Mercredi 30 août, je suis allée au zoo de La Palmyre, près de Royan (Charente-Maritime) avec mon fils aîné Julien et ses enfants : Alban (presque 8 ans) et Victoire (5 ans). Victoire voulait voir les girafes et les pandas roux, et Alban : les gorilles. Je leur avais prêté à chacun un appareil photo compact.

Nous avons d'abord vu les girafes dans leur enclos, depuis une sorte de passerelle en hauteur..

Victoire était montée sur les épaules de son papa pour mieux les voir et a pris cette photo :

Alban était intéressé par le girafon, mais c'est une girafe plus âgée, bosselée qui s'est approchée. Il a pris ces 3 photos :

Et voici les miennes :

Nous faisions le concours de la plus belle photo (entre nous trois), au cours de notre visite.

J'aime beaucoup les Alpagas et j'adore les observer au Zoo de la Palmyre près de Royan.

Pour ceux qui avaient aimé mon précédent article "Dimanche en famille chez les Alpaga", et fait connaissance avec Alpagounet, rencontré au zoo de la Palmyre en juillet 2009, puis apprécié "des nouvelles de la famille Alpaga" en mars 2010, puis en juillet 2011, et en juillet 2014, j'ai revu cette sympathique famille début septembre.

Alpagounet en juillet 2009, triste et solitaire :

Alpagounet en mars 2010 :

Sous les yeux de Madame Alpaga et du cousin Lamanoir, Alpagounet et sa soeur Alpagalie déjeunaient de brins de paille, à l'abri.
Ils avaient grandi et étaient devenus presque adultes. Alpagalie était vraiment craquante avec ses yeux de braise ! Alpagounet la regardait du coin de l'oeil... 

Voici la famille Alpaga en juillet 2011. Elle s'est agrandie, de nouveaux bébés sont nés... Difficiles de reconnaître Alpagounet et Alpagalie...

Par contre, voici Alpagabébé. Seul dans son coin, il boude.

Maman lui a confisqué sa Nintendo DS... Ne rigolez pas, c'est possible(ou presque)... J'ai été sidérée en me baladant au zoo de la Palmyre (en 2010) de voir tous les enfants avec une DS à la main dans les allées, photographiant des animaux avec l'APN intégré... 

Et voici celui qui m'a fait craquer : Alpagado...

Il mange un hamburger un peu plus loin du groupe et râle lui aussi contre "ses vieux" qui veulent l'envoyer chez le coiffeur, et lui faire manger de la paille !

C'est le portrait craché (bien vu pour un lama) de son père pour la tête et de sa mère pour la couleur.

La mère Alpaga : "Ah ces enfants ! Tous pareils ! Moi qui était si fière quand ils sont nés..."  

Les voici en famille, en juillet 2014 :

Les adultes au pelage marron et noir sont couchés tandis qu'Alpagounet junior (en gris) fait le beau devant deux Alpagounettes (pelage blanc avec des tâches marron et de superbes bottes).

L'hiver ça doit tenir bien chaud, mais l'été...

Alpagounet fait mine de ne pas regarder :

Il mâchouille un brin d'herbe, l'air de rien :

Un petit sourire pour la photo... Ou pour Alpagounette :

"Dis Maman, tu crois que je lui plais ? Je crois qu'il me regarde..."

Mais Maman Alpaga a de quoi s'occuper avec le petit dernier toujours dans ses pattes...

Et voici la famille Alpaga, début septembre 2023. Ils ne sont plus que trois...

Mais toujours aussi craquants, non ? 

Je vous ai souvent montré la plage de l'Aérium d'où nous partons pour une balade en paddle ou en canoë. C'est une plage bordée de pins, au bord du Bassin d'Arcachon, où il fait bon pique-niquer, ou se reposer à l'ombre.

En y arrivant, mon oeil a été attiré par un pin qui penche dangereusement, que je n'avais pas remarqué jusque là :

Et le voici, vu de l'autre côté, dos à la plage :

Plusieurs pins ont été coupés à leur base il y a quelques mois à cet endroit, jugés sans doute dangereux. Et celui-ci ne devrait pas tarder à l'être...

Sur la presqu'île du Cap-Ferret (Bassin d'Arcachon, Gironde) il n'y a qu'une seule commune : Lège-Cap-Ferret, mais le long de la côte les lieux-dits s'égrènent, formant des petits villages. Il y a d'abord Claouey, Petit-Piquey, Grand-Piquey, Piraillan, Le Canon, L'Herbe, La Vigne et puis le Cap-Ferret.

A Piraillan, il y a les Réservoirs, une réserve naturelle de 40 ha classée, appartenant aujourd'hui au Conservatoire du littoral, qui en a confié la gestion à la commune. 

C'est Léon Lesca (à l'origine aussi de la Villa Algérienne et de la petite chapelle) qui a transformé cette dépression naturelle reliée au Bassin, en réservoirs à poissons.

Les pins maritimes ont été plantés par la suite : on trouve ainsi, sur la zone basse, de magnifiques spécimens de 130 ans tandis que la zone haute, qui a subi des coupes régulières, est ombragée par des arbres plus jeunes, de 70 ans environ.

Source : http://www.ville-lege-capferret.fr/module-Contenus-viewpub-tid-2-pid-71.html

L'entrée est gratuite. Des visites guidées sont organisées par l'Office du Tourisme.

Fin mai, j'y suis allée me promener un matin. J'aime la quiétude du lieu, apprécié aussi par les oiseaux : aigrettes, hérons, canards, oies bernaches.

Chacun des petits villages de la presqu'île de Lège Cap-Ferret a son quartier des pêcheurs avec des cabanes en bois qui donnent sur le Bassin. Certaines sont restées "dans leur jus", rustiques, mais d'autres ont été rénovées. Elles sont normalement utilisées par des ostréiculteurs ou des pêcheurs professionnels, qui proposent parfois des dégustations. 

Voici quelques photos de celui de Piraillan :