A Budapest, l'Ile Marguerite est située au milieu du Dabube. C'est un ilôt de verdure pour des citadins heureux de se ressourcer, faire un footing, de promener, pique-niquer, se détendre au spa, assister à un concert. Lors de notre séjour à Budapest nous y avons été passer un après midi.

Actuellement le Danube est en crue et les clients de l'hôtel sur l'île Marguerite menacée par les inondations, ont été relogés dans d'autres hôtels. 

L'île Marguerite, au milieu du Danube est accessible par le pont jaune : 

Une sculpture originale :

De magnifiques arbres :

 Des sentiers de promenade et des bancs pour se reposer...

Mes autres articles sur cette escapade à Budapest : "Les vols", "L'arrivée et l'hôtel".

"Les façades (1/3)", "La Basilique Saint-Etienne : l'extérieur", "La Basilique Saint-Etienne : l'intérieur", "Vue du haut de la Basilique Saint-Etienne", "Les ponts sur le Danube", "Le Parlement", "Budapest de nuit", "L'Opéra national de Hongrie", "L'église Matthias : l'extérieur", "L'église Matthias : l'intérieur" et "Le bastion des pêcheurs"...  

Lorsque ce film est sorti en janvier 2013, j'avais lu de bonnes critiques, dans la presse et sur certains blogs.

Il a tellement plu hier qu'au lieu de m'occuper du jardin -ce qui était impossible- j'ai loué ce film sur le service "Vidéo à la demande" d'Orange.

Non seulement Auguste Renoir est un de mes peintres préférés, mais j'ai vécu 20 ans dans une maison rue Auguste Renoir...  

En 2008 mon fils ainé a travaillé à La Colle sur Loup dans un centre de vacances. Je suis allée le voir et il m'a fait visiter la région. Nous avons visité la dernière maison de Renoir, le domaine des Collettes à Cagnes-sur-Mer. L'endroit est magnifique avec des oliviers millénaires et la vue sur Cagnes est inoubliable.

Le résumé : 1915. Sur la Côte d’Azur. Au crépuscule de sa vie, Auguste Renoir est éprouvé par la perte de son épouse, les douleurs du grand âge, et les mauvaises nouvelles venues du front : son fils Jean est blessé… Mais une jeune fille, Andrée, apparue dans sa vie comme un miracle, va insuffler au vieil homme une énergie qu’il n’attendait plus. Éclatante de vitalité, rayonnante de beauté, Andrée sera le dernier modèle du peintre, sa source de jouvence.
Lorsque Jean, revenu blessé de la guerre, vient passer sa convalescence dans la maison familiale, il découvre à son tour, fasciné, celle qui est devenue l’astre roux de la galaxie Renoir. Et dans cet éden Méditerranéen, Jean, malgré l’opposition ronchonne du vieux peintre, va aimer celle qui, animée par une volonté désordonnée, insaisissable, fera de lui, jeune officier velléitaire et bancal, un apprenti cinéaste… Source :

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=203955.html .

Michel Bouquet joue avec son talent habituel un Auguste Renoir aux mains noueuses, qui préfère consacrer ses forces à peindre plutôt qu'à marcher. Cet homme n'a eu que des fils mais vit entouré de femmes, certaines arrivées comme servantes et devenues ses modèles, d'autres arrivées comme modèles devenues ses servantes. Christa Theret joue Andrée, son dernier modèle, jeune femme belle et gaie dont tous les hommes de la famille vont devenir amoureux.

Ce film se déguste comme un tableau : lumière, couleurs, petites touches...

J'ai regardé hier sur France 4 une comédie désopilante qui m'a fait beaucoup rire : "Le clan des divorcées" d'Alil Vardar avec Claire Gerard, Eve Angeli et Alil Vardar.

L'histoire : Stéphanie d'Humily de Malanpry, une bourgeoise qui vient de quitter un berger ardéchois, décide de changer de vie en allant s'installer à Paris. Pour alléger ses charges, elle se trouve deux colocataires. Les deux femmes qui emménagent finalement avec elle sont, elles aussi, divorcées. Il s'agit de Mary Bybowl, une Anglaise un brin délurée, et Brigitte, originaire de Tarbes et issue du monde rural. Malgré des statuts sociaux différents et des caractères aux antipodes, elles traversent les affres de la séparation en se soutenant mutuellement. Leur cohabitation donne naissance à une belle amitié.

Deux millions de spectateurs ont déjà assisté à cette comédie très drole, actuellement jouée à Paris à la Comédie République.

J'avais déjà vu cette pièce à la télé il y a quelques mois et j'ai autant ri que la première fois. Eve Angeli et Alil Vardar surtout sont irrésistibles.

En ces temps moroses n'hésitez pas à assister à cette pièce si vous habitez Paris ou à la regarder à la télé : vous rirez du début jusqu'à la fin aux déboires de ces trois femmes de statut social très différent, mais toutes attachantes.

J'ai lu cette information dans le Journal Sud-Ouest : 

Paolo Pedrotti, investisseur de 62 ans, habitant seul un appartement dans un immeuble déserté près de Florence a surpris en plein forfait Marcello, pitoyable voleur de cuivre de 54 ans. Marcello s'est immédiatement rendu, en larmes, protestant -contre toute évidence- qu'il n'avait rien fait. Marcello, au chômage, vivait avec les 250 euros de l'indemnité d'invalidité de sa femme. Paolo Pedrotti l'a par la suite embauché.

Le journaliste avait titré cet article : "Le pigeon".

Moi, je préfère croire que Marcello ne sera pas ingrat et se montrera digne de la seconde chance qui lui est donnée. Et chapeau à Paolo Pedrotti qui au lieu de porter plainte contre son cambrioleur a préféré lui tendre la main pour l'aider...

Dimanche 2 juin 2013 : enfin du soleil et un ciel bleu !

La Solitaire du Figaro à la voile a commencé la veille avec un prologue entre Bordeaux et Pauillac, sur l'estuaire de la Gironde.

Cette 44ème édition de la Solitaire du Figaro va conduire les navigateurs de l'Estuaire de la Gironde jusqu'aux falaises crayeuses de Dieppe en passant par Porto, Gijon et Roscoff.  Sur la quarantaine de participants, il y a une seule femme de 29 ans, Claire Pruvot sur le bateau "Port de Caen". 

Le 2 juin, à 13 h : départ de Pauillac vers Porto, après une régate entre Pauillac et l'île de Patiras.

Je suis allée avec mon frère assister à ce départ, à 66 km de chez moi.

Nous sommes partis de bonne heure et avons pu nous garer près des quais. Nous nous sommes approchés de l'eau pour voir les premiers bateaux sortis du port. Le sol de vase séchée, craquelée, boueux par endroit, nous a paru trop instable pour nous arrêter là et nous avons continué jusqu'aux pontons où une foule s'agglutinait déjà.

La rive boueuse : 

Les uns après les autres, les bateaux quittent le port :

Le bateau "Entreprendre" barré par Mathieu Girolet : 

Le bateau "Port de Caen -Ouistreham" barré par la seule femme de la course, Claire Pruvot :

 Au premier plan, le bateau "Cercle vert" barré par Gildas Morvan, dont c'est la 18ème participation à la Solitaire.