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Pour ce neuvième jeu, je vous ai proposé d'illustrer ce tableau de Georges Seurat, créateur du divisionnisme, intitulé "Le Cirque" par un texte, un poème, une photo, un dessin, un collage, ce que vous voulez... 

 

le-cirque.jpg  

 J'ai reçu 11 participations. Il s'agit maintenant de voter pour déterminer le gagnant; jusqu'au 15 novembre. 


Les auteurs ne pourront publier leur publication sur leur propre blog qu'une fois le vote achevé (à partir du 16 novembre), et mettront un lien vers le jeu.
Les gagnants seront mis à l'honneur sur ce blog.
 

 

Chacun peutparticiper librement, quand il le souhaite. La participation sera ajoutée aux autres, hors concours.

 

Voici les 12 participations :

  

 

Participation n° 1 : L'acrobate 

 

L e rideau de velours se lève enfin...

A lors un étalon blanc fait son galop en piste
C laquements de fouet dans l'air
R adieuse en collant or une cavalière

O ndule sur la croupe de l'animal artiste
B allet harmonieux, la belle et la bête
A pplaudis par l'homme de la rue
T out au spectacle du cirque bienvenu
E t en coulisse l'auguste se prépare aux pirouettes...




  

Participation n° 2 : 

 

Pardon si sous vos yeux j'oscille
aujourd'hui seule sur mon fil
entre passions et raison pure
garder mon équilibre devient trop dur
lorsque la raison vacille
un faux pas est si facile
saluez bien bas l'artiste
pour son ultime tour de piste
car ce sera sans filet, public avide
que ce soir je chuterai dans le vide










 

Participation n° 3 :

 

cirque1.jpg Le cirque pour aller se coucher par Thierry et Francis ! 

  

Participation n° 4 :

 
Le cirque

d’après une toile de Georges Seurat 

 

Elle s’envole la jeune écuyère

Son cheval blanc s’élance

À l’assaut de la piste

Ce ballet aérien transporte l’assemblée

La bourgeoisie locale

Collet monté, endimanchée

Dans les gradins, digne,

Arbore ses plus beaux chapeaux.

Dames roides et Messieurs détendus

Esquissent un sourire

Un beau spectacle !

Les enfants sagement assis,

Regards ébahis, ont oublié l’école.

Un clown maniéré

S’incline en grimaçant

L’autre de la coulisse observe le spectacle

Il va entrer en scène.

Le peuple au poulailler

Se penche pour mieux voir

Soudain claque le fouet du maître de ballet

L’instant est dramatique

L’orchestre joue plus fort

Le roulement des tambours

Accompagne les figures les plus acrobatiques.

Sous le chapiteau

Scintillant d’étoiles et de couleurs,

Le cœur puissant du cirque bat

De plus en plus fort

Alors le monde oublie son âge

Il ne reste plus que des cœurs d’enfants. 

  

Participation n° 5 : Sous le chapiteau :

 

 

Sous le chapiteau
Dans le  cercle  de lumière
Des sauts et saltos
 
Sous le chapiteau
Echappée de féerie
Rires et paillettes

Sous le chapiteau
La vie à deux si fragile
Sur un fil tendu

Sous le chapiteau
Voltige acrobate clown
La foule en haleine

Sous le chapiteau
Artistes par procuration
Le public s'y croit.
 

 

Participation n° 6 : Cirque :

Ecuyère au cirque

Numéro spectaculaire

Des altos arrière

 

Chapiteau géant

Clowns acrobates dresseurs

Liesse collective

 

Participation n° 7 : Le cirque

 

Une représentation des bohémiens qui en rejoint  ou en précède d’autres :

Franz Hals et le sourire de sa « bohémienne,»

 Tony Gatlif vantant sa « liberté » dans la Loire.

Les Grüss  incarnant la noblesse du cirque.

Dans un camp de gitans, sur un air de jazz manouche.

La « tribu prophétique aux prunelles ardentes » chère à Baudelaire.

 Toulouse-Lautrec fait tourner dans son « manège »

Une « clownesse » au salut et une « écuyère à cru.»

C’étaient ses nuits fatalement syphilitiques.

Ils   peuplent l'imaginaire des arts et des lettres depuis des siècles.

L’Esméralda  du grand Hugo sur le parvis de Notre-Dame.

Des 1915, des camps de concentration pour Tziganes.

Picasso peignant des « saltimbanques » pathétiques.

Picasso-Carmen, Sol y Sombra, amour tragique.

Il se peignait avec un nez rouge, acrobate du risque.

André Dassary, chantant «Les yeux noirs » sur un air tzigane.

Georges Moustaki s’identifiant à sa guitare, « jolie fille d’Espagne . »

Cervantès et la gitanilla de ses « Nouvelles exemplaires. »

George Borrow et les Gypsies, « maître des mots » et des rêves.

Frantz Listz célébrant les bohémiens et leur musique,

Notamment les chanteuses tziganes à Moscou au XIX e siècle

Marc Chagall fait sa « Parade au cirque » en mots et en images.

« Les Bohémiens" d'Alexandre Pouchkine.

