• J'ai recréé en avril 2015 cette Communauté qui avait eu du succès sous l'ancienne version d'Overblog avec plus de 300 membres.

    J'aime bien la formulation que j'avais trouvée en juillet 2009 :

    "Dans un monde en crise il faut tâcher d'embellir au maximum notre vie et autant que possible celle des autres. Nous ne pouvons pas rendre le monde meilleur mais nous pouvons être meilleurs dans le monde. "

    Déjà 39 blogs m'ont rejointe et 639 articles ont été postés.

    Voici les huit blogs qui nous ont rejoints en août et septembre 2015 :

    Lilas du blog : "Lilas des prés". Sa motivation pour nous rejoindre : "J'aime la vie et j'en essayé plusieurs,toujours a tendre vers le nouveau et le meilleur de l'homme, merci de m’accueillir."

     

    Sylvie du blog "18ity's-Si vous pouvez l'imaginer". Sa motivation : "Une vraie passion pour tout ce qui est artisanat d’art et spiritualité, recherche du mieux-être grâce au moins-avoir. Se recentrer sur le principal et le plus précieux : ce que l’on a au fond de soi et l’exprimer à travers des arts pluriels…La route vers le Soi !"

     

    Marie du blog "Marie vivante". Elle nous dit : "Embellir la vie, c'est une excellente démarche ! Faire avec tout ce qu'on a et apporter un petit plus à ce qui est. C'est ce que j'essaie de faire avec mon blog."

     

    Catcent du blog "Catcent". Cet aminaute Canadien appartenait déjà à cette Communauté dans son ancienne version et a donc souhaité nous rejoindre. Il nous parle sur son blog de sa région, ses passions et ses visiteurs nocturnes...

     

    - Nicolas du blog "Vivre en poésie". Il nous dit : "Bonjour et merci pour votre démarche. Je souhaite rendre plus accessible mon travail grâce aux communautés, il est offert aux formats papier et e-book sur mon blog de diffusion gratuite.

     

    -  le blog "Mon arbre aux violettes". Sa motivation : "Créative, j'aime amener les autres à poser un regard positif sur la vie et à prendre le temps de penser ...La vie est ce que nous avons de plus précieux et parfois nous passons à côté de petits bonheurs tous simples parce que nous n'avons pas pris le temps de nous poser et de poser notre regard sur les choses ..."

     

    Marjorie du blog "Marjorie". Elle nous dit :"Bonjour je suis conteuse, c'est donc mon travail de conteuse que je présente... mon travail qui est d'apporter à ma façon de la beauté avec des contes venus des 4 coins de la planète... d'apporter du rêve et de l'espoir..."

     

    - le blog "Blouse à part".  Sa motivation : "bonjour mon blog s'appelle blouse-a-part: Jeune médecin du travail , je cherche à rendre visible une activité souvent obscure ... à mes yeux, et à d'autres..." 

     

     

    Bienvenue à ces 8 blogs !

     

    Si vous ne connaissez pas encore ces blogs, je vous invite à aller les visiter...

    Et si, blogueur sur OB, vous souhaitez nous rejoindre, n'hésitez pas en cliquant sur le nom de la communauté ci-dessous :

    Embellissons nous la vie


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  • A Marseille deux étudiants viennent d'ouvrir "Siest'in", restaurant où l'on peut manger et boire, puis faire une petite sieste avant de repartir travailler, dans une cabine individuelle, pour 5 € la demi-heure.

    L'idée leur est venue à la fin de leurs études, leurs camarades réclamant un endroit pour faire la sieste après des cours ennuyeux.

    Les cafés se diversifient : cafés poussettes pour les jeunes parents, café ping-pong à Paris pour se détendre après café ou repas et maintenant ce "Siest'in".

    Parmi mes collègues, nombreux sont ceux qui apprécieraient de pouvoir faire une petite sieste après le repas. Une de mes copines de déjeuner rentre parfois chez elle pour pouvoir dormir un peu...

    Pour ma part, je ne fais jamais la sieste : j'ai du mal à m'endormir même le soir, alors impossible en pleine journée...

    J'aime bien lire après le déjeuner, quand je le peux, au soleil si possible...

    Pour ceux qui penseraient à une sieste crapuleuse, ce n'est pas le lieu...

