Chaque année, des milliers d'oies bernaches viennent passer l'hiver, de novembre à fin février, sur le Bassin d'Arcachon. Elles apprécient les algues et le plancton.

Ces oies bernaches sont des bernaches cravant, de la taille d'un canard colvert, Elles viennent de Sibérie pour passer l'hiver sur nos côtes.

Cette année, je n'en n'ai pas beaucoup vu, juste quelques unes près du port ostréicole d'Arès en novembre 2023, un groupe à l'Herbe en janvier et celles-ci, vues en février, près de la jetée, à marée haute.

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Mercredi 30 août 2023, je suis allée au zoo de La Palmyre, près de Royan (Charente-Maritime) avec mon fils aîné Julien et ses enfants : Alban (8 ans) et Victoire (5 ans).

Nous avons vu les girafes au début de la visite, les loutres cendrées, la famille alpaga, des ibis rouges, un gorille et des chimpanzés vers la fin du parcours.

Nous avons aussi vu des aras très colorés.

Voici la photo prise par Victoire :

Celles prises par Alban :

Et les miennes. Un ara bleu et jaune (ara arauraria) :

et des aras macao, dont l'un se mire dans l'eau, semblant se trouver beau :

Lorsqu'il fait beau, je vais souvent me balader près du port ostréicole et des anciens étangs à poissons, pour observer aigrettes garzettes, hérons et mouettes rieuses.

Il y a quelques jours, il n'y avait aucune aigrette mais j'ai vu approcher, en nageant, deux ragondins attirés par la nourriture déposée par quelqu'un : salade et carottes.

Les gardes de la Réserve des Prés Salés d'Arès-Lège Cap-Ferret évitent leur prolifération et demandent de ne pas les nourrir car ils abiment les berges, mais les enfants sont ravis de les observer au milieu des canards.

Hier matin, lorsque j'ai ouvert mes volets, juste un peu avant 8 heures, j'ai aperçu dans le ciel légèrement rosé, deux lignes blanches, parallèles, comme un chemin :

En zoomant :

Ces traces sont laissées par des avions. et appelées "contrails" pour traînées de condensation. Les traînées sont constituées en grande partie de vapeur d'eau (mais aussi de carbone et autres résidus issus de la combustion du carburant dans les moteurs d'avion) condensée en raison de la différence de température créée par la différence de pression entre les surfaces supérieures et inférieures des ailes, des extrémités des ailes ou des moteurs. Les micro-différences des conditions atmosphériques expliquent également largement les différences observées entre chaque type de traînée, leur persistance, ou leur existence.

Source : greenpeace.fr

Ce ne sont ni des gaz d'échappement, ni des délestages de kérosène.

En cherchant des informations sur ces trainées sur le net, j'ai découvert que ces lignes blanches seraient des "chemtrails" (contraction de chemical (chimique) et trails (traînées) selon des théories complotistes.

Cette hypothèse complotiste, démentie par les scientifiques et même Greenpeace, affirme que les traînées laissées dans le sillage des avions sont composées d’éléments chimiques volontairement épandus dans l'air, au-dessus des populations et destinés à nous endormir, nous empoisonner ou encore à nous stériliser, ou même diffuser le Covid.

Je n'avais vu qu'un joli chemin de campagne, une invite à la balade, au voyage, à la rêverie...

Mercredi 30 août 2023, je suis allée au zoo de La Palmyre, près de Royan (Charente-Maritime) avec mon fils aîné Julien et ses enfants : Alban (8 ans) et Victoire (5 ans).

Nous avons vu les girafes au début de la visite, les loutres cendrées, la famille alpaga, des ibis rouges et un gorille vers la fin du parcours.

Après le gorille, nous avons observé un groupe de chimpanzés, sur des passerelles en bois.

Certains faisaient de la gymnastique, à moins que ce soit une sieste :

D'autres semblaient en pleine discussion :

Un jeune chimpanzé s'est approché d'un plus grand et lui a donné deux gifles.

C'était sans doute un jeu entre eux car le plus âgé semblait sourire ou rire.