• Pour ceux qui avaient aimé mon précédent article "Dimanche en famille chez les Alpaga", et fait connaissance avec Alpagounet, rencontré au zoo de la Palmyre en juillet 2009, puis apprécié "des nouvelles de la famille Alpaga" en mars 2010, "De bonnes nouvelles de la famille Alpaga", j'ai revu cette sympathique famille quand je suis passée au Zoo de la Palmyre (près de Royan, Charente-Maritime) le 11 juillet 2014.

    Les voici en famille :

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    Les adultes au pelage marron et noir sont couchés tandis qu'Alpagounet junior (en gris) fait le beau devant deux Alpagounettes (pelage blanc avec des tâches marron et de superbes bottes).

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    L'hiver ça doit tenir bien chaud, mais l'été...

    Alpagounet fait mine de ne pas regarder :

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    Il mâchouille un brin d'herbe, l'air de rien :

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    Un petit sourire pour la photo... Ou pour Alpagounette :

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    "Dis Maman, tu crois que je lui plais ? Je crois qu'il me regarde..."

    Mais Maman Alpaga a de quoi s'occuper avec le petit dernier toujours dans ses pattes...

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  • En rentrant de mon séjour à La Rochelle, après avoir assisté la veille aux Francofolies, je suis allée me promener au zoo de la Palmyre près de Royan. Je voulais voir les bébés guépards et les bébé makis nés quelques mois plus tôt.

    Je n'ai pas regretté ce petit détour sur le chemin du retour. Malgré le monde qui visitait le zoo ce jour-là et la fatigue de la veille je n'ai pas été déçue. Ce zoo est vaste (il faut prévoir au minimum 3 heures pour effectuer la visite) et bien entretenu. Les naissances y sont nombreuses.

    J'ai pu admirer des fennecs se dorant au soleil. J'aime bien ce petit renard du désert depuis que j'ai lu "Le petit Prince" de Saint-Exupéry.

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    Il s'agissait sans doute des bébés dormant à l'intérieur... 4 fennecs sont nés au zoo en mai. 

    Le fennec est un petit canidé évoluant dans le désert du Sahara et au nord du Sahel. Bien que ses effectifs ne soient pas précisément évalués, l'espèce n'est pas (encore) menacée. Les fennecs sont pourtant chassés à des fins commerciales, soit pour leur peau, soit pour être vendus comme animaux de compagnie. Ce qu'ils ne sont pas. (source : http://www.zoo-palmyre.fr/fr/news/naissance-de-quatre-fennecs)


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  • Au sens propre, et uniquement les vaches-animaux...

    Les autres, les vaches-humains plombent plutôt l'atmosphère...

    J'ai découvert cette information dans un article de Jean-Luc Eluard, rédacteur Cap-Sciences dans le Magazine du journal Sud-Ouest.

    D'abord en janvier, 90 vaches dans une atmosphère confinée ont fait exploser leur étable, par leurs émanations digestives de méthane.

    les explications : la vache est un ruminant : elle ne digère pas ses aliments d'un coup. Elle broute tranquillement des brins d'herbe, s'allonge et rumine. Les brins descendus dans un de ses 4 estomacs remontent vers la bouche et elle les mâche à nouveau pour les réduire encore. Ainsi en 6 à 8 h de rumination quotidienneelle produit environ 160 litres de salive.  Tout est ensuite renvoyé dans le rumen, l'un de ses estomacs où les aliments vont rester de 24 à 48 h, en étant décomposés par l'activité microbienne. Ce qui provoque une fermentation qu'elle évacue en rotant toute la journée. Elle émet alors du méthane, très combustible et fort contributeur de l'effet de serre. Le méthane absorbe 23 fois plus de rayonnement solaire que le CO2 : retient 23 fois plus la chaleur terrestre que le dioxyde de carbone.

    Une vache émet en moyenne 90 kilos de méthane par an, soit assez en une semaine pour faire rouler une voiture sur 100 kmw. Les 1,3 milliard de vaches sur la Terre émettent ainsi 18 % des gaz à effet de serre par leurs rots (et non par leurs pets ou leurs déjections).

    Des olutions ont chérchées par l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) pour diminuer ses émissions. Ajouter du lin à leur régime alimentaire permettrait de réduire l'émission de méthane de 20 %... Leurs émissions de gaz à effet de serre passerait à 14,4 %...

