Mémé Yoyo"

    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...
    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...

    Et de Khanel du "blog deKhanel", j'ai reçu un livre : "Les heures souterraines" de Delphine de Vigan...

     

    Si vous ne connaissez pas leur blog, n'hésitez pas à leur rendre visite...

    De jolies cartes postales et un livre dans ma boite aux lettres...

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  • C'était tentant d'utiliser la fonction "panoramique" de mon appareil photo, mais compliqué car nous étions 3 dans un compartiment étroit, sans pouvoir bouger, et puis ça faisait du bruit...

     

    En cliquant sur les photos vous les verrez en plus grand...

    Vol en montgolfière : panoramiques...
    Vol en montgolfière : panoramiques...
    Vol en montgolfière : panoramiques...
    Vol en montgolfière : panoramiques...

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  • Un livre coup de coeur : "Un goût de cannelle et d'espoir"...

    Encore un livre passionnant que j'ai eu beaucoup de mal à quitter. C'est Cathycat du blog "la new cathzette" qui me l'a prêté.

     

    Informations pratiques : paru en collection Pocket en avril 2015. 491 pages et des recettes de pains et gâteaux allemands

     

    La 4ème de couverture :

    Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa sœur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l'armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d'insouciance. Jusqu'à cette nuit de Noël, où vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps ...
    Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d'une pâtisserie allemande, celle d'Elsie ... Et le reportage qu'elle prépare n'est rien en comparaison de la leçon de vie qu'elle s'apprête à recevoir.

     

    Ce qu'en dit Tatiana de Rosnay : "Un bijou de roman, aussi beau que déchirant, écrit juste comme je les aime : le passé qui revient hanter le présent, des héroïnes attachantes, une fin lumineuse pleine d'espoir".

     

    Mon ressenti : Les personnages de ce roman sont tous très attachants, et Elsie, l'héroïne est une belle personne. 

    Le lecteur voyage entre les années de fin de guerre en Allemagne, où la vie est dure : arrestation des juifs, soustraction des enfants aryens à leurs mères engagées dans l'association Lebensborn, mort des enfants souffrants,restrictions alimentaires, dénonciations, viols, et la vie en Amérique, dans la ville d'El Paso (Texas) près de la frontière Mexicaine, en 2007.

    Employée dans la boulangerie de ses parents pendant la guerre à Garmish, en Allemagne et courtisée par Josef un officier nazi, Elsie, 16 ans,  évite d'entrer au Lebensborn comme sa soeur Hazel. Elle va cacher Tobias, un enfant juif à la voix d'or, au péril de sa vie et de celle de sa famille.

    On la retrouve soixante ans plus tard dans sa boulangerie à El Paso, où elle est interviewée par Reba une journaliste, et l'on découvre peu à peu ce qu'il lui est arrivé entre les deux périodes.

    Reba vit avec Riki, chargé d'arrêter les clandestins à la frontière. Lui ne sauvera pas Victor, 9 ans, reconduit au Mexique avec sa famille.

    J'ai préféré la partie allemande de l'histoire que la partie américaine.

    J'ai beaucoup pleuré en lisant les derniers chapitres.

    Mon seul regret : pourquoi Tobias a-t'il attendu plus de 60 ans pour remercier Elsie sa bienfaitrice ?


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  • Nous étions 3 ballons à voler ce soir-là au-dessus de Chenonceaux : 1 gros rouge avec une dizaine de passagers, 1 petit rouge avec 2 ou 3 passagers et nous (5 passagers). Un 4ème ballon volait plus loin.

    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...
    Vol en montgolfière : les autres ballons...

    Mes autres articles sur mon baptême en montgolfière : "Mon rêve de vol en montgolfière réalisé", "Les préparatifs" "Le survol du château de Chenonceaux" et "Vues du ciel"...


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  • Mardi matin, mon fils Aurélien est venu me rejoindre dans mon appartement à Bordeaux, avec sa fille Alice (23 mois) pour m'aider à repeindre le couloir.

    Nous sommes partis ensuite en voiture vers le centre ville pour déjeuner.

     

    Aurélien est entré au parking de la Bourse, sous la place de la Bourse, en me disant "c'est un peu cher mais c'est pratique". Il s'est garé au niveau -5 et nous avons regagné l'extérieur en empruntant deux ascenseurs.

     

    Nous avons très bien mangé au "Pilier des tutelles", dans une rue perpendiculaire au Grand Théâtre : bon accueil, prix raisonnables et cuisine délicieuse.

     

    Ensuite j'ai gardé Alice tandis qu'Aurélien allait chez le coiffeur. Je voulais l'emmener vers le miroir d'eau mais Mademoiselle a préféré rester sur une petite place où nous avons joué à la cliente et la marchande (sans aucun accessoire).

