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Par écureuil bleu le 18 Octobre 2024 à 09:00
Je vous ai raconté, il y a quelques semaines, ma belle rencontre avec un livre déposé sur une étagère de la "bibliothèque solidaire" installée au rez de chaussée du centre commercial "Portes du Bassin", sur le principe des boites à livres.
Ce livre avait été déposé par son auteur qui souhaite le faire voyager et avait écrit une dédicace en ce sens. J'ai laissé un petit mot sur la page Face book d'Isabelle pour lui dire que j'avais trouvé son livre, le lirai et chroniquerai, puis le ferai voyager.
J'ai lu et beaucoup apprécié ce livre qui a été un très gros coup de coeur pour moi.
Je me suis attachée très vite à cette famille Costa, surtout au jeune Tom, bienveillant, décidé à profiter de la vie, porté par ses rêves et soutenu par ses proches. J'ai ri par moments, tremblé à d'autres, pleuré un peu, ouvert les bras à Matteo, chasseur de vent, aussi créatif et dynamique que tendre.
Samedi 12 octobre, en ouvrant face book j'ai vu un message d'Isabelle Dornic annonçant sa venue à l'espace culturel d'Arès pour une séance de dédicace de son roman à partir de 10 h ce jour même.
J'ai eu envie de faire sa connaissance et d'échanger autour de son roman, alors j'y suis allée, à l'ouverture.
Isabelle Dornic est Franco-Canadienne, enseignant et vivant au Québec, la plus grande partie de l'année, et sur la côte en Gironde l'été.
J'ai passé un bon moment à échanger avec elle sur ses personnages et ce qui m'avait plu dans son livre, mais nous avons parlé aussi du Québec, où j'ai eu la chance d'aller en 2016, des baleines et de beaucoup d'autres choses.
J'ai été ravie de cette rencontre.
Pour en savoir plus sur l'auteur, et acheter son roman, vous pouvez aller sur son site.
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Par écureuil bleu le 23 Mai 2024 à 09:00
J'aurais pu trouver une bouteille lancée à la mer qui se serait échouée sur la plage.
J'aurais pu faire une belle rencontre dans ce centre commercial où je suis allée faire un tour mercredi 22 mai vers 14 h. Il y avait un monsieur endormi assis sur un banc, et un autre plus loin compulsant son téléphone.
Mais c'est un livre que j'ai rencontré.
Je suis allée voir la "bibliothèque solidaire" installée au rez de chaussée de ce centre commercial, sur le principe des boites à livres. Mon regard a été attiré par un livre à la couverture bleue qui s'ouvrait légèrement, découvrant une dédicace écrite à l'encre bleue.
Voici le texte écrit par l'auteur :
Arès, le 22/05/2024
Ce livre a déjà une histoire... la mienne, pendant les cinq années que j'ai eu le plaisir fou de l'écrire.
Ce livre a une histoire = cellede Thomas, de Romain et de toute la famille Costa.
Et maintenant, ce livre; grâce à vous, va construire une histoire.
Lisez le, si vous en avez envie.
Aimez le, aimez les, ces membres de la famille Costa.
Partagez le, faites le voyager, prêtez le à une personne que vous aimez... qui le partagera à son tour. Dites où il est sur vos réseaux sociaux et, grâce à vous, nous suivrons son périple.
Grâce à vous, la famille Costa va voyager.
Merci, du fond du coeur, de le faire vivre dans le coeur des personnes que vous aimez.
Isabelle
J'ai laissé un petit mot sur la page Face book d'Isabelle pour lui dire que j'avais trouvé son livre, le lirai et chroniquerai, puis le ferai voyager.
Informations pratiques : roman d'Isabelle Dornic, Franco-Canadienne, paru en mai 2024, aux éditions "Banq". 584 pages.
La 4ème de couverture :
“La promesse du cerf-volant” est une histoire poignante qui tisse les fils délicats de l’amour, des rêves brisés et des promesses tenues. Au cœur de ce récit, Thomas Costa, 15 ans, lutte contre la mucoviscidose avec bravoure en cultivant son credo « Vis, simplement. Sois heureux, maintenant », qui résonne comme un défi à la fatalité. A ses côtés, toute sa famille respire à son rythme. Malgré les épreuves, l’espoir demeure, porté par les rêves et les promesses murmurées dans l’intimité des moments partagés. Mais Romain, le père de Thomas, se débat avec ses propres démons, au point de s’accrocher à un rêve qui pourrait entrainer toute la famille à sa perte.
Entre les crises de toux de Thomas et les aspirations de leurs vies tumultueuses et passionnées, chaque membre de la famille Costa incarne une facette de la résilience. Ce roman est un hommage vibrant aux instants volés à la maladie, à l’amour inconditionnel et à la force des liens familiaux qui nous poussent à affronter nos plus grandes peurs pour ceux que l’on aime.
