• Et bravo à mon aminaute Jill Bill du blog "Melting-pot" qui a déposé ce matin à 7h36 ce  30 000 ème commentaire et gagne ainsi une aquarelle...

    Le seul problème avec moi c'est que j'ai du retard... Jill devra patienter un peu, comme tous les gagnants précédents qui n'ont pas encore reçu le cadeau promis.


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  • Pour ce 21ème jeu Café Thé, je vous propose d'illustrer la photo suivante à votre manière : photo, scrap, texte, poème, conseils, blagues, dessin...

    vigneenautomne.jpg

     

     

    Il vous suffit de m'envoyer votre participation par mail à ecureuilbleu33@live.fr avant le 16 octobre 2011.

    Je publierai les participations sur ce blog à partir du 16 octobre et vous pourrez alors voter pour votre participation préférée jusqu'au 15 novembre.

    Les participants ne pourront publier leur participation sur leur blog qu'à partir du 16 novembre.


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  • Bel-Ami
    Votez pour votre participation préférée :
    Participation n ° 1
    Participation n ° 2
    Participation n ° 3

    Résultats

    Pour ce 20 ème jeu Café Thé, je vous ai proposé d'illustrer à votre manière cet extrait de Bel-Ami, de Guy de Maupassant ( photo, scrap, texte, poème, conseils, blagues, dessin...) Il n'était pas nécessaire d'avoir lu le livre pour participer.

    "Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s'il venait de descendre de cheval; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route. Il inclinait légèrement sur l'oreille son chapeau à haute forme assez défraîchi, et battait le pavé de son talon. Il avait l'air de toujours défier quelqu'un, les passants, les maisons, la ville entière, par chic de beau soldat tombé dans le civil."

     

    belami.jpg

     

    Je n'ai reçu que trois participations.

    Il s'agit maintenant de voter pour celle que vous préférez jusqu'au 15 octobre.

    Participation n° 1 :

    belamiR3.jpg

    Le matamore déconfit

     

     

        Moustache conquérante et l’allure martiale

     cet ancien cavalier ne veut point accepter

     de n’être qu’un civil dans la foule banale

    il pousse les passants qui n’osent l’affronter

     

    la gloire du passé le bruit de la bataille

    sont là dans sa mémoire enflammant son esprit

    car il rêve toujours à la belle médaille

    qu’il aurait obtenue sans l’officier maudit

     

    amer désabusé désormais solitaire

    sa vie n’a plus de sens comme est vide son cœur

     il lui faut se venger il lui faut une guerre

     qui lui rendra croit-il un semblant de bonheur

     

    tant d’échecs ont brisé sa brillante carrière

    supérieurs pleins de morgue une paix sans honneur

    un traité malvenu pour un calme précaire

    sa vie n’est plus soudain qu’une terrible erreur

     

     

    il a fait confiance aux sergents-recruteurs

     leur guerre était alors une belle aventure

    bâton de maréchal dans la giberne obscure

    et de l’or et du vin des filles et des fleurs

     

    en mémoire alors lui revient

     un air ancien...

     

    « quand un soldat s'en va-t-en guerre il a

    Dans sa giberne il a son bâton d'maréchal

    Quand un soldat revient de guerre il a

    Dans sa musette un peu de linge sale

    …et puis voilà... »

    (Francis Lemarque 1963)

     

    

    Participation n° 2 :

     

    Trouble je

     

    Regard hautain en éventail

    Il déployait sur les êtres et les choses de la rue

    Lui qui avait connu

    Champs de bataille

    En brave hussard fier

    Coeur vaillant qui droit file...

    Rendu à la vie civile

    Imbibé d'heures militaires

    Ses yeux bleus acier

    Portés sur la gent féminine

    Faisaient rosir leur mine

    A son passage altier...

    Curieux animal sans peur

    Qui en chapeau buse

    Le promeneur que l'on abuse

    Bousculait en Seigneur

    Avec une certaine arrogance...

    Inès sa douce promise

    Soupirait un tantinet surprise

    De voir un autre homme en Garance...

    L'uniforme de la Garde

    Avait déteint sa belle âme

    Elle n'était point femme

    A faire l'amour à la hussarde...