    Puis nous avons retrouvé son papa et sommes partis vers la rue Porte-Dijeaux puis le marché des Grands Hommes. Aurélien lui a acheté un tricycle qui se pousse et je lui ai offert un petit piano électronique.

    Aurélien voulait lui monter tout de suite le tricycle, à la sortie du magasin mais c'était plus long qu'il croyait, alors il a tout laissé dans le carton et nous sommes repartis direction le parking. Alice voulait tenir son piano aussi grand qu'elle, mais a fini par céder pour que je le porte.

     

    Nous sommes entrés dans le parking où la chaleur était étouffante.

    Nous avons pris le 1er ascenseur qui va du niveau 0 au niveau -1, et puis un second ascenseur pour aller du -1 au -5. Nous en avons laissé passer un avec deux personnes bien chargées et nous avons pris la seconde cabine tous les trois avec nos différents colis.

     

    Un bruit. "Il s'est arrêté" a dit Aurélien. Nous étions coincés entre deux étages.

    Nous avons appuyé sur la sonnette jaune qui émet un son strident d'alarme, comme indiqué sur le panneau explicatif. Et nous avons attendu.

    Rien

    Nous avons appuyé sur l'interphone sensé permettre de joindre la hot-line des ascenseurs. Message robotisé : "un technicien va vous répondre. Patientez. Un technicien va vous répondre".

    En boucle, à vous rendre fou...

    Bien sûr ni le téléphone ni internet ne passaient dans l'ascenseur et donc impossible d'appeler les pompiers ou même un proche...

     

    Nouvel appui sur la sonnette jaune. Toujours rien.
    Des gens sont passés, ont vu que nous étions coincés. Je leur ai demandé d'aller prévenir l'accueil.

    Aurélien a enlevé la robe d'Alice qui commençait à transpirer, lui a donné son biberon d'eau dont il ne restait qu'un fond.

    Au bout de 15 à 20 minutes un employé du parking est venu nous voir en nous disant qu'ils avaient appelé la maintenance des ascenseurs mais qu'ils n'arrivaient pas à joindre leur standard. Nous lui avons montré la petite en lui demandant de se dépêcher.

    Il a promis de revenir vite.

    J'ai ouvert la porte intérieure : ça nous donnait un peu d'air, mais elle se refermait aussitôt.

    Aurélien a monté le tricycle d'Alice qui était ravie malgré la chaleur.

    Je me suis assise. Il faisait moins chaud.

    Une fois le tricycle prêt, Alice est montée dessus toute heureuse mais pas possible d'avancer dans une cabine aussi petite.

    L'employé du parking ne revenait pas et nous nous sentions complètement oubliés. Le message en boucle avait fini par s'éteindre sans que personne ne nous ait parlé.

    De temps en temps j'ouvrais la porte intérieure. J'avais l'impression que ça renouvelait un peu l'air.

    Le biberon était presque vide. Elle transpirait mais a joué ensuite avec son piano, puis avec un stylo et du papier que j'avais dans mon sac.

    Des gens passaient de temps et temps et nous leur avons demandé d'aller à l'accueil.

    Cela devait faire 50 minutes que nous étions coincés. Un autre employé a fini par venir.

     

    Nous étions en colère mais il nous a dit qu'il allait nous porter de l'eau et une paille pour la petite pour que l'on puisse boire dans l'interstice des portes. Ils avaient appelé les pompiers qui allaient arriver et nous sortir de là.

    Il est revenu avec une canette d'Ice Tea et une paille qu'il a réussi à passer. C'était trop dangereux pour la petite. J'ai bu un peu. J'avais très soif mais c'était sucré, et puis si les secours tardaient je ne voulais pas risquer d'avoir envie d'aller aux toilettes. 

    Nous avons encore patienté une vingtaine de minutes et les pompiers sont enfin arrivés ! Ils nous ont parlé un peu pour savoir dans quel état nous étions puis ont ouvert les portes.

    Que ça fait du bien de l'air frais ! Non pas frais mais de l'air quand même...

    Le système électrique a été coupé et ils nous ont fait descendre les uns après les autres. D'abord Alice dans les bras d'un beau pompier, puis moi qui me suis assise avant de sauter. Pas besoin en plus de me tordre une cheville...

    Aurélien a sauté mais il est jeune...

    Il a reçu en dédommagement des tickets de parking.

    Pour ma part je ne suis pas près de revenir me garer là...

    En y repensant:  heureusement qu'Alice a été adorable et ne s'est pas mise à hurler car cela n'aurait pas fait arriver les pompiers plus vite mais aurait sans doute augmenté la tension et diminué l'oxygène dans la cabine...

    Le tricycle, la main du papa avec le micro, Alice et mon pied...

    Le tricycle, la main du papa avec le micro, Alice et mon pied...


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