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Avec les low-costs, vols à bas coût, il est maintenant facile de visiter les pays voisins, en partant des aéroports Français.

Samedi 20 avril vers midi, nous avons embarqué direction Budapest, capitale de la Hongrie, avec étape d'une nuit à Genève (Suisse), pour 211 euros aller-retour.

Nous sommes rentrés mercredi 24 à Bordeaux, à 21 heures.

 

A Genève il faisait froid : à peine quelques degrés au dessus de 0, avec beaucoup de vent. C'est très facile de prendre le train de l'aéroport pour rejoindre le centre-ville et les transports publics sont gratuits. Nous avons visité la cathédrale et une maison musée très intéressante. J'étais ravie d'avoir pris mon bonnet.

Nous avons dormi dans un hôtel près de la gare et avons rejoint l'aéroport de bonne heure.

 

Je ne me souvenais pas comme c'est pénible maintenant de passer les contrôles pour prendre l'avion. Il faut enlever tout ce qui risque de sonner (ceinture, chaussures avec parties métalliques), manteau et pull posé sur les épaules, sortir des bagages les ordinateurs, téléphones, appareils photos, produits de toilettes.

 

Au passage Budapest vers Genève, j'ai sonné en passant sous le portique. Une employée m'a tâtée de haut en bas puis m'a passé près du corps un scanner à main, avant de me laisser enfin reprendre mes affaires et me rajuster.

Autre petits désagréments avec les low-cost : on n'a droit qu'à un seul bagage à main. C'est strict : appareil photo, sacoche, sac à main : tout doit être mis dans un seul sac. Pour la première fois ils nous ont également demandé d'enregistrer les bagages à main en soute, gratuitement. Pour ceux qui voulaient sur 3 vols, un peu au hasard sur le 4ème. L'avantage de ne pas enregistrer les bagages c'est de gagner du temps et avoir sous la main (dans le coffre au dessus de sa tête) les objets auxquels on tient... Nous avons réussi à y échapper, mais c'est pénible et ça fait râler tout le monde...

En avion, on voyage vite mais l'attente est longue... Mercredi nous avons quitté notre hôtel à Budapest à 10 heures mais ne sommes arrivés à Bordeaux que 11 heures plus tard, après un retard d'une demi heure et une escale de 4h00 à Genève...

 

Heureusement que j'étais partie avec mon fils cadet et mon ex-mari car arrivée à Budapest, je me suis aperçue que je n'avais pas ma carte bleue. J'ai eu beau retourner tous mes sacs : rien.

La veille du départ j'avais préparé un mini sac en bandoulière, n'y mettant que l'essentiel : papiers, euros, stylo et carte indispensables : vitale et mutuelle. Comment la carte bleue est-elle passée du bon tas au mauvais tas, mystère et boule de gomme...

 

volbudapest.jpg En survolant la Slovénie, au retour...

Tag(s) : #avons, #bagage, #budapest, #heure, #main
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