Voici quelques illuminations de Noël photographiées dans les rues de Bordeaux.

Près de la Cathédrale Saint-André, qui était fermée, nous avons photographié un grand sapin joliment décoré.

Plus loin, nous sommes passées près de la Grande Cloche :

Dans une rue, près de la Place Gambetta et puis près du Grand Théâtre :

Avec Cathycat du blog "La new cathzette", nous sommes parties, le 15 décembre vers 18h00, à la découverte des crèches Bordelaises.

Notre premier arrêt a été à l'église Notre-Dame.

Il y avait bien une crèche...

L'église étant peu éclairée, nous avons dû utiliser le flash.

Je me suis interrogée tout haut sur l'absence du Petit Jésus et Cathycat a ri : "Tu n'as pas été au catéchisme ?"

Si, mais il y a 50 ans... Et je n'ai pas réfléchi. Le Petit Jésus ne pouvait pas être là un 15 décembre, puisqu'il est né le 24...

C'est la seule crèche que nous avons vue car les autres églises étaient fermées : Cathédrale Saint-André, Eglise Saint-Pierre...

Cathycat connaissait déjà cette église, proche de notre lieu de rendez-vous.

Pour moi cela a été une découverte.

Il faisait nuit et l'église était peu éclairée. Je n'ai pas vu les vitraux.

Notre regard a tout de suite été attiré par une Vierge illuminée.

J'ai découvert de superbes tableaux dans les différentes chapelles, dont la canonisation du roi Louis IX, devenu Saint-Louis.

Ce tableau a été réalisé en 1815 par Pierre, Raymond, Jacques Quinsac-Mauvoisin.

Pour en savoir plus sur cette église, cliquez ICI. Cet aticle de Wikipédia très bien documenté décrit les beautés de l'Eglise mais ne parle pas du tout de la Chapelle Saint-Louis...

Mardi 15 décembre, j'avais rendez-vous devant le Grand Théâtre de Bordeaux avec Cathycat du blog "La new Cathzette".

Nous échangeons sur nos blogs depuis quelques années mais nous nous sommes rencontrées pour la première fois lorsque nous avons été interviewées, avec M'Annette, par Christian Seguin du journal Sud-Ouest pour parler du "Mariage".

Nous n'avions pas de programme déterminé : juste passer un bon moment ensemble. Et c'est ce que nous avons fait.

Cathycat m'a proposé d'aller voir les crèches, et cela nous a permis de nous émerveiller devant les illuminations de Noël.

Il venait de pleuvoir, ce qui a ajouté un charme supplémentaire à nos photos.

Du Grand Théâtre nous sommes parties par le Cours de l'Intendance en direction de l'église Notre-Dame.

Cathycat voulait me prendre en photo avec une auréole d'Ecureuil bleu :

Je tricote et crochète beaucoup pour mes Petitous, Alice et Alban, et aussi pour moi.

Et quand je m'aperçois que je me suis trompée, je me transforme en Pénélope et détricote ce que j'avais fait. Je pourrais faire l'autruche et continuer, mais non...

J'ai commencé un gilet pour Alban, tricoté le dos, en utilisant le modèle d'un magazine, légèrement modifié. J'ai tricoté du 6 mois avec des aiguilles plus grosses (3,5 et 3 au lieu de 3 et 2,5) en suivant les explications pour 3 mois.

J'ai fini le dos puis les côtés. J'allais commencer les manches, et là je me suis aperçue que j'avais tricoté 34 mailles au lieu de 38 m pour les demi-devants (taille naissance).

Qu'à cela ne tienne, j'ai tout défait et je recommence.

Ma référence à "Pénélope" vient de l'Iliade et l'Odyssée, Les exploits d'Ulysse m'ont beaucoup fait rêver quand j'étais jeune.

Pendant les vingt années d'absence d'Ulysse, durant et après la guerre de Troie, Pénélope -sa femme- lui garda une fidélité à l'épreuve de toutes les sollicitations. Sa beauté et le trône d'Ulysse attirèrent à Ithaque cent quatorze prétendants. Elle sut toujours éluder leur poursuite et les déconcerter par de nouvelles ruses. La première fut de s'attacher à faire sur le métier un grand voile, en déclarant aux prétendants qu'elle ne pouvait contracter un nouveau mariage avant d'avoir achevé cette tapisserie destinée à envelopper le corps de son beau-père Laërte, quand il viendrait à mourir. Ainsi, pendant vingt ans, elle allégua cet ingénieux prétexte, sans que sa tapisserie s'achevât jamais ; car elle défaisait la nuit ce qu'elle avait fait le jour : de là est venue l'expression « la toile de Pénélope », désignant un ouvrage auquel on travaille sans cesse et que l'on ne termine jamais. (Source : Wikipédia).

Une précision : je termine mes ouvrages, du moins pour les Petitous...