    Siest'in est situé en plein Marseille, selon le reportage télé. Les clients apprécieront sans doute ce nouveau service, surtout les cadres stressés, et les commerciaux fatigués...

     

    Gif pris sur le net

    Gif pris sur le net


    8 commentaires
  • Pour ce 67ème Café Thé, contemplez cette photo prise dans un vignoble de Buzet (Lot-et-Garonne) et racontez nous ce que vous voulez autour des vendanges, du raisin ou du vin...

    Participez au Café Thé n° 67 - La saison des vendanges...

    Les consignes : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Que vous soyez blogueur ou pas, envoyez moi votre participation avant le 31 octobre 2015 à ecureuilbleu33@live.fr...

    Au plaisir de vous lire...

     

     

    Amusez vous bien !


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  • Pour ce 66ème Café Thé, je vous ai proposé un thème sur la rentrée scolaire : racontez-nous un souvenir d'école, à votre façon, en mots ou en images... Vous pouvez l'avoir vécu en tant qu'élève, parent ou enseignant...

     

    Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez...

     

    Vous êtes 9 à avoir participé.

    Il s'agit maintenant de voter pour vos 3 participations préférées en utilisant le module de vote en bas à gauche, jusqu'au 31 octobre 2015.

     

    Participation n° 1 :

     

    A mon l'école, régnait une grande discipline. L'instituteur, Mr Coste était seul pour jusqu'à cinquante-deux élèves avec toutes les classes de primaire plus trois classes de fin d'études pour les élèves de douze à quatorze ans; Quatorze ans était l’âge minimum obligatoire. Ainsi, avec cinquante-deux élèves répartis en huit classes, Mr Coste avait un travail énorme et pour préparer et corriger le tout, il devait travailler beaucoup plus de quarante heures par semaine.
    Il se faisait assister de sa femme pour surveiller les récréations, car très consciencieux, il profitait des récrés pour aider quelques élèves qui n'avaient pas bien compris ou surveiller ceux qui étaient punis. Car pour tenir tout ce petit monde, il était très sévère. Pleuvaient toutes sortes de punitions: -derrière le tableau -à genou derrière le tableau -les mains levées derrière le tableau... toutes sortes d'exercices suivant la faiblesse de l'élève, mais surtout des lignes: cinquante, cent, cinq cent et même mille lignes: oui, oui, je dis bien mille lignes. Il faut presque l'année pour finir une telle punition. C'était très rare mais il ne cédait pas et chaque semaine il fallait faire signer par les parents et par lui-même. Quelque fois, il annulait la fin mais pas avant d'avoir fait 70 ou 80% du travail. Pour ma part, ma plus grande punition a été: A toujours, je mettrais toujours un s. cinq cent fois. De toute ma vie, à toujours j'ai toujours mis un s. Il arrivait que les punitions soient injustes. Un jour il expliquait la chlorophylle et a demandé: « connaissez-vous des végétaux qui ne soient pas verts? » J'ai répondu: « oui! Chez moi il y a un arbre qui a les feuilles marron». Toute la classe c'est moquée de moi et j'ai reçu une grande punition car je ne connaissais pas le mot POURPRE, j'aurais dû dire: « il y a un noisetier pourpre. » 
     
     

    Participation n° 2 :

    Au temps du banc...
     
    Mais de mes années d'école
    Je n'ai rien gardé 
    Ce n'était que des paroles
    Pour gâcher l'été...
     
    L'aimer ou pas
    On y passe tous et toutes
    Restent les souvenirs
    De classe, le banc, le tablier
    Les amies, les punitions
    Les devoirs, les leçons
    Le temps de la récré
    Ah ne plus rien retenir
    Temps aimé sans aucun doute
    Et à la cantine là le repas...
     
    La punition, les cent lignes
    Je n'osais lui dire à mère
    Affaire
    Trop indigne...
    Le soir, sur l'oreiller,
    Ni vue ni connue, en pyjama,
    Lieu certes saugrenu,
    Eh, eh
    J'écrivais ne dois plus faire ceci cela... !
     
    Ouf, pas de signature parentale
    Ils n'en ont rien su
    Quand ça me tombait d'ssus
    J'évitais ainsi aussi la baffe, pas mal !
     
