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J'ai acheté ce polar aux Pages du Bassin, salon du livre qui s'est tenu en mai à Arès.

L'auteur, fils de mon prof de maths en fac, m'a écrit en dédicace :

"Pour Brigitte, ce polar sur les codes bancaires, les ponts et viaducs et les tueurs russes..."

 

Informations pratiques : roman paru aux Editions Wartberg en avril 2016, 175 pages. Prix : 11,90 €.

 

La quatrième de couverture :

Un signal d'alerte est lancé sur Internet : un prof de maths d'un collège girondin a résolu le problème du millénaire sur les nombres premiers et s'apprête à casser les codes bancaires du monde entier. Une meute de tueurs de tous poils se lance aux trousses du hacker, de Bordeaux à Saint-Émilion, en passant par Taussat et d'Auch au col de Banyuls. Mais la vérité est bien différente ! En attendant qu'elle éclate au grand jour, le petit prof de la côte ouest soupçonné de ce prodige mathématique est obligé de fuir avec son agrégée de maîtresse, puis de faire face. Pour l'homme et la femme qui valaient mille milliards, c'est Euclide qui affronte Glock ! Ou comment se protéger avec un livre de maths contre des projectiles de 9 mm ? Attention, le petit prof connaît peut-être votre code bancaire !

Mon ressenti :

Les chapitres sont courts et percutants. L’action se déroule dans un lieu autour d’un personnage.

Il y a des espions, du sang, du sexe, de l’action, de l’humour et des mathématiques.

Jean-Claude, le héros, est un quinquagénaire, prof de maths, un peu paumé,  à la recherche d’une clé universelle pour les nombres premiers. Il rencontre Anne-Dominique, une agrégée de maths.

Les deux sont pourchassés par des espions russes qui veulent craker les codes secrets des cartes bancaires.

De Bordeaux à Taussat et l’Herbe sur le Bassin, Saint-Emilion et Le Racou dans les Pyrénées Orientales, je connais tous ces lieux et ai d’autant plus apprécié la course poursuite.

 

Je n’avais pas compris : « histoire de ponts et viaducs » sur sa dédicace ni pourquoi il parlait dans la postface d'une date maudite pour sa femme et pour lui : le 30 août 2015.

J'ai appris sur le net que son fils de 25 ans, Boris, complice, co-auteur et ami, s’est jeté l’été dernier du viaduc de Collioure, exactement comme il le raconte, en parlant du suicide d'Ivan, ami de Jean-Claude.

Boris, comme Boris Vian ?

On a toujours des rêves pour ses enfants. J’imagine l’horreur pour ce père fier de son fils et proche de lui, qui n’a pas vu venir la tragédie.

Cela me touche d'autant plus qu'en mai 2015 je n'ai pas réussi à empêcher mon ami Pascal, que certaines connaissaient, de se suicider.

Tag(s) : #bancaire, #code, #maths, #polar, #prof
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