• Budapest, capitale de la Hongrie, est formée de deux parties séparées par le Danube : Buda sur la rive droite et Pest sur la rive gauche. Elle est surnommée "La perle du Danube". Certains l'appellent aussi "Paris de l'Europe de l"Est" pour ses richesses architecturales.

    1,7 millions d'habitants y vivent sur 525 km² et 23 arrondissements.

    La monnaie est le forint (1 €=266 Ft).

     

    Un peu d'Histoire : L'Histoire de la Hongrie remonte au Moyen-Age, lorsque la plaine de Pannonie est colonisée par les Magyars, un peuple nomade venu du centre-nord de la Russie actuelle. En 896 est fondée une principauté, puis en 1001 le royaume de Hongrie qui existe jusqu'en 1946 à l'exception d'un court intermède républicain entre 1918 et 1919. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la République est de nouveau proclamée ( 1946-1949). Elle devient une République populaire après la prise du pouvoir par les communistes, puis le 23 octobre 1989, le président de la République, Matyas Szuros y met fin et proclame un État démocratique, la nouvelle République de Hongrie. (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Hongrie)

     

    La Hongrie a connu des invasions, de nombreuses guerres, et de nombreux combats, et de ce fait, de nombreux bâtiments et lieux historiques ont été détruits, mais par chance, pas tous ! Il y a à Budapest de superbes monuments à voir, et je vous présenterai ici des merveilles, comme le Parlement, les ponts de Budapest, le quartier du Château, la place des Héros, la basilique Saint-Etienne... Il y a un peu partout dans le centre ville, aussi bien à Pest qu'à Buda de magnifiques façades de bâtiments, ornées de sculptures, de mascarons, d'atlantes taillées dans la pierre, de bas reliefs...

     

    Dès la sortie du métro, place Deak Ter, nous avons aperçu un bâtiment typique de Budapest :

     

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    De très beaux bâtiments bordent le cours Andrassy, appelé aussi "Champs-Elysées de Budapest". Certains abritent des boutiques de grandes marques :

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    D'autres sont en réfection :

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    Notre hôtel était situé à Pest, proche du cours Andrassy. Ces photos ont été prises à Pest.

    Le 1er jour nous avons arpenté Pest et fait une balade sur le Danube pour découvrir les ponts.

    Le second jour nous avons visité Buda, partie haute de la ville, et le soir nous sommes venus admirer les ponts illuminés.

    Le troisième jour, nous avons visité les parcs et l'Ile Marguerite, entre Buda et Pest, sur le Danube.

     

    Mes autres articles sur cette escapde à Budapest : "Les vols", "L'arrivée et l'hôtel".


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  • A Genève, aucun souci : tout le monde parle Français et les commerçants acceptent les euros sans problème.

    En Hongrie, c'est différent... Peu de Hongrois parlent Anglais, quasiment aucun le Français et l'euro n'est que très peu accepté.

    La monnaie est le florin qui vaut environ 1/250ème d'euro.

     

    Nous avons voulu prendre un bus à l'aéroport pour rejoindre le centre ville. Aurélien a retiré des florins et reçu des billets.

    Le voyage coutait 350 florins par personne : le chauffeur de bus n'a pas accepté un billet de 10 000 florins (environ 40 €). Il voulait de la monnaie.

    Aurélien est retourné dans l'aéroport et a demandé à changer de la monnaie à différentes boutiques. En vain. Il acheté une bouteille d'eau et obtenu un petit billet.

    Nous avons pu monter dans le bus.

     

    Nous sommes descendus à la première station de métro et avons suivi d'autres voyageurs qui montaient un escalier. En haut deux vigiles nous ont empêché de passer et nous ont fait signe de redescendre pour aller acheter des billets. Nous sommes entrés dans le hall principal. Il y avait de nombreux vigiles. Nous avons repéré un distributeur de tickets mais il n'acceptait pas la carte bleue. Il fallait encore de la monnaie. Rebelote. Aurélien est reparti chercher une autre bouteille. Il est revenu avec 1000 florins en pièces et les a glissées dans la machine pour obtenir 3 tickets. Les pièces ont été englouties et les tickets ne sont pas tombés.

    Il est allé voir un des vigiles qui parlait un peu anglais et qui lui a dit que la machine ne fonctionnait pas, qu'il ne pouvait pas récupérer ni l'argent ni les billets...

    Pourquoi alors ne pas mettre une affichette "machine en panne" ? Le vigile a indiqué à Aurélien une guérite en bois plus loin et il a fini par acheter 3 billets de métro. Pendant ce temps nous avons évité à plusieurs couples de perdre bêtement leurs pièces dans la machine...

    Les stations et les rames sont vieillottes, taguées. Peu de décorations, beaucoup de contrôleurs...

