Merci à Babelio et aux éditions Verdier qui m'ont envoyé ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique. C'était ma première participation. J'avais coché de nombreux livres susceptibles de m'intéresser dont celui-ci.
Le premier envoi ce roman s'est perdu et ils m'en ont adressé un second.
La 4ème de couverture :
Les habitants de Constantinople l'appelaient les Vingt-quatre Portes du jour et de la nuit. Ils aimaient le spectacle des automates qui franchissaient là-haut, à l'heure dite, le seuil des niches ouvertes dans le clocher des Saints-Apôtres. L'homme qui lutte contre le sommeil, en ce lundi 18 juillet 2016, sur un banc du square Le Gall, dans le quartier des Gobelins à Paris, est l'une des très rares personnes qui conservent encore aujourd'hui le souvenir de cette horloge, qui fut pourtant l'une des merveilles du monde. Elle est mêlée à son existence plus encore qu'il ne le pense. Il nous invite ici à partager l'aventure d'une journée qui changera le cours de sa vie. Le roman évoque le temps qui nous traverse et les ruses que l'on invente pour domestiquer cette morsure intime, c'est aussi une histoire d'amour, la plus naïve et la plus subtile des ruses que l'homme a inventé d'opposer au temps qui passe.
Mon ressenti :
J'adore la lecture, mais je n'ai pas pu terminer ce livre.
Je viens de m'arrêter à la page 61 (sur 187).
Dès les premières pages j'ai compris que ce livre n'était pas pour moi . Les phrases font en moyenne 20 lignes, parfois elles se déploient sur toute une page. Il n'y a aucun dialogue, ni histoire ni personnages.
Ce n'est pas un roman mais un essai sur le temps. Les premiers chapitres parlent du jet-flag (décalage horaire) et de la bataille du méridien.
J'aurais lu avec plaisir quelques phrases courtes et claires sur ces sujets mais pas 84 pages.
Lire doit être un plaisir, et là, j'ai l'impression de perdre mon temps, mal à la tête et je me sens nauséeuse car terriblement inculte...