     

    Participation n° 3 :

     

    Portraits croisés de Bel-Ami

    Une femme à sa fenêtre : Quel est donc ce bel homme ? Un fringant officier aux manières directes... Sa virilité m'émoustille...

    Un homme qu'il a bousculé : Ce malotru se croit le roi du monde parce qu'il a des galons sur ses épaulettes ! Si je ne me calmais pas je lui assènerais un bon coup de poing sur son joli petit nez !

    Un enfant qui s'est écarté sur son passage : Ah, maman ! Pourquoi mon papa n'est pas aussi beau ? Quand je serais grand je veux être soldat comme le Monsieur !

    La maman du petit : Cet homme est un danger public. Il est prêt à écraser son prochain pour avancer, même un enfant !

    Un gamin des rues : Je regrette de ne pas lui avoir fait un croche-pied quand il m'a poussé pour me dépasser. J'aurais bien ri s'il s'était étalé avec son beau costume !

    Une bourgeoise qu'il a regardée : Je lui ai tapé dans l'oeil. Comme j'aimerais qu'il m'aborde !

    Un vieillard sous un porche : Il est jeune et bien bâti et il a la santé. Mais c'est un écraseur, un moissonneur et je préfère être à ma place qu'à la sienne.

    


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  • Samedi 17 septembre (pour la première fois depuis la crétion de ce blog le 18 avril 2009) je ne publierai aucun article.

     Je ne visiterai aucun blog et ne déposerai aucun commentaire pour m'associer au mouvement de soutien en faveur de tous les blogueurs qui ne peuvent plus accéder à leur blog sur Over Blog ni déposer de commentaire depuis le 23 août. Parmi eux il y a mon aminaute Fanfan du blog "Journal d'une retraitée Corse"...

    Rendez leur leur blog et ses fonctionnalités !


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  • Pour ce 19 ème jeu Café Thé, je vous ai proposé d'illustrer l'image humoristique suivante de préparatifs de vacances à votre manière : photo, scrap, texte, poème, conseils, blagues, dessin...

    caféthé19

    Dessin de Marianne Maury Karfman, pour l'hebdomadaire Femina.

     

    Vous êtes 4 à avoir participé et 26 à avoir voté.

    Le gagnant est Jean-Marie avec 10 voix, suivi d'Annie (8 voix), de moi-même (6 voix) et de Jill Bill (5 voix).

    1er) Jean-Marie du blog "La traversée de la passion" :

    CT19.jpg

    En partance

    Il existe un voyageur sans bagage
    et d’autres qui n’oseraient pas
    hors de chez eux faire un seul pas
    sans emporter leur héritage
    qu’on déménage à grand fracas

    Les bouquins les médicaments
    mais la chère et douce bestiole
    dont normalement on raffole
    et les bien trop vieux grands parents
    on les met au clou pour un temps

    Et le chien et le pauvre ancêtre
    se retrouvent donc en pension

    soulagés dans le fond de n’être

    pas laissés par inattention

    sur un parking ou dans un bois peut-être



    quand il nous faut plier bagage

    on ne sait ce qui nous attend

    au grand tournant
    on doit en prélude au voyage

    éviter d’être extravagant

    surtout pas de moralité
    pour cette méchante amusette
    en sa triste banalité
    finis le voyage et la fête
    on est Gros-Jean

    comme devant

     

    2ème) Annie du blog "Ici et ailleurs" :

    je-fais-ma-valise.jpg

      

     3ème) Ecureuil bleu :

    Départ mouvementé

    Vendredi 16 juillet 13 heures. Bagages neufs, à roulettes, soleil plein la tête. Premier départ en amoureux, premières vacances à l'étranger pour Philippe, nouveau départ pour moi. Espoir de réussir quelque chose ensemble.