     

    Nous sommes arrivés en plein centre ville et nous avons rejoint l'hôtel à pied (environ 1,5 kms) en trainant nos valises à roulettes.

    L'hôtel était situé dans un immeuble comme les autres, avec une grande porte fermée et un digicode... Explications en hongrois et en anglais. Il fallait taper plusieurs fois sur le 1 pour que la lourde porte daigne s'ouvrir.

    Nous avons fini par entrer dans une grande cour intérieure, rectangulaire entourée de balcons en fer forgé avec des chambres et logements sur 6 étages, les deux derniers étant occupés par l'hôtel.

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    Nos 3 chambres étaient bien réservées (111 euros pour 3 nuits). Aurélien et moi étions au 5ème et Gilles au 6ème. Il fallait prendre l'ascenseur.

    Naïvement nous sommes montés tous les trois et avons appuyé sur le chiffre 5. L'ascenseur s'est fermé mais n'a pas bougé. Nous avons lu le panneau : 3 personnes maxi sans bagages. Gilles est descendu, mais nous n'avons pas plus bougé.

    Je suis descendue et toujours rien.

    Nous avons appuyé sur le 1 pour tester et nous sommes montés au 1er étage mais il en manquait encore 4... Nous sommes descendus Gilles et moi et Aurélien est retourné demander des explications à l'accueil, en anglais.

    Il fallait bien appuyer sur le 5 mais 5 fois pour monter au 5ème ! 6 fois pour le 6ème... Jamais vu un ascenseur qui fonctionne ainsi...

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  • Avec les low-costs, vols à bas coût, il est maintenant facile de visiter les pays voisins, en partant des aéroports Français.

    Samedi 20 avril vers midi, nous avons embarqué direction Budapest, capitale de la Hongrie, avec étape d'une nuit à Genève (Suisse), pour 211 euros aller-retour.

    Nous sommes rentrés mercredi 24 à Bordeaux, à 21 heures.

     

    A Genève il faisait froid : à peine quelques degrés au dessus de 0, avec beaucoup de vent. C'est très facile de prendre le train de l'aéroport pour rejoindre le centre-ville et les transports publics sont gratuits. Nous avons visité la cathédrale et une maison musée très intéressante. J'étais ravie d'avoir pris mon bonnet.

    Nous avons dormi dans un hôtel près de la gare et avons rejoint l'aéroport de bonne heure.

     

    Je ne me souvenais pas comme c'est pénible maintenant de passer les contrôles pour prendre l'avion. Il faut enlever tout ce qui risque de sonner (ceinture, chaussures avec parties métalliques), manteau et pull posé sur les épaules, sortir des bagages les ordinateurs, téléphones, appareils photos, produits de toilettes.

     

    Au passage Budapest vers Genève, j'ai sonné en passant sous le portique. Une employée m'a tâtée de haut en bas puis m'a passé près du corps un scanner à main, avant de me laisser enfin reprendre mes affaires et me rajuster.

    Autre petits désagréments avec les low-cost : on n'a droit qu'à un seul bagage à main. C'est strict : appareil photo, sacoche, sac à main : tout doit être mis dans un seul sac. Pour la première fois ils nous ont également demandé d'enregistrer les bagages à main en soute, gratuitement. Pour ceux qui voulaient sur 3 vols, un peu au hasard sur le 4ème. L'avantage de ne pas enregistrer les bagages c'est de gagner du temps et avoir sous la main (dans le coffre au dessus de sa tête) les objets auxquels on tient... Nous avons réussi à y échapper, mais c'est pénible et ça fait râler tout le monde...

    En avion, on voyage vite mais l'attente est longue... Mercredi nous avons quitté notre hôtel à Budapest à 10 heures mais ne sommes arrivés à Bordeaux que 11 heures plus tard, après un retard d'une demi heure et une escale de 4h00 à Genève...

     

    Heureusement que j'étais partie avec mon fils cadet et mon ex-mari car arrivée à Budapest, je me suis aperçue que je n'avais pas ma carte bleue. J'ai eu beau retourner tous mes sacs : rien.

    La veille du départ j'avais préparé un mini sac en bandoulière, n'y mettant que l'essentiel : papiers, euros, stylo et carte indispensables : vitale et mutuelle. Comment la carte bleue est-elle passée du bon tas au mauvais tas, mystère et boule de gomme...

     

    volbudapest.jpg En survolant la Slovénie, au retour...


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  • Je suis revenue à l'endroit où j'avais déjà aperçu un écureuil, dans une impasse où les chênes sont nombreux. Il était là, folâtrant d'arbre en arbre, facétieux.

    J'ai pu le photographier grâce à mon zoom...

     

     

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  • L'eau qui s'écoule entre les mini bancs de sable, au bord de la plage me fascine toujours par ses graphismes éphémères, tout comme les rochers couverts d'algues vertes...

     

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