     
    Participation n° 3 :
     
    La rentrée
    s'est faite en douceur.
    Bien sûr, il y eut des pleurs,
    Des "maman, reviens",
    Pleurés au creux des mains,
    des larmes déboulées
    sur des joues dépitées,
    des genoux écorchés,
    des doudous égarés...
    Et en fin de journée,
    dans une main crispée,
    un papier chiffonné:
    "Demain pour le goûter,
    les 6 ans de Salomé"
     
     
    Participation n° 4 :
     

    Après que nous ayons récité comme chaque matin le traditionnel « Notre père », l'institutrice s'assied sort de son cartable un paquet de copies. Elle les dépose sur son bureau et dit d'une voix froide : Je vais vous rendre vos rédactions « Racontez votre dernier Noël ». Comme à chaque fois, elle lit les écrits qui ont obtenu les meilleures notes. Après avoir lu 2 rédactions, elle me regarde d'un air hautain et sévère, s'empare de ma copie et débute sa lecture :

    « Le jour commence à poindre derrière les persiennes de métal rouillé, Je reste quelques minutes blottie bien au chaud sous la couverture écossaise, j'hésite quelques instants à quitter cette douce quiétude et affronter la fraîcheur matinale de la pièce mais je me souviens que c'est Noël aujourd'hui. Que vais-je avoir cette année ? Impatiente de découvrir mon cadeau. Cela fait plusieurs jours que je résiste à la grande envie de fouiller les placards du petit appartement. Je me lève et me dirige pieds nus sur le plancher froid vers la salle à manger. Au pied du sapin, je repère très vite mon paquet. Une boîte bien rigide recouverte d'un joli papier cadeau vert sur lequel des pères-noël sont imprimés. Je dénoue avec soin le ruban rouge, enlève le papier et découvre un coffre en bois clair vernis. Que peut-il contenir ? Je l'ouvre religieusement et découvre .... un microscope noir et de nombreuses lamelles de verre. Je n'ose pas y croire, me frotte les yeux. Serait-ce un rêve, On m'a offert le microscope dont je rêve depuis longtemps. Je me retourne, Papa se tient là derrière moi, me regarde comme à chaque fois avec tendresse et fierté. Je me précipite dans ses bras, l'embrasse. Je pose le coffret sur la table de la salle à manger et je sors le microscope. Que vais-je pouvoir observer. Papa va chercher une épingle, la nettoie avec de l'alcool et se pique le doigt, il dépose une goutte sur une lamelle de verre, l'étale et la recouvre d'une seconde lamelle. Il place le tout sous l'optique du microscope et me demande de regarder. Tout est flou, je règle la molette et soudain apparaissent de nombreuses cellules rondes grises et transparentes. C'est magique et merveilleux. Je prends conscience à ce moment là que nous sommes constitués de cellules et que chacune d'entre elle porte la vie.

    Je me souviendrai de ce matin la toute ma vie comme mon meilleur souvenir de Noël »

     

    Après avoir terminé la lecture, l'institutrice se lève de son bureau ma copie à la main emprunte l'allée centrale entre les pupitres et se dirige vers moi, elle jette la copie sur mon bureau en éructant :

     

    - "Mademoiselle, bien que cette rédaction soit très bien écrite et qu'il n'y ait aucune faute, vous aurez zéro car vous n'avez pas eu un microscope, vous avez menti par vanité"

     

    - "Je ne mens pas j'ai bien eu un microscope, je peux l'amener pour vous le prouver".

     

    - "Taisez vous immédiatement, vous devriez avoir honte, avouez que vous avez menti comment voulez vous que vos parents qui sont pauvres et qui ne peuvent payer votre scolarité puissent avoir les moyens de vous payer un microscope ? "

     

    Cette dernière phrase me transperce comme une blessure. Je ne sais quoi répondre à cette injuste humiliation publique. Toutes mes camarades me regardent, certaines avec un cruel air moqueur. Je ne pourrai même pas amener le microscope de peur qu'on réclame à mes parents de payer. Je préfère passer pour une menteuse. J'ai honte. Je retiens mes larmes mais je ne baisserai pas les yeux, Papa doit être fière de moi.