    Accompagnés à l'aéroport par Mamie, en avance, nous nous approchons du comptoir d'enregistrement, pour le vol de 13h40 vers Paris Charles de Gaulle. Mauvaise surprise : retard annoncé d'une heure, puis quelques minutes plus tard de 2 heures. Nous avons rendez vous au comptoir Switch à partir de 16h30 pour récupérer nos billets vers les Seychelles, départ prévu à 19h30. Je calcule dans ma tête, ce sera court mais ça devrait passer. Nous arrivons et repartons dans le même terminal d'aéroport. Au comptoir d'enregistrement des bagages nous expliquons notre cas et l'hôtesse nous propose gentiment d'enregistrer les sacs jusqu'aux Seychelles puisque c'est un vol Air France, dont nous connaissons le numéro grâce à des documents Switch (convocation au comptoir). Puis elle nous remet 2 bons pour des collations et nous invite à nous adresser au comptoir Air France pour récupérer nos cartes d'embarquement Paris-Mahé. Nous apprenons alors qu'il y a une grève des pétroliers à Roissy. L'avion Paris-Bordeaux n'a toujours pas décollé faute de kérosène. L'hôtesse nous propose de nous enregistrer sur le Bordeaux-Orly de 15h05. Ca nous parait compliqué parce qu'il faudrait ensuite changer d'aéroport. J'appelle l'agence Switch, explique le problème, demande le n° de téléphone du comptoir Switch à Charles de Gaulle pour les prévenir de notre retard. Il refuse, me fait attendre, finit par me donner le n° du portable.

    Départ pour le bar où l'on nous remet 2 boissons + 2 sandwichs en échange de nos tickets. 14h55 : une hôtesse annonce un retard de durée indéterminée du vol de 13h40. Nous revenons vite vers le comptoir d'enregistrement de ce vol et surprenons alors le coup de fil reçu par l'hôtesse. "Vol annulé". Nous re-expliquons tout et l'hôtesse nous trouve une place sur le Bordeaux-Orly de 15h05. Pour nos bagages enregistrés sur un autre vol c'est la panique. Il nous faut les décrire. Mon sac est rouge c'est facile. Celui de Philippe est noir, long…

    Nous embarquons à toute vitesse. Au contrôle des bagages à main, ils me font défaire tout mon sac photo.

    L'avion n'attendait que nous. Par la vitre de la passerelle, nous apercevons des bagagistes autour de mon sac. Au moment de m'asseoir au fond de l'avion, je m'aperçois que j'ai oublié la banane prêtée par mamie, avec tous mes papiers au contrôle. Je repars chercher la banane accompagnée d'une hôtesse, rencontre un bagagiste qui me demande si le sac rouge est à moi.

    Nous décollons enfin vers Orly, avec une bonne demi-heure de retard.

    Arrivés là-bas course pour récupérer les bagages. Mon sac rouge arrive vite. Philippe espère encore l'arrivée du sien. Il l'attend tandis que je vais au service des bagages. Il est 17h00. La responsable du service me dit que nous pouvons prendre la navette Air France pour aller d'Orly à Charles de Gaulle, mais c'est vendredi, départ en vacances. Nous ne serons jamais à l'heure pour le vol de Mahé, l'embarquement se clôturant à 18h30.

    L'employée du comptoir Switch à qui je téléphone pour annoncer notre retard me dit qu'elle nous attend mais que nous avons très peu de chances d'être à l'heure.

    Nous nous perdons, finissons par nous retrouver pour aller à un comptoir Air France, récupérer les tickets de bus.

    17h20. Nous montons dans la navette. Dans le meilleur des cas, le trajet devrait prendre une heure. Ce sera juste.

    Périphérique embouteillé, le chauffeur de bus emprunte des raccourcis, se faufile. Le temps s'écoule très vite. Il ressort plus loin sur un autre périphérique un peu moins bouché. Le trajet n'en finit pas. Roissy est bien loin de Paris. Philippe ne veut pas que l'on se sépare en descendant du bus. Je lui dis de récupérer mon sac. 18h20. Je cours au comptoir Switch, très proche de la porte où nous arrivons. L'employée, une grosse dame noire me hèle : "Madame Canovas?" "Oui" "Dépêchez-vous, le comptoir d'enregistrement va fermer". Elle me tend les billets. Je rejoins Philippe et nous courons vers le comptoir d'enregistrement pour Mahé. Juste à temps, miracle!

