• J'ai emprunté ce roman à la médiathèque, sans en avoir entendu parler ni connaître l'auteur.

    Informations pratiques : paru en septembre 2017 aux éditions JC Lattès. 316 pages

     

    La 4ème de couverture ::

    Lors d’un pique-nique au bord du lac Léman, Summer, dix-neuf ans, disparaît. Elle laisse une dernière image : celle d’une jeune fille blonde courant dans les fougères, short en jean, longues jambes nues. Disparue dans le vent, dans les arbres, dans l’eau. Ou ailleurs ?
    Vingt-cinq ans ont passé. Son frère cadet Benjamin est submergé par le souvenir. Summer surgit dans ses rêves, spectrale et gracieuse, et réveille les secrets d’une famille figée dans le silence et les apparences.
    Comment vit-on avec les fantômes ? 
    Monica Sabolo a écrit un roman puissant, poétique, bouleversant.

     

    Mon ressenti :

    Benjamin, le narrateur de cette histoire, a perdu sa soeur aînée, Summer, il y a 25 ans au cours d'un pique-nique au bord du lac Léman. 

    Il avait 15 ans au moment de la disparition, était un adolescent mal dans sa peau empli d'admiration pour sa soeur, belle, libre, extravertie, intelligente et sportive, vivant tous les deux dans une famille aisée, enviée et reconnue, toujours entourée d'amis et d'invités.

    Summer s'est-elle noyée, a t'elle été enlevée, assassinée, ou bien s'est-elle enfuie ?

    Benjamin sombre dans les drogues, l'alcool, va de psychanalyste en psychanalyste, perd tous ses amis, se laisse porter par la vie.

     

    Quand il commence enfin à se réveiller, sort de sa léthargie et agit, il va découvrir des secrets de famille enfouis par ses parents...

    L'auteur nous fait ressentir toutes les émotions de Benjamin, ses souvenirs, son amour pour Summer, sa sensibilité à fleur de peau, son manque de confiance en lui, son sentiment de culpabilité d'avoir laissé disparaître sa soeur...

    J'ai vibré et espéré avec Benjamin, me suis laissée envoûtée par le lac Léman, les odeurs, la simplicité des uns, la noirceur des autres, l'innocence de Benjamin.

     

    Un très beau roman pour finir l'année 2017...

     

    Quelques extraits :

    - " Et tandis que leurs voix aiguës, aux accents de plus en plus désespérés, appelant ma sœur, j’étais resté là, absent à la scène, et à la vie, tandis que montait en moi la certitude que c'était arrivé, ce moment que j'attendais depuis toujours, l'effondrement de cet édifice de papier que constituaient nos existences. "

    - " Les souvenirs associés à des odeurs peuvent ressurgir avec une extrême intensité. Il existe un lien mystérieux entre mémoire et parfums. "

    - " Maman racontait en riant qu'à la naissance j'étais tellement hideux que, durant la nuit, elle avait marché dans les couloirs de la maternité, dans sa longue chemise de nuit, en espérant retrouver son vrai bébé, le beau nourrisson qui lui appartenait. "


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  • Pour ce Noël 2017, j'avais préparé en origami modulaire,  pour ma petite fille Alice (3 ans et 4 mois), et son cousin Alban (2 ans et 2 mois)) de petits pères Noël :

     

    J'ai gardé les deux avec des yeux en plastique et leur ai donné les deux autres.

    J'ai d'abord donné à Alice un papa Noël aux yeux bleus, quand je suis arrivée chez elle. Nous l'avons installé près de son sapin.

    Puis quand Alban est arrivé je lui ai donné le sien. Une main a disparu très vite, alors nous avons posé le papa Noël sur une étagère.

    Au moment de l'apéro, Alice est venue me voir, un peu gênée mais honnête : "Mamie, z'ai cassé le papa Noël".

    Je lui ai répondu : "C'est pas grave, je vais le réparer", mais ce n'était pas aussi simple car elle avait séparé la tête et le corps.

