• Pour les jeunes (et moins jeunes), connectés en permanence à leur smatphone (ou leur tablette), notamment dans les transports en commun, il existe un bonnet avec casque intégré, relié par bluetooth à leur appareil. Plus de fils emmêlés !

    Pour 30 € ce modèle, lavable à la main après avoir enlevé les parties électroniques, tiendra chaud à leurs oreilles.

    Il se décline en 4 coloris : bleu, gris, rose et blanc.

     

     

    Plus besoin de sortir le téléphone de la poche pour répondre, modifier le volume, ou chnager de chanson : il suffit d'appuyer sur le côté du bonnet...

     

    Pour en savoir plus : http://www.archos.com/fr/products/objects/cself/amb/index.html

     

     

    En cours et à la maison, le port du bonnet est bien sûr interdit...


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  • En lisant le Mag de Sud-Ouest, comme chaque dimanche, j'ai découvert un article d'Hélène Lagardère présentant l'application Imayana qui propose de visiter le Bordeaux classique du XVIIIème siècle avec tablette et animation 3D.

    Armé d'une tablette et d'un casque audio le visiteur, géolocalisé, part de la place de la Bourse et se promène aux Quinconces, Allées de Tourny, devant le Grand Théâtre, cours du chapeau rouge, place Jean Jaurès pour revenir au point de départ.

    Le parcours facile et assez court peut se réaliser entre 1h30 et 2h00 selon l'envie de chacun.

    Le visiteur doit se positionner en 9 points précis du circuit pour écouter Louis Urbain Aubert de Tourny (intendant mort en 1760) lui raconter comment il a transformé la ville et lui faire découvrir les secrets de construction de la villa Meyer. Plus loin il découvrira les mascarons sur les façades des allées, de grandes bourgeoises devant le grand Théâtre, les gabarres sur les quais... Une animation du tableau de Joseph Vernet représentant le Port de Bordeaux met en scène le petit peuple des travailleurs.

    La superposition des paysages du Bordeaux du Siècle des Lumières sur le Bordeaux actuel est -selon la journaliste- fascinante.

    Le tarif : 10 € par personne (8€ par enfant). Réservation recommandée auprès de l'Office de Tourisme ou Patrimoine Mondial.

    Autres façons de découvrir Bordeaux : guides, livres, rallye pédestre à base d'énigmes...

     

     

     

     

     

    Tableau de Joseph Vernet - Le port de Bordeaux

    Tableau de Joseph Vernet - Le port de Bordeaux

    Un très beau tableau de Pierre Lacour peintre Bordelais (1745-1814) : "Vue d'une partie du port et des quais de Bordeaux" (visible au Musée des Beaux-Arts à Bordeaux).

     

     

    Même si ce n'est pas suffisant pour découvrir Bordeaux, et que se promener en regardant tout autour de soi tout simplement permet aussi de s'émerveiller, j'ai quand même très envie de découvrir ce circuit, pour le prix d'une place de cinéma,..

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  • Quand mes enfants étaient petits j'ai dû lutter contre les poux ("Les poux m'ont rendu fou").

    Parfois j'ai pleuré me sentant impuissante face à ces indésirables qui infestaient leurs têtes. Je leur lavais les cheveux avec des produits achetés en pharmacie qui leur donnaient des plaques sur la tête;, lavait draps et vêtements avec du produit anti-poux, mais ils résistaient.

    Et puis j'ai acheté un peigne électronique et j'ai enfin réussi à les en débarrasser.

    J'ai découvert au journal télévisé de la 3, les portes-manteaux anti-poux dont la ville de Vesoul vient d'équiper ses écoles.

    La société Française, DB Innovative, basée à Valenciennes dans le Nord vient de lancer le porte-manteaux anti-poux. il est muni d'une pastille qui diffuse des huiles essentielles de lavande faisant fuir les poux.

    Chaque enfant dépose avant d'entrer dans sa classe son manteau et son bonnet sur une patère et cela ne change pas avec le porte-manteaux anti-poux. Mais la pastille contenue dans la patère fait fuir les poux qui tombent des vêtements...

    La patère est personnalisable par les enfants et la pastille est active pendant 3 mois.

    Elle ne se substitue pas aux traitements que doivent appliquer les parents mais évite la prolifération des petits parasites.

    Les porte-manteaux ne sont pas plus onéreux que des porte-manteaux classiques. Chaque pastille revient à 2 euros...

    La municipalité de Vesoul va équiper progressivement toutes ses écoles maternelles et primaires. 

    Les particuliers pourront bientôt aussi le faire...

     

    Des porte-manteaux anti-poux dans les écoles...

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  • Le 24 décembre 2015, je vous ai montré la crèche de l'église Notre-Dame,découverte avec Cathycat du blog "La new cathzette".

    Elle était jolie mais un peu vide sans le Petit Jésus.

