• Je choisis souvent le tiramisu (dessert traditionnel de la cuisine italienne) lorsque je mange dans une pizzeria mais je pensais que c'était compliqué à préparer et n'avais jamais essayé.

    En cherchant une recette sur Marmiton, j'ai trouvé celle du tiramisu. Elle avait l'air simple et bien expliquée alors je me suis lancée.

    Ingrédients pour 4 personnes :

    • 2 oeufs
    • 50 g de sucre roux
    • 130 g de mascarpone
    • 1/2 sachet de sucre vanillé
    • 16 biscuits boudoir (à la cuillère dans la recette initiale)
    • 1 cuillère à café de rhum (marsala dans la recette initiale)
    • 25 cl de café fort
    • 15 g de cacao amer

     

    La recette :

    1. Séparer les blancs des jaunes d'oeuf
    2. Monter les blancs en neige dans un saladier
    3. Dans un autre saladier verser les jaunes d'oeuf, le sucre roux, le sucre vanillé, le rhum et le mascarpone et mélanger avec un fouet
    4. Ajouter les blancs en neige en les incorporant délicatement avec une spatule
    5. Mouiller les boudoirs dans le café fort et les déposer dans les coupes individuelles (ou dans le plat unique) pour tapisser le fond (deux par coupe pour moi)
    6. Déposer dessus une couche de mélange crémeux, puis à nouveau des boudoirs et une autre couche de mélange crémeux
    7. Saupoudrer de cacao en poudre
    8. Mettre au réfrigérateur pendant au minimum 4h

    J'ai triché en dégustant une coupe au bout de 2h seulement...


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  • J'ai adoré le livre de Pierre Lemaître : "Au revoir là-haut" et j'avais très envie de voir son adaptation au cinéma par Albert Dupontel.

    J'ai été le voir hier soir et j'ai trouvé le film aussi époustouflant que le roman.

     

    Ce film d'Albert Dupontel est sorti en octobre 2017. Il dure 1h 57 et les rôles principaux sont interprétés par Nahuel Perez Biscayart (Edouard Péricourt),  Laurent Lafitte (Pradelle), Albert Dupontel (Albert), Niels Arestrup (Marcel Péricourt), Emilie Dequenne (Madeleine Pericourt), Mélanie Thierry (Pauline), Héloïse Balster (Louise)

    • Résumé :  Novembre 1919. Deux rescapés des tranchées, l'un dessinateur de génie, l'autre modeste comptable, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. Dans la France des années folles, l'entreprise va se révéler aussi dangereuse que spectaculaire.

     

    • Mon ressenti :
    •  C'est le meilleur film que j’ai vu depuis longtemps, un de ceux qui me marquera.cette année. Dupontel a un indéniable talent de cinéaste et d’acteur. Dans ce film il nous offre des émotions à chaque instant, et de nombreux personnages attachants.
    • Son cadrage est particulièrement émouvant dans les premières minutes, sur le front, derrière un chien, au ras du sol, puis dans les tranchées. Lorsque les obus s'enfoncent dans la terre, le spectateur se sent au coeur de l'action.
    • Sa reconstitution du Paris en 1920 est impeccable : petits métiers, costumes, voitures, etc...
    • Les masques réalisés et portés par Edouard devenu "gueule cassée" sont sublimes, surtout celui où il a reproduit son visage d'avant et le dernier en forme de tête d'oiseau.
    • Les acteurs sont excellents : Dupontel est un Albert Maillard timide et craintif, Laurent Lafitte joue à merveille l'exécrable Pradelle. Biscayart est un Edouard fantasque, aux yeux bleus fascinants. La fillette qui joue Louise, Héloïse Balster, est naturelle et attachante. 
    • C'est virevoltant, inventif, endiablé...
    • J'ai ri et j'ai été émue en permanence.
    •  
    • Chapeau bas à Albert Dupontel qui ajoute un brin de fantaisie au roman déjà époustouflant !

     

    • Ma note : 9,5/10

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  • Je vous ai déjà parlé de cette petite chapelle, située sur la presqu'île du Cap-Ferret, au bord du Bassin d'Arcachon ("Son histoire", "Son aspect extérieur", "L'intérieur", "Ses pins parasols").