     

    Participation n° 5 :

     

    L’école du rêve
     
    "Vous me copierez deux cents fois cette phrase" dit le maître...
    Qui réveilla  brutalement Cannelle en plein cœur de son rêve.
    « Ca t’apprendra à rêver pendant que je parle ! »
    « Le rêve est pour la nuit, la journée pour l’école. »
    Se mit-elle à copier avec sa nature obéissante.
    Mais sa nature fantasque repartit dans un rêve,
    Réveil de son univers de phrases et de mots,
    Mots dits, maudits soient les contraintes
    De ma vie d’écolière qui me détourne
    De ma chaude bibliothèque
    Avec ses livres de voyages
    Et ses recueils de poèmes.

     

    Participation n° 6 :

     

    Dans le cartable du temps qui passe
     
    Dans le cartable du temps qui passe
    Retrouver la rentrée des classes
    Mes deux premières meilleures amies
    Le porte-plume et les copies
    Les petits cahiers à carreaux
    Et le début de tous mes mots
    Peurs et angoisses par milliers
    L’encre noire et les encriers
    Ma blouse neuve et colorée
    Les billes et les jeux effrénés
    Naissance de ma timidité
    La cour de récré ombragée
    Et ma première maîtresse d’école
    Que j’admirai comme une folle.
     
     
    Participation n° 7 :
     

    Souvenirs de maternelle
    Mettre des cailloux dans mes semelles
    Pour jouer à la demoiselle
    A la récré de manière informelle
    Maman en mettait de façon occasionnelle
    D'où venait ce cérémoniel ?
    C'était imprimé dans ma petite cervelle
    Je devais ressembler à une petite sauterelle
    Avec ma meilleure copine cette gestuelle
    Longtemps après je m'en rappelle
    Les talons hauts je ne suis plus une inconditionnelle
    De par mes affections en talon plat je chancelle
    Du haut de mes trois ans coquetterie je décèle
    Doux souvenirs qui m'interpellent

     

    Participation n° 8 :

     

    Cinq cents lignes

     

    Je sais son nom, Bonin, cette vieille s----e

    Qui giflait les enfants au cours élémentaire,
    Hurlant comme une folle et semant la terreur
    Dans l’âme des petits ; qui pissaient dans leurs lits,
     
    La nuit, de peur du lendemain et de ses cris.
    Moi qui étais si sage et si plein de candeur
    Qu’avais-je fait, grand dieu, pour braver sa colère ?
    Empoignant mes cheveux et, galope, galope,
     
    Les calottes pleuvaient, cavales sur mes joues.
    « Cinq cents lignes, cinq cents ! Pour demain, entends-tu ! »
    La tête me sonnait comme dans un beffroi,
    À deux pas de chez moi, j’en sanglotais encor.
     
    Dans le cahier ligné, crispé sur mon effort,
    Je commençais ma peine, comptant avec effroi
    Les pages qu’il faudrait et tout ce temps perdu
    Et ma main douloureuse, et mes paupières floues.
     
    Quand mon père est rentré au cœur de ce désastre
    J’étais près de cinquante, il dit « Ca suffira ! »
    Et fronçant le sourcil « Je t’accompagnerai,
    Demain, on verra ça ! » Mon souvenir s’arrête
     
    Au ciel de cet édit. Leur mains dessus nos têtes
    Ils furent notre abri et sont morts désormais,
    Parents qui nous juchaient si haut dedans leur bras
    Que nos regrets, parfois, recherchent tel un astre.

     

    Participation n° 9 :

     

    L'alerte incendie

     

    Je devais avoir 6 ou 7 ans. Mon instituteur était aussi mon père. C'était une classe unique, dans un petit village de campagne, avec une trentaine d'élèves du cours préparatoire au certificat d'études.

    Nous habitions juste au dessus des classes, mes parents, mon frère et ma soeur.

     

    Un matin, le maître s'est levé brusquement et a dit : "Il y a le feu. Il faut évacuer les locaux. Rangez vous en rang par deux et sortez tranquillement de la classe. Nous allons nous protéger sous le préau".

    J'ai obéi, et me suis rangée sagement, du moins dans la classe, mais dans l'entrée sur laquelle donnait l'escalier qui montait à notre appartement, j'ai voulu monter prévenir ma mère qui était là-haut.

    "Ce n'est pas la peine, a dit le maître-mon père. Sors avec les autres !".

    J'ai eu un moment de panique à l'idée qu'il ne voulait pas prévenir ma mère et qu'elle allait brûler.

