• En début d'année, je vous avais parlé de la disparition des dernières cabines téléphoniques, programmée pour janvier 2017.

    Pierrette du blog "le blog de Pierrette Richard" avait vu des cabines transformées en "abri à livres" et Rose du blog "Rose63" suggérait aussi de les utiliser pour abriter des livres.

     

    J'ai vu dernièrement aux informations régionales des cabines transformées en boites à lire.

    A Albi (Tarn), Asnières-sur-Vègre (Sarthe), Salernes (Var) des cabines téléphoniques viennent d'être transformées en boites à lire.

     

    Des conventions sont signées entre Orange et les municipalités pour la mise à disposition gratuite de ces cabines qui sont ensuite équipées d'étagères, et d'une signalétique.

    Ces cabines transformées en micro bibliothèque participative retrouvent ainsi une nouvelle utilité, alors qu"elles auraient dû être broyées.

    Le phénomène devrait s'amplifier d'ici la fin de l'année et l'échéance de janvier 2017.

    Photo empruntée sur le net

    Photo empruntée sur le net


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  • Béa Johnson, expatriée Française aux Etats-Unis vient de publier "Zéro déchet" un livre, témoignage de son expérience et guide pour mettre en place le raisonnement Zéro déchet.

    Le but : faire des économies de temps et d'argent et préserver la planète.

    5 règles à respecter :

    1) Refuser ce dont on n'a pas besoin : le superflu, les objets gratuits, la publicité...

    2) Réduire ses besoins en adoptant un mode de vie simple et minomaliste. Se désencombrer des objets qui ne sont pas vraiment utiles : donner, vendre d'occasion, échanger...

    3) Réutiliser : remplacer tout ce qui est jetable par du réutilisable : sacs plastique, essuie-tout, mouchoirs en papier à remplacer par des sacs en tissu, des torchons, des mouchoirs en tissu. Acheter d'occasion.

    4) Recycler tout ce que l'on n'a pas pu refuser, réduire ou réutiliser

    5) Composter les déchets organiques (1/3 des déchets ménagers). En les transformant en compost on obtient du terreau.

    Béa fabrique elle-même ses produits de maquillage. Elle utilise comme produits nettoyants savon de Maseille liquide et vinaigre blanc...

    Ellee loue sa maison et son auto quand elle part en vacances, offre des expériences de vie à ses enfants (spectacle, abonnement à une activité) plutôt que des biens matériels, prépare des conserves, fait du tri dans ses placards et achète d'occasion...

    Elle a réussi a limiter ses déchets à un litre par an.

    Source : Article lu dans le magazine Féminin Vie Pratique 

     

    Bien sûr, je suis pour ce "Zéro déchet" mais en pratique je ne m'imagine pas jeter tout ce que j'ai accumulé au fil des années et qui ne me servira peut-être pourtant plus jamais


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  • J'avais entendu cette information à la radio puis je l'ai lue dans le joutrnal Sud-Ouest.

    Plus de 240 télésièges installés en 1979 à la station de ski de la Pierre Saint-Martin et démontés en avril ont été réservés par des clients du grand sud-ouest, vendus et emportés.

    nacelle2.jpg

     

    nacelles.jpg

    Photos de David le Deodic pour le journal Sud-Ouest

     

    Ces paniers biplaces appelés aussi "nacelles en gouttes d'eau" ont été vendus 50 € pièce. Samedi 26 et dimanche 27 avril les acquéreurs ont venus chercher leur "marchandise", armés de remorques et de petits camions. Certains en ont pris jusqu'à 5 !

    Que vont-ils en faire ? Les bras de suspensions élégants leur avaient valu leur nom de "goutte d'eau"et leur banc en bois étaient très appréciés.

    Ils serviront peut-être de balancelles, de bancs, de chassis pour pots de fleurs dans des jardins ou de fauteuils dans un salon...

    Cette vente ne financera pas leur remplacement (estimé à 14 millions d'euros) mais donne à ces nacelles une nouvelle vie.

    Je serais curieuse de voir dans quelques mois ce qu'ils seront devenus... 

    Peut-être en retrouvera-t'on sur "Le Bon coin" ou sur "Ebay" ?

    Pour ma part, le transport m'aurait rebuté mais l'idée d'avoir une nacelle de téléski -moi qui n'en n'ai jamais fait- dans mon jardin, à côté de ma gloriette m'aurait bien plu... J'y aurais installé plantes et bonsaïs...

    Et vous auriez-vous été tenté et si oui, comment l'auriez vous recyclée ?


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  • La ville de Boulazac (Dordogne), à l'est de l'agglomération Périgourdine devait investir dans une nouvelle station d'épuration capable d'absorber pour les trente ans à venir 36 000 équivalents habitants. Plutôt que d'opter pour une station classique, avec ses très inesthétiques cylindres de béton, la municipalité a choisi un procédé original baptisé  Organica, inventé et développé en Hongrie par OTV, filiale du groupe Veolia.

     

    Sous de grandes serres,  des plantes exotiques plongeant leurs racines dans les boues d'épuration se chargeront d'absorber une partie de la pollution. Ce procédé est particulièrement esthétique puisque seules dépassent du sol des feuilles vertes exubérantes et des fleurs aux multiples couleurs.

    Les travaux, d'un montant de 8,8 millions d'euros, devraient débuter cet été dans la zone industrielle. La station devrait entrer en service d'ici un peu plus de deux ans et s'intégrera dans un circuit pédagogique destiné aux enfants des écoles.

    Ce procédé a déjà été testé avec succès dans la stationd de traitement de Lude dans la Sarthe, mise en service en décembre 2009, et en Gironde à Ludon-Médoc (station d'épuration mise en servic en septembre 2012).  organica.jpgPhoto prise sur le site de la députée Pascale Got (http://www.pascalegot.fr/?p=6712)

     

     

    Ce système Organica, innovant et performant de traitement des eaux usées associe les derniers développements en matière d'ingénierie écologique et les technologies de traitement conventionnelles. Il  s'appuie sur des traitements par boues activées dans différents bassins placés en dessous de la serre, offre une qualité d'eau rejetée conforme aux exigences réglementaires et permet une économie d'énergie intéressante par rapport à une station classique.

     

    Pour en savoir plus sur le procédé :  

    http://www.veoliaeau.com/medias/dossiers/organica-traitement-eau.htm


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  • Il y avait au Jardin Public de Bordeaux un cèdre du Liban magnifique. cedre.jpg

    Photo Sud-Ouest

     

    Il avait été planté en 1858 et a été abattu en décembre 2012 car il était malade (décollements d'écorce, racines dévorées par un champignon...) et dangereux pour les promeneurs. 

    Depuis des sculptures ont été réalisées avec ses branches mortes et installées à sa place.

    Un coutelier de Bordeaux, Michel Saphores, a pris contact avec les services municipaux pour récupérer un peu de bois afin de réaliser les manches d"un couteau.La branche du cèdre a été débitée en plaquettes de 13 cm sur 3 tandis que les lames étaient forgées dans l'atelier de Thiers. Michel Saphores a réalisé l'assemblage après avoir poli puis découpé les plaquettes de cèdre, retravaillé les aciers et assemblé tous les éléments avec des vis, pour plus de longévité et de résistance. 300 couteaux sortiront de cet atelier. (Source : journal Sud-Ouest) 

     

    couteaucèdre 


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