Ce roman est un hommage vibrant aux instants volés à la maladie, à l’amour inconditionnel et à la force des liens familiaux qui nous poussent à affronter nos plus grandes peurs pour ceux que l’on aime.
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Par écureuil bleu le 27 Mai 2023 à 09:00
Les blogs ont ceci d'extraordinaire : ils nous permettent parfois de transformer des affinités virtuelles en amitié réelle.
En 14 ans, j'ai rencontré plusieurs blogueurs ou blogueuses, et chaque fois c'est un réel plaisir, car la glace a été rompue par le biais de nos blogs, et il ne reste qu'à se découvrir un peu plus et s'émerveiller ensemble.
C'est ainsi que j'ai rencontré Hugues, Mamie Kéké, Martine Richard, Annette, Cathycat, Quichottine, Mimi, Mamazerty.
Jeudi dernier, j'ai eu le plaisir de rencontrer Domi du blog "Mon petit journal d'ici et d'ailleurs", et son épouse, Brigitte, en vacances au Cap-Ferret pour quelques jours.
Avec Domi, nous avions déjà échangé par mail, et par téléphone, notamment sur nos activités, lui de journaliste, moi de correspondante locale de presse, puis sur son envie de découvrir le Bassin d'Arcachon. Nous avons tout de suite discuté comme si nous nous connaissions depuis longtemps, de nos proches, nos centres d'intérêt, nos régions et de nos blogs, autour d'un délicieux crémant de Bourgogne et de tapas. Nous avons aussi parlé des Anthologies orchestrées par Quichottine, pour réaliser le rêve d'enfants malades, anthologies auxquelles nous avions tous les deux participé.
La complicité s'établit très vite lorsque les atomes crochus se sont développés par commentaires interposés...
Une jolie rencontre, qui -je l'espère- se renouvellera.
Domi a raconté à Brigitte comment je me débrouille pour publier tous les jours un billet, même lorsque je n'ai pas d'idée : en mettant une énigme, une citation, des photos de fleurs ou d'aigrette garzette.
Et cela m'a fait sourire, car c'est bien ainsi que je procède.
Alors, Domi et Brigitte, pour vous, voici une aigrette, photographiée au Cap-Ferret, juste avant de vous rejoindre...
Si vous ne connaissez pas Domi et son blog : "Mon petit journal d'ici et d'ailleurs", n'hésitez pas à lui rendre visite... Vous découvrirez chez lui Autun et ses environs, la Bourgogne, et aussi Cuernavaca, au Mexique, des balades en vélo...
Et merci aux aigrettes garzette d'exister !
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Par écureuil bleu le 17 Septembre 2021 à 09:13
Il y a presqu'un an, le 1er octobre 2020, je suis devenue correspondante locale pour le journal Sud-Ouest, "mini localière" comme je vous l'avais raconté.
C'est un métier qui résume un peu tous les autres métiers que j'ai exercés ou dont j'ai rêvé, qui fait appel à mes différentes passions, mais aussi à l'écoute et la bienveillance, à mon amour pour le Bassin d'Arcachon et Arès en particulier, à mon besoin de raconter, de partager, de faire découvrir. Correspondante locale de presse pour le journal Sud-Ouest pour Arès, c'est un peu long, un peu pompeux. Je préfère "mini localière", parce que cela me ramène en enfance, lorsque j'étais écolière, que je venais en vacances ici, et que cela fait aussi référence à mes études de 3ème cycle universitaire en "Aménagement du Territoire et Economie régionale du Sud-Ouest".
Un localier est un journaliste d’une rédaction en charge d’une rubrique locale. Le “localier” est le plus souvent installé au siège du quotidien régional ou dans des agences départementales ou locales.
Pour moi, un "mini localier" est un localier à petite échelle.
Je ne suis pas journaliste, mais j'écris de courts articles de 5 à 40 lignes, pour parler de la vie locale, J'interviewe des commerçants, des responsables d'associations ou de services publics, des élus. Je prends des photos, annonce ces manifestations, fais des comptes-rendus.En presqu'un an d'activité, j'ai écrit près de 300 articles, plus ou moins importants, avec ou sans photo, et cela m'a pris du temps et demandé de l'énergie. J'ai râlé lorsque le contenu ou le titre d'un de mes articles a été changé, ou qu'un texte a été publié trop tard ou trop juste par rapport à un événement, les articles et leur titre étant parfois retouchés par les journalistes assurant la mise en page.
J'ai attendu des remerciements ou des félicitations qui ne sont pas venus. Par rapport à un blog, les retours sont rares et l'on n'a pas la liberté d'écrire ce que l'on veut, sur un oiseau, une fleur ou un arbre, de corriger à tout moment une faute ou une erreur.
Au final, c'est une expérience intéressante qui permet de rencontrer beaucoup de personnes, de découvrir des activités, d'échanger, de mettre en valeur de belles personnes, méconnues.
Cela m'a donné envie de vous parler de certaines de ces belles personnes, de 11 à 100 ans, dans de prochains articles...
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