Un jour, dans le paisible village de Los Angeles, Zorro, le justicier masqué, reçut un appel de détresse inhabituel. La planète Arc-en-Ciel, habitée par les adorables Bisounours, était en danger. Intrigué, Zorro enfila son masque, prit son épée et monta sur son fidèle cheval Tornado. Ensemble, ils partirent à la rescousse des Bisounours.

À leur arrivée sur la planète Arc-en-Ciel, Zorro et Tornado furent accueillis par une explosion de couleurs et de câlins. Les Bisounours, avec leurs ventres ornés de symboles mignons, expliquèrent que leur source de bonheur, le Cristal de Joie, avait été volée par un méchant clown galactique nommé Grognon.

Zorro, déterminé à aider, se mit en quête de retrouver le Cristal de Joie. Avec Tornado, il traversa des forêts enchantées, des rivières de gelée et des montagnes de bonbons. À chaque étape, il dut surmonter des défis farfelus : éviter des ballons d'eau géants, résoudre des énigmes posées par des marionnettes parlantes et échapper à des peluches vivantes.

Finalement, Zorro atteignit la cachette de Grognon, un cirque interstellaire rempli de clowns farceurs. Avec son épée et son agilité légendaire, il affronta Grognon dans un duel épique de blagues et de pitreries. Grâce à son courage et à son ingéniosité, Zorro réussit à récupérer le Cristal de Joie et à restaurer la paix sur la planète Arc-en-Ciel.

De retour chez les Bisounours, Zorro et Tornado furent accueillis en héros. Les Bisounours organisèrent une grande fête en leur honneur, avec des arcs-en-ciel, des confettis et des câlins à profusion. Zorro, habituellement sérieux, ne put s'empêcher de rire et de profiter de la joie contagieuse des Bisounours.

"Je suis..." de Rose du blog : "Golondrina63" : 

Dans le repli de mon monde 

Dans mon Auvergne jolie 

 Là où mon ombre frôle la lumière

Dès l'aube

Je suis

Celle que l’on appelle sans jamais connaître, sans jamais me montrer  

On murmure mon prénom 

Qu’importe, je le laisse se fondre au vent dans une allée d'mon jardin

Je suis 

Sorcière, mais d’un genre insolite

Une tisseuse de bien pour rééquilibrer ce qui vacille autour de moi

 Ma magie n'est pas faite de sorts ou de potions.

 Je suis 

Guérisseuse faiseuse de paix

Mes mains tracent des chemins invisibles pour ceux qui se perdent 

Je ne suis pas

Effrayante dans mon antre au pied de l'endormi 

Je suis 

Juste l' éclat d’herbes fraîches  et quelques pierres de lave luisantes

Je suis 

L'étincelle bienveillante 

Quand le monde s’emporte et dérive

 je sors discrètement

Planter des graines d’espoir

Mon art est discret

 À pas  légers

 Mon  œuvre se ressent lentement et solidement

Dans ma belle Limagne 

Je suis 

La rosée du matin 

 Au pied de mon géant !

Je rêverais d'être une sorcière, mais une gentille sorcière qui ne s'habille pas en noir, ne vole pas sur un balai devant la pleine lune, ne s'entoure pas d'oiseaux de nuit effrayants...

Si j'étais une sorcière j'en serais une du style de « Ma sorcière Bien-aimée » et comme elle, en bougeant le bout de mon nez ding-ding-ding, je ferais ce que je veux, ce serait amusant, mais surtout très  agréable pour aplanir toutes les difficultés qui se présentent à nous dans la vie.

Sur la route des vacances, zut ! Un pneu à plat ! (Cela nous est arrivé, il a fallu enlever tous les bagages du coffre pour changer le pneu.)

Pas de panique ! Sans descendre de l'auto surchargée de valises, ding-ding-ding, en remuant le bout de mon nez, le pneu est regonflé.

En arrivant à la location pour les vacances, déception.(Hélas, une location moche, çà aussi nous est arrivé, !)

La maison est en plein bourg, exiguë, mal orientée et sent le renfermé ;

Vite, recours au nez, Ding-ding-ding et c'est réparé,

Voilà  la maison  transportée sur une belle colline, la vue splendide est imprenable, ce qui nous présage de merveilleuses vacances.

Mais... le matin au réveil, c'est la douche froide :

On constate hélas :

Que la maison est située en plein bourg, qu'elle est exiguë et sent le renfermé !

Le nez qui arrange tout, ne fonctionne pas il n'était malheureusement que dans un joli rêve.

Le nez ne bougeant pas, il a fallu accepter les choses comme elles étaient dans la vie réelle, car les gentilles sorcières n'existent pas hélas dans la vraie vie et c'est bien dommage.