    Des chercheurs imaginent des systèmes permettant de récupérer le méthane dans leur rumen.

    Imaginez les vaches se déplaçant plus vite que les trains qu'autrefois elles regardaient passer sans bouger...

    Ou pensez à mettre une vache dans votre moteur à la place du tigre...

    Celle-ci est moins dangereuse...

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  • Début juin je suis allée rejoindre mon fils Juliene t sa compagne Célia en vacances au Cap-Ferret. Il faisait beau et chaud mais c'était marée basse.

    Nous avons traversé le chenal presqu'à sec pour rejoindre le Mimbeau, bande de terre qui forme une presqu'île et offre une vue superbe sur Arcachon et la Dune du Pyla d'un côté et de l'autre le village des Pêcheurs au Cap-Ferret.

    J'ai aperçu une aigrette qui cherchait sa pitance dans l'eau du chenal. 

    Elle voulait sans doute que je réalise un book pour elle (comme je l'ai déjà fait pour la chauve-souris ou l'hérisson) car elle a défilé devant moi, de manière très professionnelle, m'offrant tous ses profils, sa plume blanche en panache.

     

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    Pour en savoir plus sur l'aigrette garzette, oiseau au corps élancé et élégant au plumage blanc http://www.oiseaux.net/oiseaux/aigrette.garzette.html


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  • Les platanes sont de grand arbres qui ornent les places, les rues parfois les routes, en Europe.

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    "Le platane du Porge, arbre remarquable"

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    Ils se reconnaissent facilement grâce à leur tronc dont l'écorce se détache par plaques laissant apparaître d'étranges dessins.

    Les platanes de Provence sont sérieusement menacés par un micro-champignon, Ceratocystis platani, responsable de la maladie du chancre coloré, parasite est originaire desEtats-Unis, où il a été décelé dès 1929. Il a très probablement été introduit sur la façade européenne de la Méditerranée lors des opérations militaires de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, avec les caisses en bois d'armement américain. Si le parasite est d’abord resté latent pendant près de 15 ans, il touche au début du xxie siècle toute l’Italie, la Suisse, le Sud de la Grèce ainsi que le Sud de la France, avec un front avancé en région lyonnaise (Bourg-en-Bresse, Chambéry…) et dans le Sud-Ouest (canal du Midi, Saint-Gaudens, Toulouse…). Quelques spores du champignon introduites dans une blessure, même minime, suffisent à infecter l’arbre tout entier qui ne résistera pas plus de 4 à 6 ans selon l’endroit de la contamination. En France, près de 50 000 arbres ont déjà péri ainsi. (Source Wikipédia).

    Les platanes subissent également les ravages d'autres parasites, comme le tigre du platane, une punaise exotique envahissante qui pullule et affecte les feuilles.

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    Photo Wikipédia

    Le tigre du platane produit du miellat (produit collant ressemblant à du miel, le même que celui des cochenilles qui colle les cheveux) qui tombe sur les voitures ou les passants.

    Depuis un an la mairie de Bordeaux cherche à protéger les 5 200 platanes de ses parcs et jardins, en s'attaquant au tigre du platane.

    N'utilisant plus de produits chimiques (zéro pesticide depuis 2012) le service chargé de la gestion des arbres urbains teste l'intégration d'insectes naturels sur les platanes qui viendront neutraliser les insectes nuisibles.

    Dans un premier temps une bouillie composée d'eau et de nématodes est pulvérisée sur le tronc et les feuillages des platanes. Les nématodes, petitis vers, vont délivrer une bactérie qui rendra malade les tigres du platane les empêchant de se reproduire.

    Deux autres pulvérisations de cette bouillie seront faites avant de passer à la seconde étape : introduction d'oeufs de chrysopes sur les feuilles. Les chrysopes sont de petits insectes semblables à des mouches ui vont manger les larves du tigre.

    Un premier test réalisé boulevard Alfred Daney aurait permis de réduire de 50 % les tigres du blatane.

    Les employés sont armés de sortes de lances pour atteindre le sommet du feuillage et protégés par des combinaisons...

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          Source : photo Sud-Ouest Laurent Theillet et article "Sus au tigre du platane" d'Elise Lambert


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