Georges de la Tour, Victor Schnetz, François-Joseph Navez  et leurs  diseuses de bonne  aventure :

"Les bohémiens" d'Albert Glatigny (1839-1873) dans "Les vignes folles"

"Salomé" de Guillaume Apollinaire

Arthur Rimbaud et sa « Fantaisie » de Bohême »

Le «Crépuscule" de Guillaume Apollinaire

« Le cirque » enfin de Georges Seurat, divisionniste.

 

Participation n° 8 :

 

Un peu de rêve jadis…

  cirque2.jpg  

 

 

Le cirque enfin vient d’arriver

La petite ville est en fête

Et les enfants  s’en vont rêver

soleil au cœur joie dans la tête

 

car après l’école on verra

les monteurs de la grande toile

dresser les mâts  à grand fracas

pour placer en haut une étoile

 

de gros animaux inconnus

apparaitront sur la placette

puis  la danseuse aux mollets nus

suivie du clown et sa trompette

 

mais les enfants restent dehors

ils n’iront pas au beau spectacle

pourtant  un instant ô miracle

 

ils ont cru vivre un songe d’or

 

 

Participation n° 9 :

 

TRAPEZISTE1-blog.jpg

 

  

Participation n° 10 :

 

 

Sur son fidéle destrier blanc , la jolie équilibriste dans son tutu jaune exerce ses talents devant la foule réunie pour la voir , elle y met tout son coeur , tout son enthousiasme sous les regards ébahis de ses amis qui ne la quittent pas des yeux , c'est son meilleur numéro...............Quelle joie , quel immense bonheur pour elle , elle a réussi à toucher le coeur du public qui retient son souffle et lui offre une ovation qui sera gravée dans sa mémoire.

 

 

Participation n° 11 :

 

Te souviens-tu, ma belle

Des jeux qui ensorcellent

L'écuyère et ses ailes

En un ballet sensuel

 

Te souviens-tu, fillette

Des tambours, des trompettes

Pour ces beaux jours de fête

Comme la vie était chouette!

 

Te souviens-tu, mignonne

Des douces amazones

Des chevaux et des faunes

Des éléphants, des lionnes

 

Te souviens-tu, petite

des clowns et de leurs rites

Qui courent et qui s'agitent

Pour que tous les gradins palpitent

 

Ma fille, te souviens-tu

De ton enfance passée

Aux rythmes enjoués

De mon amour pour toi?

 

 

Participation n° 12 :

 

LE COEUR DE MARIO

 

Il était une fois un petit cirque bien sympathique qui voyageait de ville en ville sur les routes de France. Chaque fois qu’il s’arrêtait, que les affiches multicolores tapissaient les murs et que les hommes montaient la grande toile rouge et bleue, les habitants accouraient, pressés de voir le spectacle qui ravissait les enfants, mais aussi les parents et les grands-parents ! Il était très varié ce spectacle : on pouvait voir des trapézistes, des clowns, des jongleurs ainsi que des animaux qui donnaient le frisson, deux lions, un tigre et même deux éléphants ! Mais le numéro qui était le plus applaudi était celui d’Estella sur son cheval blanc. Estella était une jolie cavalière qui n’avait pas peur d’accomplir des sauts périlleux sur son petit cheval et Mario, le chef d’orchestre choisissait pour elle la plus belle musique qui sortait de son cœur car Mario était très amoureux d’Estella. Seulement il était trop timide pour le lui avouer et plusieurs années étaient passées sans qu’il en ait le courage. Un jour pourtant, il se décida. Il acheta les plus belles roses qu’il put trouver, mit son plus beau costume, installa son cœur au milieu des roses et attendit la fin du spectacle. C’était une très belle soirée avec un ciel piqué d’étoiles. Quand Mario vit apparaître Estella dans sa robe pailletée qui brillait au clair de lune, il resta paralysé et aucun son ne sortit de sa bouche .Estella le voyant avec son bouquet comprit son silence et lui dit gentiment :

 

« Je t’aime bien Mario, mais j’ai déjà donné mon cœur au grand clown blanc »

 

Toutes les folles idées que Mario avait imaginées avec Estella s’effondrèrent autour de lui, les roses baissèrent la tête et son cœur pesa aussi lourd qu’un cœur de plomb. A partir de cette nuit, il se sentit seul et pauvre. Sa musique si gaie devint tellement monotone et triste que le cheval blanc perdit la joie de vivre et Estella celle de faire des sauts périlleux. Les bancs des spectateurs devinrent de plus en plus vides et le directeur du cirque appela Mario dans son bureau :

 

« Mario, je ne sais pas pourquoi ta musique n’est plus ce qu’elle était, mais je vois que la recette diminue de jour en jour et je ne peux plus te garder dans le cirque .Il me faut trouver un autre chef d’orchestre »

 

Alors Mario, qui ne connaissait pas d’autre monde que celui du cirque, alla se noyer dans une rivière. Quand il perdit la vie, son cœur devenu léger gonfla comme une immense toile rouge et bleue et emporta avec lui, sur un nuage, le petit cirque ambulant, les trapézistes, les clowns, les jongleurs, les lions, le tigre et les éléphants, sans oublier le directeur et bien sûr Estella et son cheval blanc. Il ne resta plus de ce joli cirque que l’image figée peinte par un peintre spectateur.

 

 

 

 

 

 

 

 







 

 

 

 

 

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Tag(s) : #cirque, #coeur, #mario, #n°, #participation
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