    Hier, 8 janvier j'étais en avance pour une réunion en centre ville et apercevant au loin la belle église Notre-Dame j'ai eu envie de voir les vitraux, en plein jour.

     

    Je n'avais pas mon appareil photo, juste mon smartphone.

    En entrant dans l'église un peu sombre, mon regard a tout de suite été attiré par la crèche bien éclairée sur l'autel.

    J'ai pris ces 3 photos...

     

     

     

     

    La crèche d'après-Noël à l'église Notre-Dame, à Bordeaux...
    La crèche d'après-Noël à l'église Notre-Dame, à Bordeaux...
    La crèche d'après-Noël à l'église Notre-Dame, à Bordeaux...

    En préparant mes photos sur l'ordinateur, je me suis aperçue que je n'avais que deux rois mages et que j'avais tronqué la tête de l'un.

    Cathy, il faudra que nous y revenions l'an prochain...


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  • Un livre coup de coeur pour les amoureux du Bassin d'Arcachon

    J'ai découvert ce livre dans l'Espace culturel que je fréquente.

    "Le Goëland" est un livre écrit en 1925 par une écrivain girondine,  Jeanne Alleman (1885-1938) ayant pris le pseudo  de Jean Balde et amie de François Mauriac.

    Parmi tous ses livres, Jean Balde avait une prédilection pour "Le Goéland". Pour l'écrire, elle avait partagé, durant plusieurs mois, la vie des pêcheurs et des ostréiculteurs du bassin d'Arcachon. C'est dans cet univers pittoresque et dur que nous plonge ce roman, autour d'un jeune homme marqué par le destin, farouche et révolté, et qui finira par triompher de l'adversité.

    « ... Lorsque le vol qui formait un nuage s’est dispersé par gros flocons, l’un d’eux se détache pour une royale rêverie. Celui-là glisse seul. Il est le sauvage ami du bassin vert glauque, gris de lune ou bleu ; l’ami des dunes boisées, odorantes et violettes, à l’âme solitaire ; l’ami des nuages cendrés et couleur de boue que le vent pourchasse. Il voit aller et venir les petites barques pareilles à des fourmis noires. Il voit s’élever et s’abaisser les voiles grises, les voiles rousses, les hommes courbés jeter le filet et le retirer. Il les dépasse et les domine. Il est par moments plein de joie, d’orgueil et de cris. Il est le goéland gris argent que nulle main humaine n’a touché. Son poitrail n’a jamais trempé que dans le vent, le soleil et l’eau. Il est la vie vierge. Le ciel est à lui, et l’océan, et le monde... »

     

    Cette histoire est contenue dans le personnage du jeune Michel qui a grandi chez les Picquey, une famille d'ostréiculteur dont il n'est qu'un enfant à garde placé par sa mère qui rechigne à révéler le motif de cette mise à l'écart. Entre temps, Michel est devenu un adolescent rebelle et solitaire bien qu'instruit par un abbé dont il s'est finalement affranchi.

    Outre l'abbé, Michel ignore encore les doux et vibrants regards que lui lance Estelle, la jeune fille des Picquey. Seule lui manque Laure, sa mère qui lui rend visite, de rares fois, et le laisse toujours dans un état d'extrême nervosité. Elle arrive à l'improviste par le train de Bordeaux où elle vit auprès d'un mari ignorant de l'existence de Michel.

     

    Mon ressenti :

    J'ai aimé  découvrir la vie rude des ostréïculteurs et pêcheurs, au début du XXème siècle, sur ce Bassin d'Arcachon que je connais bien. Jean Balde décrit parfaitement les personnages et les lieux, les lumières du Bassin, tout comme la vie à Bordeaux, à la même époque. N'ayant connu ces lieux que 30 ans plus tard je me souviens bien du train qui longeait le Bassin et arrivait à Arès.

    Ma grand-mère paternelle l'empruntait l'été pour venir du Lot-et-Garonne.

    Les personnages sont durs, comme la vie u'ils mènent, et les enfants ne sont pas choyés comme aujourd'hui.

    Ils m'ont fait penser aux héros de Dickens et aux Misérables de Victor Hugo.

    Les cabanes de pêcheurs, l'île aux Oiseaux, les quais de Bordeaux sont décrits par petites touches, à la manière des impressionnistes.

     

    Des extraits :

    "La dorure du Bassin était merveilleuse. C'était un de ces soirs où l'on verrait courir un moustique sur l'eau. La pinasse glissait tranquillement et la paix de l'air était si parfaite que l'on entendait l'égouttement des avirons. Un héron, endormi sur un piquet, semblait un grand parapluie fermé. Des lattes reflétaient leur ombre brisée."

    "Quand il se rappela plus tard l'arrivée à Bordeaux, Michel revoyait un fiacre obscur roulant sur les quais, des tramways comme des bateaux illuminés fendant les ténèbres, et des guirlandes de feux blancs et rouges, étoilant, fosse profonde, le fleuve encombré de masses noirâtres."


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