    J'ai fini par le reconstituer et le poser à côté de celui d'Alban.

    Alice est venue prendre le sien et elle ne s'est pas trompée : "Alban a perdu la main"...

     

    Dans l'après-midi Alice avait préparé avec son papa des cookies pour le vrai Papa Noël.

    Alban et elle, en ont laissé quelques uns, avec un verre de lait, et leurs petits chaussons, près du sapin avant d'aller se coucher. Ils étaient fatigués après avoir bien joué ensemble et ils ont bien dormi.

     

    Le lendemain matin, ils sont arrivés près du sapin en se tenant par la main, comme deux petits lutins, émerveillés par les cadeaux déposés sous leurs petits chaussons...

    Les cookies et le lait avaient disparu.


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  • Tout au long du printemps et de l'été 2017, j'ai photographié les oiseaux qui viennent picorer dans mon jardin :  moineauxmésanges charbonnièresmésanges bleues, sitelles torchepot, merles, tourterelles, rouge-gorge et bébés mésanges...

     

    Voici cette fois la sitelle torchepot.

     

    La sitelle torchepot, de la taille approximative d'un moineau, est facilement identifiable grâce à son long trait oculaire noir, à son bec large et puissant et à sa queue courte. La couronne, la queue et le dessus sont bleu-gris, plus foncé sur les ailes. Le dessous est brun-orange, virant à l'orange foncé... 

    Elle parcourt les troncs d'arbres et les branches, tête à l'envers ou à l'endroit, suspendue grâce aux longues griffes de ses pattes.

     

    J'avais repéré cette sitelle avec sa plume ébouriffée. C'est devenu un habitué du jardin et de ses mangeoires...

     

     

    Cliquez sur les photos pour les agrandir et les faire défiler

     

    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...
    Les oiseaux de mon jardin : la sitelle torchepot...

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  • Le 24 décembre au matin, je suis partie fêter Noel chez mon fils Aurélien et sa petite famille. En allant acheter le journal avant de partir, j'ai aperçu de belles couleurs au-dessus du Bassin. 

    J'ai pris alors quelques photos, dont celle qui m'a servie pour la petite énigme d'avant-hier avec  la soucoupe volante ..

    Ciel du 24 décembre 2017 au-dessus du Bassin d'Arcachon...
    Ciel du 24 décembre 2017 au-dessus du Bassin d'Arcachon...
    Ciel du 24 décembre 2017 au-dessus du Bassin d'Arcachon...
    Ciel du 24 décembre 2017 au-dessus du Bassin d'Arcachon...
    Ciel du 24 décembre 2017 au-dessus du Bassin d'Arcachon...
    Ciel du 24 décembre 2017 au-dessus du Bassin d'Arcachon...

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  • Je vous ai demandé hier : "à travers de quoi j'ai pris cette photo ?", le 24 décembre au matin, en partant fêter Noel chez mon fils Aurélien et sa petite famille :

     

    Personne n'a trouvé la bonne réponse mais beaucoup étaient très près.

    La réponse la plus proche :

    - un dôme vitré : Rose, Mistigris

    et les autres :

    - un igloo : Rose,

    - un globe : autobiographe, Khanel

    - un globe de lampe : Colette, Ely,

    - une boule à neige géante : Cathycat, Plume fragile, Chevrette,

    - une bulle de Noël géante : Miss Fuji, 

    - une fenêtre : Khanel, 

    - une sorte de gyrophare : Jill Bill, 

    - une grosse bulle... de champagne : Josette, Maria-Lina, 

    - un verre de lunettes : Josiane, 

    - une cloche : Christian, 

    - une goutte d'eau : Roguidine, Durgalola

    - le haut d'un kiosque à journaux : Mireille

    - un couvercle de thermos : Mistigris

    - le toit d'un immeuble : Durgalola

    - un chapiteau transparent : Françoise

     

    Il s'agissait en fait du dôme de la soucoupe volante qui se trouve près de la jetée, à Arès et dont je vous ai déjà parlé.

     

     


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