• Lors du stage photo au parc ornithologique du Teich (Gironde), le photographe qui nous encadrait voulait nous montrer "un gorge-bleue" qu'il avait déjà photographié plusieurs fois déjà.

    Nous ne l'avons pas vu.

    J'ai photographié d'autres oiseaux que je vous montrerai : avocettes, mouettes rieuses, échasses, cormorans, grèbes huppés, hérons cendrés, des cigognes et une bergeronnette printanière :

    Une bergeronnette printanière, au Parc du Teich...
    Une bergeronnette printanière, au Parc du Teich...
    Une bergeronnette printanière, au Parc du Teich...

    La bergeronnette printanière d'Europe centrale, Motacilla flava flava (race type), de la famille des passereaux, a le dessus de la tête gris, bien séparé de l'entourage plus sombre des yeux par un sourcil blanc. La femelle, en général, est plus claire avec une gorge blanchâtre, un tête gris-jaune sans  sourcil. Les jeunes sont brun-jaune avec des taches sombres sur la gorge, taches groupées en ligne transversales. 

    Source : http://www.oiseaux.net/oiseaux/bergeronnette.printaniere.html

    Il devait donc s'agir d'UN bergeronnette...


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  • Hier, nous sommes allés nous promener à Arcachon avec mon frère, sur les belles plages du Bassin dont nous ne nous lassons pas.

    Hors saison, il est facile de se garer dans un parking sous les pins, à une centaine de mètres de la plage Pereire.

    Ce parking est sur une petite colline et en descendant vers la plage, la vue est superbe, sur le Bassin et la presqu'île du Cap-Ferret en face.

    Le phare et la jetée de Belisaire se distinguent au loin :

     

    A la pêche aux coques, à Arcachon...
    A la pêche aux coques, à Arcachon...
    A la pêche aux coques, à Arcachon...

    C'était marée basse : les bancs de sable étaient découverts, et nombreux étaient les pêcheurs à pied : ramassant couteaux, coques ou palourdes.

    Il y avait plusieurs classes découverte...

    A la pêche aux coques, à Arcachon...
    A la pêche aux coques, à Arcachon...
    A la pêche aux coques, à Arcachon...
    A la pêche aux coques, à Arcachon...

    Cette plage de sable fin est très agréable car bordée de pelouses avec des bancs, de l'ombre, des douches et des sanitaires : l'idéal pour les familles et ces classes vertes qui peuvent pique-niquer à l'ombre.

    Une piste cyclable et une promenade bien entretenues permettent de circuler le long de la plage.

    Nous avons ramassé des coques. Ces petits coquillages se trouvent sous les pieds, très facilement. On sent une petite masse et il suffit de se baisser pour les ramasser.

    Il y a souvent des "nids". Lorsque l'on trouve une coque, il y en a souvent plusieurs à côté, enfouies dans le sable.

    Les coques se préparent en salade ou en accompagnement de riz ou de pâtes.

    Le seul souci c'est qu'il faut les laver dans plusieurs bains pour les faire dégorger et recracher sable et petits crabes dont elles se nourrissent...

    A la pêche aux coques, à Arcachon...

    Après le déjeuner, l'eau était remontée et les bancs de sable se sont recouverts peu à peu.

    L'eau était un peu fraîche mais le bain délicieux...


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  • En mai j'ai lu ces livres :

    "La zone d'intérêt" de Martin AMIS (emprunté à la médiathèque)

    L'auteur : Martin Amis est un romancier Anglais, maître dans l'art de questionner notre morale et les excès de l'Occident.

    Informations pratiques : paru en 2015. 405 pages

     

    La 4ème de couverture :

    La météorologie du coup de foudre ou comment faire basculer l’ ordre dans un système allergique au désordre.
    Comment explorer à nouveau la Shoah sans reprendre les mots des autres ? Comment oser un autre ton, un regard plus oblique ? En nous dévoilant une histoire de marivaudage aux allures de Monty Python en plein système concentrationnaire, Martin Amis remporte brillamment ce pari. Une manière habile de caricaturer le mécanisme de l’horreur pour le rendre plus insoutenable encore.

     

    Mon ressenti : J'ai lu ce livre jusqu'au bout en ayant plusieurs fois envie de m'arrêter.

    Ce roman se déroule pendant la seconde Guerre mondiale dans un camp d'extermination double d'Auschwitz, avec trois personnages principaux qui alternent la narration, et donc les points de vue :

    - Paul Doll, le commandant du camp, double de Rudolph Höss, un fonctionnaire allemand, exécuteur avec 2 buts : éliminer le maximum de déportés et retrouver les grâces de sa femme, Hannah

    - Szmul, un détenu juif double de ces millions de malheureuses victimes de cette haine sans limite. C'est le sonderkommando le plus triste du monde qui espère en se faisant remarquer le moins possible, vivre suffisamment longtemps pour témoigner de ce qu'il a vu.

    - Angelus, neveu de Borman, a pour mission de faire tourner la machine de guerre , en utilisant les déportés dans son usine (Auschwitz est une zone d'interêt et doit être rentable à tout point de vue). Il n'a qu'un but : trousser le plus de femmes possible jusqu'à ce qu'il tombe amoureux d'Hannah, la femme du commandant.