    Nous avons encore quelques minutes pour aller au service des bagages, mais ils nous disent de nous adresser à l'arrivée à Mahé. Philippe espère toujours que son sac va suivre.

    Nous embarquons enfin. Départ pour les Seychelles.

    La valise

    10 heures de vol, même sans escale, c'est long. Mais c'est bientôt la nuit. On nous sert à dîner, on nous passe un film. Nous ne sommes que tous les deux sur la rangée : personne à déranger pour se lever. Parmi les hôtesses, toutes très souriantes, il y en a une vraiment craquante avec un sourire du fond du cœur.

    Arrivée au petit matin à Mahé, après survol de plusieurs îles. Magnifique!

    Depuis mon dernier voyage là-bas qui date de 1988, l'aéroport a été modernisé. Il peut maintenant accueillir 3 Boeing 747.

    Philippe attend les bagages, pendant que je change des Euros contre des roupies seychelloises, puis que je commence à discuter avec le service des bagages. Philippe espère toujours voir arriver son sac. Nous restons les derniers dans l'aéroport. Enfin l'hôtesse enregistre notre réclamation :

    "On vous fera parvenir votre bagage à votre hôtel"

    - Oui, mais nous partons lundi en croisière dans les îles,

    - Vous l'aurez lundi matin avant de partir".

    Dehors, les employées de Créole Holidays, l'agence de voyage correspondante de Switch, nous attendent tout sourire. Nous leur expliquons notre problème de valise :"Pas de problème : vous la recevrez lundi matin avant votre départ en croisière", le tout avec un sourire chaleureux.

    Nous montons dans le minibus direction l'hôtel Barbaron's. Il pleut et il fait chaud. Nous sommes encore les derniers, le bus est complet : Philippe s'assied sur un strapontin. Ici c'est conduite à gauche. Le chauffeur monte à droite alors que nous l'attendions à gauche. Départ à travers des petites routes de montagnes impressionnantes : routes étroites sans parapet et des virages en lacets. Le minibus se déporte pour tourner. Il y a des gens qui marchent sur la route, des voitures garées sur la chaussée.

    Le minibus entre quasiment dans l'hôtel. Un jeune homme en chemise blanche pantalon noir descend à bout de bras les bagages qui ont été transportés sur le toit.

    Nous sommes accueillis à l'hôtel par de nombreuses Seychelloises, toutes souriantes, dirigés vers un petit salon avec vue sur la mer. Un cocktail de bienvenue nous y attend, tandis que l'on nous distribue des tas de papiers à remplir. Nous sommes fatigués et n'avons qu'une hâte : gagner nos chambres.

    La nôtre chambre, la 282, donne sur un jardin tropical. Elle est vaste et très fraîche, la climatisation tourne à fond. Sur le mur, un tableau avec des poissons multicolores. Dehors il pleut des trombes. Pourvu que ça ne dure pas…

    Le lit est géant. Philippe s'y endort pendant que je commence à ranger mes affaires dans le placard. De toutes façons il n'a rien à ranger, puisque il n'a que son petit sac à dos où il avait glissé un KW, un short, un tee-shirt de rechange.

    Nous avions pourtant passé près de 8 h dans les 2 Décathlons du Lac et de Mérignac pour l'équiper de pied en cap : chaussures bateau, tee-shirt, chaussettes anti-ampoules, etc…

    A midi nous allons déjeuner au snack de l'hôtel. Pas de menu et des prix élevés mais c'est bon. Il pleut toujours. Retour vers la chambre et sieste.

    A 17h00, tous les clients croisiéristes ont réunion d'information avec notre guide de Créole Hollidays. Et nous faisons connaissance de Marie Yvonne, Seychelloise au visage garni par son sourire. Elle nous propose des excursions, nous parle de la croisière que nous allons faire, nous offre un cocktail de bienvenue, nous conseille d'aller manger "Chez Plume". "C'est le top", dit-elle, pouce levé et grand sourire.

    Pour le lendemain, dimanche, elle nous propose d'aller visiter Cap Lazare. Nous y croiserons des tortues géantes, pourrons nous baigner et dégusterons un délicieux buffet créole. Nous sommes partants pour cette excursion. Et pour Plume aussi, avec un couple qui participera à la même croisière que nous.

