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J'ai emprunté ce roman à la médiathèque, pour découvrir cet auteur et parce que j'avais lu de bonnes critiques sur ce roman.

Informations pratiques : Paru en 2013 aux éditions "Albin Michel". 309 pages. 19 €. .

La 4ème de couverture :

«Et se regarder nu, face au miroir, jamais il ne le ferait, jamais il ne serait ce garçon qui en lui faisant face lui ferait honte. Enzo ne voulait pas être son ennemi. R voulait aimer le jour, la nuit, la peur, Liouba, et lui-même si c'était possible.»
À travers la relation forte et fragile entre une mère trop jeune et un fils au seuil de l'adolescence qui vivent chacun à leur façon l'expérience de l'exclusion et de la détresse intérieure, Véronique Olmi renoue avec la tension narrative de Bord de mer

Mon ressenti :

Ce roman se déroule de nos jours à Paris. Enzo Popov, 12 ans, vit avec sa mère Liouba dans le grand appartement d'un couple aisé, toujours en voyage. Liouba, 29 ans, entretient l'appartement, effectuant scrupuleusement 35 heures par semaine, en échange du logement. Enzo est en 6ème, dans un collège huppé, et il est harcelé, tyrannisé, parce qu'il est différent : en surpoids, fils d'une "bonne" au look extravagant, avec un nom d'origine russe. Sa mère l'habille en noir, dans les magasins discount.

L'appartement est spacieux, mais Enzo et Loubia partagent la même chambre. Enzo lit beaucoup et fuit l'exclusion et l'harcèlement grâce à son imagination et ses lectures.

Ce roman met l'accent sur les différences : différence de classes sociales, différence de nationalités, différence d'apparence physique.

Enzo est attachant, ne se plaint jamais, encaisse les moqueries et les coups des autres collégiens.

J'ai mis 4 sur 5, sur Babelio.

Tag(s) : #difference, #enzo, #liouba, #mer, #roman
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