    Pendant que des milliers d'êtres humains sont exterminés, les officiers et exécuteurs Allemands boivent, mangent, assistent à des concerts et des pièces de théâtre, entre deux "arrivages".

    J'ai été jusqu'au bout pour voir où l'auteur voulait nous emmener, mais je n'ai pas compris.

    Même l'ébauche d'histoire d'amour entre Angelus et Hannah ne se concrétise pas.
    Les faits racontés sont véridiques et effroyables. Et l'écriture est perturbante avec une débauche de termes allemands, pour désigner l'anatomie féminine aussi bien que les rôles de chacun.

    Bref, un livre glaçant.

     

    - "Un ange cornu avec des ailes de tôle" de Michel Tremblay (prêté par Cathycat du blog "La new cathzette"

     

     

    L'auteur : Michel Tremblay est un écrivain Québécois auteur d'une quarantaine de romans.

    Informations pratiques : paru en 2000. 285 pages

     

    La 4ème de couverture :

    Dans le Montréal populaire des années cinquante, Michel Tremblay, par la magie des mots et le jeu des signes, découvrait qu'au fond des livres bat le coeur du monde. Dans la compagnie de SaintExupéry, Eschyle, Jules Verne, Victor Hugo, Gabrielle Roy, il entrait en littérature - avec la complicité de sa mère, cette Rhéauna aux reparties si savoureuses qui allait devenir la Grosse femme des Chroniques du Plateau Mont-Royal. Après les Vues animées et Douze coups de théâtre, voici donc Un ange cornu avec des ailes de tôle, troisième tome des souvenirs de Michel Tremblay. Et ainsi se poursuit et s'amplifie, à travers la mémoire, un véritable chant d'amour à l'unique passion d'une vie : les livres.

     

    Mon ressenti :

    La découverte de la littérature par un enfant québécois m'a intéressée, et rappelé mes propres découvertes, et ma soif absolue de lecture.

     

    Ses relations avec sa grand-mère paternelle qui lit beaucoup elle aussi et sa mère sont bien campées.

    J'ai quand même trouvé des longueurs...

     

    Un extrait :

    Qui n'a jamais lu une histoire à sa grand-mère le jour de ses neuf ans ne connait rien du bonheur !

     

     

     


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  • Lors du stage photo dans la réserve ornithologique du Teich, j'ai photographié, vers la fin du parcours deux cigognes dans leur nid, tout en haut de grands pins :

    Cigognes et cigogneaux au Parc du Teich...

    Dans le nid de droite, il y avait deux cigogneaux :

    Cigognes et cigogneaux au Parc du Teich...
    Cigognes et cigogneaux au Parc du Teich...
    Cigognes et cigogneaux au Parc du Teich...
    Cigognes et cigogneaux au Parc du Teich...

    J'aurais aimé survoler le nid et les voir de plus près...

     

     

    Publié dans la communauté "Douceurs et beautés du Sud-Ouest"


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  • Je suis très contente de ce titre. Ce pourrait être celui d'un roman, ne trouvez-vous pas ?

    L'idée m'est venue une nuit où je ne dormais pas.

    Certains le savent : j'ai deux chats qui sont frère et soeur : Squirel et Ecureuille, de très bonne compagnie tous les deux.

    Depuis 4 ans, le mâle, Squirel, se gratte jusqu'à se faire saigner.

    Au début c'était près de l'oeil droit. Le vétérinaire consulté lui a fait des points, donné des médicaments : antiseptique et pommade cicatrisante, et prescrit le port de la collerette.

    Pauvre Squirel avec son entonnoir sur la tête, se cognant partout...

    La plaie ne guérissait pas malgré la pommade cicatrisante : à force d'y toucher elle ne séchait pas.

    Et dès qu'elle commençait à cicatriser un peu et que j'enlevais la collerette, il recommençait à se gratter.

    "Il ne faut pas enlever la collerette tant que les poils n'ont pas repoussé", m'a dit le vétérinaire.

    J'ai remis la collerette, mais dès que ça commençait à cicatriser et le gratter il réussissait à s'en débarrasser.

    J'ai vu 4 vétérinaires, acheté différents médicaments, testé ceux conseillés par les aminautes, et puis j'ai abandonné la collerette.

    La plaie a cicatrisé mais il s'en est fait d'autres.

    Depuis plusieurs mois c'est autour du cou. Dès que les plaies commencent à sécher il recommence à les gratter.

    Alors j'ai essayé les bandes Velpeau que je lui enroule autour du cou et attache avec un petit noeud. c'est léger et l'empêche de se gratter, mais problème : ça finit toujours par se détacher et il en sème partout.

    La nuit où je ne dormais pas j'ai pensé à lui tricoter une sorte de petite écharpe, et puis j'ai songé à un pull en soie avec col roulé, longtemps porté, qui venait de se déchirer. J'ai coupé le col et l'ai passé autour du cou de Squirel, en faisant deux tours.

     

    Depuis deux jours Squirel se balade avec ce col roulé qui protège ses plaies et ne peut plus les gratter. Je ne mets rien, même pas d'eau de rose.

    Le col roulé ne le gêne pas pour manger ou boire, ni faire sa toilette.

     

     

    Mon chat porte un col roulé !
    Mon chat porte un col roulé !

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