    Lors de mon retour nocturne du 6 novembre je me suis arrêtée pour photographier la lune et je me suis aperçue que la petite chapelle était éclairée.

    Il était 22h et il faisait froid.

    J'étais seule pour admirer cette mise en lumière :

    La chapelle de la Villa Algérienne mise en lumière...
    La chapelle de la Villa Algérienne mise en lumière...
    La chapelle de la Villa Algérienne mise en lumière...

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  • En octobre 2017, j'ai visionné 4 films sur la médiathèque numérique :  "L'amant double", "Aurore", "Une vie ailleurs" et "Rodin".

     

    - "L'amant double", film franco-belge de François Ozon, sorti en mai 2017, avec Marine Vacht, Jérémie Renier, Jacqueline Bisset. Durée : 1h47 

    • Résumé :      Chloé, une jeune femme fragile, tombe amoureuse de son psychothérapeute, Paul. Quelques mois plus tard, ils s’installent ensemble, mais elle découvre que son amant lui a caché une partie de son identité.

     

    • Mon ressenti : Ce film est présenté comme un thriller érotique.
    • Chloé tombe amoureuse de son psychothérapeute et emménage avec lui un peu après. Elle découvre alors que Paul ne lui dit pas toute la vérité, croise son frère jumeau, Louis, psychothérapeute lui aussi.
    • Louis, violent et malsain devient son amant.
    • Quelle est la part de vérité et celle du rêve ? Les deux frères (joués par Jérémie Rénier, ne se distinguent que par la coiffure légèrement différente.
    • J'ai été un peu perdue et me suis ennuyée. Les scènes de sexe sont très hard.

     

     

    • Ma note : 4/10

     

     

     

     

    - "Aurore", film français de Blandine Lenoir, sorti en avril 2017, avec Agnès Jaoui, Thibault de Montalembert, Pascale Ardillot. Durée : 1h29 

    • Résumé :      Aurore est séparée, elle vient de perdre son emploi et apprend qu’elle va être grand-mère. La société la pousse doucement vers la sortie, mais quand Aurore retrouve par hasard son amour de jeunesse, elle entre en résistance, refusant la casse à laquelle elle semble être destinée. Et si c’était maintenant qu’une nouvelle vie pouvait commencer ?

     

    • Mon ressenti : Aurore, quinquagénaire, vient de perdre son emploi de serveuse. Elle souffre de bouffées de chaleur et se sent vieillir. Ses deux filles sont sa raison de vivre, jusqu'à ce qu'elle retrouve un amour de jeunesse, Christophe.
    • Agnès Jaoui (Aurore) est lumineuse et Thibault de Montalembert (Christophe) est discret et charmant.
    • Les seconds rôles (les filles et les copines) sont très bien joués.
    • J'ai apprécié les relations mère-filles, tumultueuses. Je me suis sentie proche d'Aurore, de ses préoccupations face à la ménopause, au chômage, son entêtement à reconquérir Christophe.

     

     

    • Ma note : 9/10

     

    - "Une vie ailleurs", film français d'Olivier Peyron, sorti en mars 2017, avec Isabelle Carré, Ramzy Bedia, Maria Duplaa. Durée : 1h36

     

     

    • Résumé :      C’est en Uruguay que Sylvie retrouve enfin la trace de son fils, enlevé il y a quatre ans par son ex mari. Avec l’aide précieuse de Mehdi, elle part le récupérer mais arrivés là-bas, rien ne se passe comme prévu : l’enfant, élevé par sa grand-mère et sa tante, semble heureux et épanoui. Sylvie réalise alors que Felipe a grandi sans elle et que sa vie est désormais aille

     

    • Mon ressenti : Isabelle Carré et Ramzy sont excellents tous les deux dans ce film. Ramzy nous a plus habitués à des rôles comiques. Ici c'est un homme tendre, humain, respectueux des autres, très attachant.
    • Il joue Mehdi, assistant social, ami de Sylvie parti à sa demande chercher Felipe, son fils en Uruguay.
    • Felipe est très heureux là-bas, entre sa grand-mère et sa tante, aimantes et attentionnés et ses copains. Enlevé par son père il y a 4 ans il croit sa mère morte.
    • Sylvie va devoir composer avec cette réalité qu'elle n'imaginait pas.

