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En 2016, j'avais beaucoup apprécié "Un goût de cannelle et d'espoir" de Sarah McCoy, alors j'ai acheté "Un parfum d'encre et de liberté" du même auteur.

Informations pratiques : Paru en février 2017 en version Pocket. 477 pages. 

La 4ème de couverture :

1859. Chez les Brown, la cause abolitionniste se transmet de père en fille. En pleine guerre de Sécession, la jeune Sarah suit les traces de son célèbre paternel, sacrifiant tout de sa vie de femme dans son combat pour la liberté... 2014, banlieue de Washington. En achetant cette vieille demeure sur Apple Hill, Eden pensait pouvoir guérir son désir d'enfant - que son corps lui refuse. Une nouvelle vie, de nouveaux voisins et, surtout, cette mystérieuse tête de poupée retrouvée dans la cave, lui ouvriront un autre chemin, tracé pour elle depuis plus de 150 ans...
Plusieurs décennies séparent ces deux femmes et pourtant leurs destins se rejoignent sur bien des points...

Mon ressenti :

L'auteur nous conte 2 histoires à 2 périodes différentes, celle de Sarah et de sa famille en 1859 et celle d'Eden en 2014. Le point commun entre ces deux histoires est une maison, dans la ville de New Charleston. J'ai apprécié l'histoire et le personnage de Sarah, fille de James Brown, féministe, artiste et abolitionniste qui fera tout pour aider cette cause. Cette partie est bien documentée et intéressante. Par contre, l'histoire actuelle avec Eden qui ne peut pas avoir d'enfant, et en devient exécrable n'est pas passionnante. Sa petite voisine, Cleo, et elle découvrent une tête de poupée dans un garde-manger souterrain. 

La lecture est agréable mais sans plus, et légèrement décevante par rapport à "Un goût de cannelle et d'espoir", qui m'avait beaucoup plus émue.

Ce roman obtient une note de 3,55 sur 5 sur Babelio, sur 373 notes. Je mettrai 3,5/5. 

Tag(s) : #encre, #histoire, #liberte, #parfum, #sarah
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