Non, non, je n'ai pas sauté du haut du viaduc (50 mètres de haut).

Je vous ai parlé hier du viaduc.

Voici l'installation mise en place chaque dimanche par l'association "Oxygène" pour les amateurs de sensations fortes, désireux de se lancer 50 mètres plus bas, attachés apr les pieds.

Depuis longtemps mon fils cadet avait envie de sauter à l'élastique et je lui ai offert l'an dernier une "box sensations", qui comportait notamment la possibilité de sauter de ce viaduc. Il a entrainé dans l'aventure Céline, et puis Julien et Célia. Et sa maman au cas où il aurait eu peur (c'est ce qu'ont dit les trois autres).

Le saut ne dure que quelques secondes et coûte 50 euros. Céline a sauté la première, suivie de Célia puis de Julien et Aurélien.

Pour sauter il faut monter sur le parapet et se lancer dans le vide, retenu par les pieds.

 Une fois l'élastique stabilisé après plusieurs "plié-déplié", la corde est relâchée et le sauteur descend tête en bas dans une barque qui l'attend. Le jeune homme dans la barque aide le sauteur à enlever le harnais qui est remonté vers le haut au bout de l'élastique., puis tire sur la corde qui relie la barque à la berge pour permettre au sauteur de revenir que la terre ferme. 

 Les quatre étaient ravis même si les garçons ont trouvé que c'était un peu court.

Question photo, j'étais au pied du viaduc. Ca allait très vite et même en prenant en rafales je n'ai pas été très à la hauteur... 

Dimanche matin nous sommes partis de bonne heure avec mes fils et leurs copines en direction du viaduc de l'Isle-Jourdain dans la Vienne où nous avions rendez-vous à 12h00. Nous avions en principe 2 heures et demi de route. Mais voilà : problème dès le départ.

Mon fils ainé nous a dit "Le pont d'Aquitaine est fermé". Du coup nous avons fait le tour par le Pont d'Arcins et la rocade rive droite. Arrivés sur ce pont nous avons lu que le pont d'Aquitaine était fermé ce week-end dans le sens Paris-Bordeaux. Nous serions passés sans problème dans notre sens (Bordeaux-Paris) et aurions évité une cinquantaine de kilomètres.

J'avais branché mon GPS mais il faisait du bruit et mon fils cadet m'a demandé de baisser le son. Nous sommes partis direction Poitiers, et quand plus loin j'ai remis le son, le GPS affolé nous demandait de tourner. C'est la direction Angoulême que nous aurions dû prendre. Nous avons fini par la rattraper mais avons perdu près d'une heure encore...

L'arrivée au Viaduc valait la peine. L'endroit est grandiose.

Et du viaduc, la vue est superbe sur le village et le vieux pont.

 Je vous raconterai demain pourquoi nous sommes venus jusque-là.

Dans le village de pêcheurs du Canon, je me suis arrêtée devant la porte rouge d'une cabane en bois baptisée simplement "la cabane". L'entrée semble "interdite aux belles-mères".

Sur la presqu'ile du cap-ferret, différents petits villages se succèdent les uns aux autres : Claouey, Les Jacquets, Petit Piquey, Grand Piquey, Piraillan, Le Canon, L'Herbe...

Au Canon l'on peut se promener dans les ruelles du village de pêcheurs au milieu des cabanes en bois des ostréiculteurs souvent très fleuries. En voici quelques unes pour la communauté "jolies maisons" de mon aminaute Nicole.

Cette cabane en bois offre à son propriétaire une belle vue sur le Bassin, le jardin n'étant séparé de la mer que par un perret.

Ma soeur Pascale a une chatte blanche baptisée Kakahouette qui a eu 5 chatons le 22 août 2010.

Elle m'avait demandé si je voulais un chaton et j'avais dit "Non, sauf s'il y en a un de bleu". Quand ils sont nés elle m'a appelée pour me dire qu'il y avait une "isabelle", chatte avec plusieurs couleurs : blanc, roux, noir, gris (à droite sur la photo)...

Elle m'a envoyé des photos par mail et je suis tombée sous le charme de cette boule de poils. J'ai donc décidé de l'adopter, dès qu'elle sera sevrée.

Et je l'ai baptisée "Ecureuille".

Peu de temps après Pascale m'a envoyé d'autres photos avec une autre chatte inséparable de la première. C'était la seule qu'il lui restait à placer. Elle allait être obligée de la tuer. J'ai craqué et accepté de prendre ce second chaton. Je l'ai baptisée "Squirelle".

Quelques jours plus tard et après de nombreuses photos envoyées, elle m'a dit qu'elle s'était trompée et qu'il s'agissait d'un chaton. J'aurais donc une chatte "Ecureuille" et un chat, qui se prénommera "Squirel".

Voici Ecureuille une quinzaine de jours après sa naissance :

Et Squirel :

Pascale s'occupe des  5 chatons (sans oublier la maman et ses trois autres chats) avec Christian et leurs enfants Nans et Morgane. Merci à eux !