     

    • Ma note : 9/10

     

     

    - "Rodin", film français de Jacques Doillon, sorti en mai 2017, avec Vincent Lindon, Izia Higelin, Séverine Caneele. Durée : 2h01 

     

    • Résumé :     À Paris, en 1880, Auguste Rodin reçoit enfin à 40 ans sa première commande de l’Etat : ce sera La Porte de L’Enfer composée de figurines dont certaines feront sa gloire comme le Baiser et le Penseur. Il partage sa vie avec Rose, sa compagne de toujours, lorsqu’il rencontre la jeune Camille Claudel, son élève la plus douée qui devient vite son assistante, puis sa maîtresse. Dix ans de passion, mais également dix ans d’admiration commune et de complicité. Après leur rupture, Rodin poursuit son travail avec acharnement. Il fait face et au refus et à l’enthousiasme que la sensualité de sa sculpture provoque et signe avec son Balzac, rejeté de son vivant, le point de départ incontesté de la sculpture moderne. 
      À 60 ans, enfin reconnu, il devient le sculpteur le plus célèbre avec Michel-Ange.

     

    • Mon ressenti : Ce film nous permet de découvrir quelques sculptures de Rodin, mais à part cela est plutôt raté.
    • Il n'y a pas d'histoire. Les acteurs principaux marmonnent : les dialogues sont inaudibles.
    • Rodin est un artiste égocentrique, qui vit avec deux femmes et profite de ses modèles qui posent nues.
    • Camille Claudel n'est pas plus attachante : jalouse du succès de Rodin...
    • Bref on n'entend rien et on n'apprend pas grand chose sur la vie de Rodin...

    ​​​​​​​

     

    • Ma note : 4/10

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  • Je ne connaissais ni l'auteur, ni le titre. Ce thriller m'a été prêté par  Babou, de l'apéritif littéraire au Cap-Ferret.

     

    Informations pratiques : sorti en avril 2013 aux éditions Michel Lafon. 360 pages

     

    L'auteur : "Code 93" est le premier roman d'Olivier Norek, lieutenant de police à la Section enquête et recherches du SDPJ 93 qui sert de décor à son récit.

     

    La 4ème de couverture :

    Un cadavre, émasculé, qui rouvre les yeux sur la table d'autopsie. Un portable qui se met à sonner dans le corps d'un jeune toxico, mort de brûlures inexplicables. Malgré quinze ans de terrain en Seine-Saint-Denis, Victor Coste, capitaine de police, se prépare au pire.

    Et que penser de ces lettres anonymes qui dessinent une première piste : celle d'un mystérieux dossier, le «Code 93» ?

    Une piste qui, des cercles huppés parisiens aux quartiers déshérités, fera franchir à Coste les limites du périphérique, et de la raison...

     

    Mon ressenti :

    Victor Coste est un flic blessé par la vie et intègre, à la tête d'une petite équipe aussi motivée que lui et très soudée, la section "Crimes" du SDPJ (Service Départemental de Police Judiciaire) de la Seine-Saint-Denis (93).

    Au fil d'une enquête sur des crimes sordides il va découvrir une opération secrète baptisée "Code 93", dans laquelle son ami et ancien adjoint, Mathias Aubin est impliqué.

    J'ai aimé découvrir les personnages de ce polar : Victor, Ronan le dragueur, Johanna le camion, Sam la tique, le docteur Léa Marquant : une équipe très soudée, ainsi que Farel, le journaliste et Simon, le détective.

    J'ai découvert les coulisses de la Police judiciaire d'un département "difficile" où la criminalité est particulièrement importante. Trop pour certains...

    L'intrigue est prenante. Plusieurs affaires sont liées : drogue, prostitution, vengeance.

    Malgré quelques scènes un peu hard, j'ai beaucoup apprécié ce polar, lu en quelques heures.


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