    Mon frère et ma soeur étaient en maternelle, dans la seconde classe unique et je ne m'inquiétais pas pour eux puisqu'ils évacuaient aussi les locaux.

    "Maman, il y a le feu ! " ai-je crié.

    Ma mère est apparue en souriant, en haut de l'escalier, et mon père lui a dit "C'est un exercice d'alerte incendie..."

    Souvenirs d'école...
    Votez pour vos 3 participations préférées,
    en cochant d'abord les cases devant celles-ci avant de cliquer sur Voter
    Participation n° 1
    Participation n° 2
    Participation n° 3
    Participation n° 4
    Participation n° 5
    Participation n° 6
    Participation n° 7
    Participation n° 8
    Participation n ° 9

    Résultats

     


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  • Oh non, pas le nôtre, ni celui de nos enfants...

     

    ... mais une rencontre entre trois blogueuses Girondines, co-auteurs du roman "Le mariage" (écrit par 93 auteurs), dont les bénéfices sont intégralement reversés à l'association "Rêves" pour permettre de réaliser le rêve d'un ou plusieurs enfants malades.

    et Christian Seguin, grand reporter au journal Sud-Ouest, rédacteur de la rubrique "Les petites routes du bonheur" paraissant chaque samedi...

     

    J'avais déjà eu le plaisir de rencontrer Christian Seguin après lui avoir proposé de parler de ma recherche d'une bonne nouvelle par jour, pour sa rubrique hebdomadaire. C'était en avril 2014 et il avait publié un très joli article à la suite de notre entretien "La messagère de l'anti-crise".

    Quand Quichottine, initiatrice du projet a demandé de faire le buzz pour relancer les ventes, j'ai contacté Christian Seguin pour lui proposer le sujet : ce roman écrit par 93 blogueurs qui ne se connaissaient pas pour réaliser le rêve d'enfants gravement malades.

    C'était le 13 septembre et cela faisait 1 jour et 1 nuit que j'étais sortie de la clinique.

    Il m'a répondu que le sujet l'intéressait, que je lui fasse des propositions.

    J'ai cherché qui avait participé et habitait près de Bordeaux. Il y avait Cathycat du blog "New Cathzette" et M'Annette du blog "Scrap avec Annette".

    Quichottine, l'organisatrice et gestionnaire des "anthologies éphémères" ne pouvait pas venir, habitant trop loin mais elle m'a fourni la liste des blogueurs de Gironde : nous trois et Tricotine, que je n'ai pas réussi à joindre.

    Ne pouvant me déplacer j'ai organisé le rendez-vous chez moi, le mardi 29 septembre à 14h30.

     

    Ce n'était qu'un rendez-vous à 3 blogueuses qui ne se connaissaient pas et un journaliste, mais la magie a opéré car nous avions tous les 4 un point commun : le gout de l'écriture et de la lecture.

    Christian Seguin nous a interrogées, chacune à notre tour, sur nos motivations pour avoir participé à cet ouvrage commun et pour bloguer.

    C'était le fil conducteur mais nous avons beaucoup digressé...

     

    Et puis il y a eu le moment de la photo, car Christian Seguin a besoin d'une photo pour illustrer sa rubrique.

    L'endroit le plus classique, mon canapé, ne lui convenait pas. Nous avons essayé la banquette en bois avec ses coussins bleus. Il a pris quelques photos mais il y avait trop de lumière. Alors nous sommes sortis dans le jardin.

    Il n'y a plus aucune fleur et la gloriette en fer forgé mangée par la rouille est en train de s'effondrer, mais l'endroit lui a plu et nous avons eu droit à d'autres photos, dont certaines avec ma chatte Ecureuille dans les bras.

    Revenus à l'intérieur il nous a également photographiées, appuyées à ma bibliothèque qui dégorge, décorée d'un batik bleu ramené d'Afrique du Sud.

     

    "Allez, souriez, toutes les trois...", disait-il à chaque fois en souriant lui-même.

    Bien sûr nous avions toutes, sur chaque photo, un livre des Anthologies éphémères en mains.

     

    Finalement nous avons joué la séquence photo traditionnelle des mariages... Et nous avons bien ri et passé une excellente après-midi...

     

     

     

    Pour acheter le livre "Le Mariage", et contribuer à la réalisation du rêve d'un enfant gravement malade, cliquez ICI


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