    A la fin de la réunion, nous discutons en a parte avec Marie Yvonne pour lui exposer notre problème de valise. "Vous la recevrez lundi matin avant le départ en croisière", nous dit-elle, sûre d'elle. "Air Seychelles a dû vous donner des roupies pour acheter le nécessaire". "Non car l'erreur vient d'Air France".

    Revenus à la chambre, je lave le tee-shirt de Philippe, le mettant à sécher dans la salle de bains. Pas possible de laver son seul caleçon ou sa seule paire de chaussettes. Pour les affaires de toilette, nous utiliserons la même brosse à dents.

    Nous allons à la boutique de l'hôtel pour acheter un maillot de bain, indispensable pour la sortie à Cap Lazare. Je tombe en arrêt devant un tee-shirt jaune pâle avec des poissons pendant que Philippe essaye des maillots. Il y en a peu à la fois à sa taille et à son goût.

    Nous ressortons équipés de neuf avec maillot de bain et tee-shirt, ce qui devrait permettre à Philippe de tenir jusqu'à l'arrivée de la valise, lundi matin.

    Le lundi matin, nous devons partir de l'hôtel à 10h14 (pourquoi 14 ?) vers le port de Victoria pour embarquer sur notre catamaran. A 9h00 des touristes arrivent, de France. Notre valise n'y est pas. Nous allons voir Marie Yvonne qui appelle l'aéroport. La valise n'y est pas. Après plusieurs appels il s'avère que la valise est restée coincée à Bordeaux. Elle devrait arriver le mardi. Marie Yvonne nous demande de la rappeler le mardi après-midi et nous donne son numéro de portable. "Pas de problème, elle va arriver ta valise. Je te la ferai suivre sur les îles".

    Notre cabine est petite. Il y a peu de place pour ranger nos affaires. Ca tombe bien, Philippe n'a rien. Sur le bateau, les autres croisiéristes proposent de lui prêter des vêtements. Surtout Henri-Jean, avocat de son métier, 1,65 m 60 Kilos. Ca ne risque pas d'aller à Philippe qui fait 20 cm et 20 Kilos de plus.

    Mardi après-midi, nous sommes sur l'île de la Digue, sur la plus belle plage : Source d'argent, je filme le magnifique paysage. Philippe téléphone à Marie Yvonne. Victoire, sa valise est arrivée au Barbaron's. Elle nous la fait suivre à Praslins.

    Le mardi soir nous dormons au large de Praslins. Roland nous dit que nous récupérerons la valise le lendemain, en accostant au port de Praslins. Je n'y crois plus trop. Quelle valise vont-ils finir par nous apporter ? Le mercredi soir, nous arrivons au port très tard. Le jeudi matin, nous devons changer de bateau. Je demande à Roland si la valise est arrivée. "Je vais aller la chercher". 2 heures plus tard, il finit par nous l'apporter. C'est bien celle de Philippe. Il y a des étiquettes partout.

    La valise ne connaîtra pas notre premier bateau, car nous embarquons sur le second ce matin-là.

    Philippe aurait dû recevoir le prix du fair-play. Il ne s'est pas énervé une seule fois pour cette histoire de valise.

     

    4ème) Jill Bill du blog "Melting-pot" :

    C'est congé oublié de te dire...

    Gloria oh Gloria

    Vacances

    Riment avec assurance

    Atout prix !

    Ne pas lésiner... Boules quies, béquilles

    Carte de mutuelle, éventuelle hospitalisation

    Anti poison

    Et autre pharmacie...

    Une jungle New-York city

    S'y enfoncer seule à l'aventure

    En jeune vierge pas sûre

    Sexploit que de le rester mon amie...

    Gloria oh Gloria

    Vacances new-yorkaises

    Punaiseuelle expédition que voilà !

    Central Park un Jurassic

    Pour un p'tit Chaperon Rose

    Survivre de Mac Machin Chose

    Pas drôle entre peur et colique !

    

    Sur ce au revoir ou adieu

    A la grâce de Dieu !

    

    Je plaisante Gloria

    New-York quand pas d'attentat

    C'est super sympa ! Amoureux


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